La Coordination des Associations de la Société Civile et de Défense des Droits de l'Homme a commémoré ce samedi 10 décembre à 9h 00 la cérémonie commémorative du 23ème Édition de la journée Internationale des Droits de l'Homme et le 74ème anniversaire de Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (DUDH) sous le thème « Dignité, Liberté et Justice pour tous » dans la salle de conférence à Novotel la tchadienne situé dans le 1er arrondissement de la ville de N'Djamena. Reportage.
La commémoration de la 23ème édition de la journée Internationale des Droits de l'Homme, s'est passé dans une salle remplie des invités et des journalistes. Pour Mahamat Digadimbaye, coordonnateur de CASCIDHO, le thème « Dignité, Liberté et Justice pour tous » interpelle les États au respect strict des valeurs universelles des Droits de l'Homme. Ce sont des principes fondamentaux, inviolable pour tout peuple qui aspire à la paix, à la démocratie et au bien-être social. Il poursuit que toute politique ou toute gouvernance qui conteste les valeurs des droits humains est d'avance vouée à l'échec. Car de nos jours les droits de l'homme sont irréversibles et s'imposent à tous a-t-il dit. Il fait le constate que la paix au monde est menacée, les droits de l'homme sont bafoués, les libertés fondamentales et les démocraties sont complètement en périls, les peuples sont soumis à des pauvretés et à des injustices sociales, les défenseurs des droits de l'homme et les journalistes sont menacés et persécutés, les droits fondamentaux des femmes et des filles ne sont pas respectés, les groupes vulnérables sont souvent laissés à leur triste sort. Il qualifie cela comme un bilan très triste et regrettable. En tant que défenseur des droits humains, il appelle à un monde plus humain et respectueux des droits humains.
M.Mahamat Digadimbaye n'a pas laissé de côté la situation qu'à traverser le Tchad en 2022. Pour lui, c'est une année préoccupante en matière des droits de l'homme. Il relève au Tchad : des nombreux conflits intercommunautaires, les évènements de 20 octobre et les pertes en vies humaines et matérielles, la montée en puissance sur les réseaux sociaux des campagnes de haine et de division ethnique et confessionnelle. Il appelle les tchadiens à prendre leurs responsabilités pour tourner ces pages tristes et sombres de l'histoire tumultueuse du Tchad pour qu'il n'y est plus jamais cela. Il interpelle les tchadiens à promouvoir et respecter les valeurs des Droits de l'Homme, lutter contre l'impunité, imposé la justice pour tous afin d'instaurer l'autorité de l'État. Enfin, le coordonnateur a rendu hommage à tous les défenseurs des Droits Humains qui se battent chaque jour au quotidien pour la défense et le respect des Droits de l'Homme souvent au péril de leur liberté et de leur vie.
Noël Adoum
Une partie de membres l’Association des Victimes du Régime de Hissein Habré (AVCRHH) dirigé par M. Clément Abaïfouta a animé une conférence de presse ce samedi 08 décembre à 15h dans la salle de conférence de la radio FM Liberté situé au quartier Chagoua. Abaïfouta Clément qualifie le nouveau de bureau de mascarade. Reportage.
La guéguerre entre les représentants des victimes de Hissein Habré bat son plein. Un schisme s'est installé entre les membres de l'AVCRHH. Les uns disent avoir éjecté leur président dans leur point de presse hier, les autres connaissent toujours le statut de leur président M. Clément Abaïfouta comme leur représentant. M. Clément Abaïfouta affirme, pendant que le mécanisme pour les indemnisations s'apprête à s'installer dans le mois qui arrive, la crise vient de s'installer au sein du bureau national de l'AVCRHH. M. Clément Abaïfouta dit avoir sacrifié toute sa vie, son parcours universitaire et sa famille pour de nombreux voyages afin de plaider le sort des victimes. Il ajoute, « qu'il n'est pas en train de labourer le tarot de sa mère ni dans un champ de fonio ou encore du riz ». Pour lui, le sérieux mobile du retour curieux des anciens membres du bureau qui « ont quitté la pirogue et revenu 10 ans après pour se prévaloir être des victimes ou des responsables » est tout sauf sain. M. Abaïfouta qualifie leur retour après plusieurs années d'absences comme un manque de foi, manque d'objectivité et manque de sincérité parce que les victimes sont censées lire et gérer les douleurs qui les rongent depuis 30 ans. Dans cette association, il ne regarde pas les fibres ethniques mais plutôt l'aspect national de tout couleur car tout le monde est victime frères et sœurs. Il ajoute que ses anciens camarades courent après le besoin du ventre. Pour lui, l'autre côté l'accuse d'avoir détourné l'argent de l'association, alors qu'il avait déposé cette somme dans un compte bancaire notamment à l'ecobank dont il faut au moins trois (3) signataires pour retirer l'argent. L'invitation envoyée à la veille par les membres pour qu'il vienne à l'Assemblée Générale est considérée pour lui comme une insulte. Car il ne voulait pas cautionner une mascarade.
Pour Clément Abaïfouta, l'Assemblée Générale organisée par ses individus est comme vide. Il a déclaré avoir laisser l'une de ses clés pour la vice-présidente de l'association alors qu'il était occupé. Cette dernière interpelle les autres pour leur dire « il a déjà cédé la clé car il ne peut plus travailler ». M. Clément Abaïfouta a clôturé cette conférence par la suspension des nouveaux membres qui ont créé leur bureau à part suite au 3ème congrès de l'Association des Victimes de Crime du Régime de Hissein Habré alors qu'aucun statut ne leur permet d'organiser cette Assemblée Générale.
Noël Adoum
La seconde phase de la transition a mal démarré avec les conséquences du « Jeudi noir » lorsque la répression, ce 20 octobre, s’est abattue sur les manifestants. Un évènement qui a entaché l’après-dialogue. Les symboles sont présents dans les esprits : le bagne de Korotoro, la décapitation des Transformateurs et le bras de fer entre le président de la Commission de l’Union africaine (UA) Moussa Faki et le président de transition Mahamat Idriss Deby Itno. Ces trois évènements ont fragilisé la refondation le pays. Pourquoi ?
D’abord par la brutalité et la méthode de la répression. Par le nombre des arrestations, plus d’un millier de manifestants. Par le fait de leur déportation au bagne de Korotoro et le jugement bidon de 400 Tchadiens en plein désert, sans avocat. « Parodie de justice » au pays du Général Mahamat Idriss Deby Itno. Cet évènement reste un boulet aux pieds du Président de transition (PT) et de son Premier ministre de Transition (PMT), Saleh Kebzabo. Cette deuxième phase de transition est tellement mal engagée qu’elle révèle la maladresse du PT et du PMT. Korotoro est devenu au fil des jours le symbole de ce mauvais départ.
Ensuite, au lendemain du 20 octobre, les Transformateurs et leur président ont disparu de la scène politique. Le parti est suspendu. Le président Succès Masra et certains de ses lieutenants ont pris le large. Ils se sont réfugiés hors du pays. Ses militants sont orphelins. Et pourtant…et pourtant qui aurait cru qu’un parti reconnu et acteur du renouvellement de la classe politique serait décapité en une nuit? Les Transformateurs auront du mal à renaître. Ni le PT, ni le PMT ne seront disposés à les ravoir dans leurs pattes.
Enfin, le « duel Moussa Faki versus Mahamat Deby Itno » est désormais sur la place publique. Depuis le discours marquant de Faki, lors de l’ouverture du Dialogue national inclusif et souverain (DNIS) il est devenu la cible de N’Djamena. Son tort c’est d’être au mauvais moment, au mauvais endroit. Il est vrai aussi que Faki cache de moins en moins ses ambitions présidentielles. Cette ambition énerve le président de transition et ses amis politiques. Bref, les Tchadiens regardent ce jeu d’échecs où le plus bluffeur gagnera. Le Président de transition et ses nouveaux amis déclarent avoir remporté la partie. Moussa Faki affirme qu’il y aura une seconde manche. Une situation qui s’annonce Échec et mat.
Bello Bakary Mana
Le centre d'apprentissage de la langue française CALF de Moundou a organisé une course de 15 km dans la ville de Moundou ce samedi 10 décembre 2022. Le coup d'envoi de cette compétition qui regroupe plus de 200 athlètes venus des différentes villes du pays est donné par le gouverneur de la province du Logone occidentale Ibrahim IBN Oumar MAHAMAT Saleh.
La 16 édition de cette manifestation sportive est remporté par Tamadjinodji Armand qui a réalisé un temps record de 47 minutes. Halimé Guébounandi une athlète venue de Bongor pour la compétition remporte la première place du côté des dames. En remettant le prix au champion de la course à pied de 15 km 16ème édition trophée CALF, Ibrahim IBN Oumar MAHAMAT Saleh a indiqué « le sport est une source de brassage et un facteur le plus fédérateur sans religion, sans appartenance ethnique et moins encore raciale ». « Notre province a en ce moment plus besoin de ce genre d'initiative pour sa consolidation, son harmonie dans un vivre ensemble au profit de tous » a ajouté le Gouverneur. Le premier de cette compétition a empoché une enveloppe de 100.000 francs.
Mbaiwanodji Adrien, Moundou, Ialtchad Presse
Le Mouvement Patriotique du Salut (MPS) est depuis ce matin du 9 décembre en séminaire sur le thème « Le MPS en marche pour la réussite de la transition. Tous mobilisés pour la construction d'un Tchad nouveau » à l’hôtel Radisson Blu dans le 3ème arrondissement de la capitale tchadienne, N’Djamena.
C'est dans une grande salle tapissée d'emblèmes et des couleurs du parti, et remplie des militantes et des militants que le séminaire a commencé.
Pour Gayan Souwaré, président du comité d'organisation « notre parti fait de la formation l'un des leviers de la stratégie de mobilisation des militants et des cadres », dit-il. Il affirme que le thème de ce séminaire qui est le MPS en marche pour la réussite de la transition tous mobilisés pour un Tchad nouveau qui vise à permettre d'approprier les résolutions et les recommandations du dialogue national inclusif et souverain et aussi le contenu du cahier de charges afin de mieux vulgariser sur le terrain.
De son côté David Houdeingar affirme que ce séminaire permet d'enterrer définitivement la hache de guerre avec l'accord de Doha puis d’aller vers la paix définitive et la cohésion sociale par le pardon, la réconciliation Nationale. Il ajoute que le MPS a un grand rôle à jouer dans cette phase cruciale notamment œuvrer à la réussite et soutenir l'action du président de la transition et celle du gouvernement d'union nationale pour la refondation du Tchad.
Le Tchad de demain se construit par l'unité et l'union de ses filles et fils soutient Dr Haroun Kabadi, Secrétaire Général du MPS.
Ousmane Bello Daoudou
Le Président du Comité Olympique et Sportif Tchadien (COST), général Idriss Dokony Adiker a effectué une visite de motivation ce 9 décembre dans plusieurs structures sportives de la capitale tchadienne où se tiennent la semaine de l'excellence sportive Reportage.
Lancé le 5 décembre dernier par le COST, absent lors de la cérémonie inaugurale due à sa charge administrative, le Président du COST et ministre de la Sécurité publique et de l'Immigration a fait le déplacement dans les sites où se tient la semaine dédiée à l'excellence sportive.
La visite a commencé à 15h, d'abord aux deux terrains basketball (masculin et féminin) du lycée Félix Éboué. Ensuite, le volley-ball et le Handball, l'un à l'Institut National de la Jeunesse et des Sports (INJS) et l'autre à l'École Normale des Institutions Bilingues (ENIB) et enfin au stade de Paris Congo et celui de Diguel pour le karaté, judo, la lutte, etc.
Interrogé sur la visite du Général Idriss Dokony Adiker, le Secrétaire général de la Fédération tchadienne de Volleyball (FTVB), Kianhykbo Baibamne dit satisfait, « Lorsqu'on organise une activité de telle nature et voir la visite de notre hiérarchie, ça fait du bien », a-t-il confié. Par la même occasion, le Secrétaire général de la FTVB, se plaint des conditions de travail. « Nous ne disposons pas de plateau de travail, les conditions ne sont pas réunies. J'espère bien que le comité a fait le constat et pourra nous trouver une solution», a-t-il déclaré.
Pour le Président du COST, Général Idriss Dokony Adiker, depuis quelques années le sport tchadien fait du recul. Il souligne que cette situation a déplu à la direction qu'il dirige. Toujours selon lui, cette semaine de l'excellence est lancée suite à l'année 2022 déclarée par le Président de la transition, Mahamat Idriss Deby Itno comme une année de sport. Il affirme que cette compétition vise à préparer les jeunes pour les Jeux olympiques, paris 2024. « À travers ce genre de compétition, nous pouvons détecter les meilleurs athlètes et leur accorder une bourse olympique pour au mieux nous préparer pour Paris 2024», a-t-il justifié.
Rappelons que cette compétition réunit 12 fédérations et plus de 1000 sportifs. Elle va durer une semaine et les meilleurs seront primés lors d'une cérémonie de Gala prévue le 17 de ce mois.
Abderamane Moussa Amadaye
Au lendemain du 3e Congrès de l'Association des Victimes du Régime de Hissène Habré (AVCRHH) le 6 décembre dernier, après avoir éjecté son président et créée un autre bureau exécutif, l'association a animé une conférence de presse ce lundi 5 décembre à 10h dans son siège situé au quartier Chagoua dans le 7e arrondissement de la ville de N'Djamena. Reportage.
Le point de presse s'est tenu en présence des membres de l’association et de plusieurs journalistes de différents médias. Après avoir dressé l'historique de l'AVCRHH, le président entrant de l'association a fait un historique de la crise qu'a traversée l'association en 2013, la reconduction de Clément Abaïfouta à la tête de l'association est un regret qui a rendu la situation dramatique, dit-il. Il a ajouté que le texte statutaire du règlement intérieur de l'article 6 dit, « le Bureau Exécutif (BE) convoque l'Assemblée Générale (AG) tous les 3 ans », car de 2013 à 2022, il n'y a eu aucun AG. Selon lui, le quorum de séance à cette assemblée est de ⅔. Les membres ont écrit une pétition pour dépasser ce quorum. Il ajoute qu'en 2013, le BE a fonctionné dans l'illégalité, car aucune demande n'a été envoyée au ministère pour l'autorisation. Il reproche à l'ancien président de malversation et de mauvaise gouvernance.
M. Abaïfouta, après avoir remis la clé à sa vice-présidente lors de sa nomination au Conseil National de Transition (CNT), les membres de l’association considèrent cet acte comme une délégation de pouvoir et la vacance de poste. Car la crise est profonde parmi laquelle figure la crise de confiance et la mauvaise gouvernance, disent ceux qui s’opposent à l’administration Abaïfouta. Ils affirment que les victimes avaient reçu 100 millions de FCFA dont 60 millions utilisés et le président a empoché 12 millions pour acheter une voiture.
Quant à Clément Abaïfouta, il déplore le comportement peu orthodoxe du nouveau BE. Pour lui, on ne peut l'inviter à la veille comme une presse, car il ne peut pas accepter une réunion où il se sent étranger. Il dit se baser sur le texte statutaire de l'association qui dit que le président lui-même convoque l'AG. Il ajoute que lui et ses membres du bureau exécutif n'ont pas pris part à cette réunion qu'il juge biaisée. Il poursuit que toute association à un mandat, et l'Assemblé Générale se prépare dans une durée d'un mois. Dans le texte, c'est en absence du président que la vice-présidente doit lancer l'AG et non organiser cette Assemblée en coulisse. L'AG exige deux choses: d'abord la présentation de rapport et ensuite le bilan de travail. Pour lui, le groupuscule de personne est venu juste lire une liste et allé le présenter dans le quorum. Ils ont créé une semblable crise afin que l'ATPDH (Association tchadienne pour la Défense des Droits de l'Homme) propose une médiation afin de proposer des pistes de solutions. Clément Abaïfouta qualifie la décision de mascarade. On lui reproche d'avoir détourné l'argent, alors que Me Abaïfouta quant à lui, aurait créé une commission pour laisser la somme de 100 millions à cette dernière. Il conclut que l'AG organisée par la vice-présidente accompagnée de quelques membres s'est déroulée en l'absence des cellules de province.
Noël Adoum
L’agence Nationale des volontaires du Tchad (ANVOLT) en appuie avec le ministère de la jeunesse et ses partenaires ont célébré ce vendredi 9 décembre 2022 la journée internationale du volontariat. Cette cérémonie couplée avec la remise des prix aux meilleurs volontaires de l’année a eu lieu à la Maison de la Femme.
Placée sous le thème « le volontariat à travers la solidarité », cette journée du volontariat est une opportunité de reconnaître et célébrer la solidarité, le dynamisme des jeunes engagés, l’esprit des compétences et de passion pour le travail bien fait.
La présidente de ANVOLT Bardé Ronel Isabelle, affirme que l’instauration des actions et des initiatives promises par les volontaires est indispensable à la réalisation de l’idéale d’une société de résilience qui crée un climat propice à l’émergence. Et pour bâtir un monde bon à vivre, les volontaires constituent, le chemin de la paix, de la stabilité, de la solidarité pour promouvoir le vivre ensemble. Elle ajoute, « les volontaires sont une force, une nécessité pour le développement, la journée offre l’occasion de célébrer la solidarité des volontaires à travers l’esprit de sacrifice ». Pour elle, cette célébration constitue le moment privilégié de promouvoir le développement économique et social au niveau local, national et international par le biais du volontariat.
Pour le représentant du Programme des Nations Unies pour Développement (Pnud) Komina Yassine, la commémoration de cette journée vise à témoigner de la volonté de ces volontaires qui par leur engagement s’investissent au quotidien pour donner de l’espoir à l’humanité. « Le thème de cette année nous rappelle la volonté d’agir ensemble telle qu’écrite dans le slogan. Pour avoir travaillé avec les volontaires, je confirme qu’ils apportent avec leur travail le changement par la créativité et l’innovation », a-t-il affirmé.
Il lance un appel aux jeunes non engagés de trouver un moyen de s’engager afin de jouer leur rôle dans la quête de la paix et du développement dans le monde. « Les volontaires sont des leviers du développement, promouvoir le volontariat et le valoriser reste un défi auquel le PNUD y travaille chaque jour », conclut-il.
Selon de la secrétaire d’État Fatimé Boskey Koussei, le thème choisi cette année illustre davantage le sens des actions accomplies par les concitoyens pour le bien-être de tous. Elle souligne que la solidarité exprime la détermination de tous à contribuer d’une manière ou d’une autre à rendre ce monde meilleur par les petites choses qui comptent.
« le gouvernement de la République du Tchad soucieux de l’importance du volontariat et de son impact majeur dans la société a décidé de créer une structure placée sous tutelle du département en charge de la jeunesse », dit-elle. Pour elle c’est dans cette logique que l’agence nationale de volontaires a inscrit la problématique du programme de formation, de solidarité et de partage. « Je me félicite des initiatives prises et des actions menées par ANVOLT avec ses partenaires a commencé la formation et le déploiement des volontaires », a-t-elle conclut.
Le prix du meilleur volontaire des Nations Unies a été décerné à Aldjim Bayo Marcel, le prix du meilleur volontaire de l’année à Abdelmadjid Djida, le prix de la meilleure entité faisant la promotion du Genre par le biais du volontariat revient au Réseau des jeunes volontaires et le prix de la meilleure agence des Nations Unies faisant la promotion des solutions volontaires est décerné au représentant du PNUD.
Haoua Adoum Ibeth
Donatienne Rakindang