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Le Ministère de la Santé publique et de la Prévention a célébré la journée mondiale de la santé mentale édition 2022 sous le thème  «  faire de la santé mentale pour tous, une priorité mondiale » hier mardi 6 décembre à la Maison de la femme.

Pour la coordonnatrice nationale du programme de la santé mentale, Mme Clako  Karamega, la journée mondiale de la santé mentale qui devrait normalement être célébrée le 10 octobre est organisé ce jour pour éviter certaines perturbations. Cette journée a pour objectif, selon elle, de sensibiliser et d’orienter la population sur la question de la santé mentale, « le Tchad comme les autres   pays dans le monde a beaucoup de problèmes de santé mentale  causée  par les problèmes  familiaux, sociaux et autres. Donc, on doit donner notre attention à ce type de patient, on doit  les aider, les orienter vers les services de la santé mentale pour une bonne prise en charge, on ne doit pas les négliger ». Elle ajoute  que cette journée est célébrée en différé.

 Durant 4 jours une  équipe fera le tour dans les différents coins pour sensibiliser toute la population. Mme Karamega relève également  l’insuffisance  des services de prise en charge des malades mentaux et  martèle que c’est  un problème qui handicape leur travail.  «  Vous voyez, pour un pays comme le Tchad, vous ne pouvez pas imaginer qu’il n’y a qu’une seule unité de prise en charge des malades mentaux, l’hôpital General de Reference National. C’est un petit service qui ne couvre pas le besoin de  la population. Toutefois, le ministère est en train de fournir des efforts pour mettre à la disposition de la population tchadienne un centre de prise en charge adéquat pour accueillir ces patients ».  

Pour finir, Mme Karamega interpelle toute la population d'aider toute personne ayant des doubles mentaux proches d'eux en les confiant aux agents sanitaires pour leurs prises en charge.

Narhinguem Anastasie

Le ministre de la Formation professionnelle, des métiers et de la microfinance en partenariat avec l’Agence française pour le développement (AFD) a lancé officiellement un projet pour renforcer le secteur de la formation et de l’insertion professionnelle au service des jeunes tchadiens diplômés et non diplômés vulnérables. Cette cérémonie du lancement a eu lieu ce mardi 06 décembre 2022 au CEFD. Reportage.

Le projet jeunesse vers l’emploi durable est une touche additionnelle, spécifique à l’édification de l’avenir de la jeunesse tchadienne qui vient renforcer et poursuivre les acquis de la composante 1 du projet Bab Al Amal qui est arrivé à terme. Cette nouvelle phase de l’histoire de la formation professionnelle au Tchad est destinée à jouer un rôle de filet social pour les jeunes en situation de vulnérabilité diplômés et non diplômés.

Bertrand Cochery Ambassadeur de la France au Tchad , dit que l’originalité de ce projet concerne 1500 jeunes au départ et se déroulera à N’Djamèna, Moundou, Bongor, Sarh et Abéché grâce à ESSOR qui est une plateforme de coordination du côté tchadien avec Bet Al Nadja (maison de petites entreprises). Pour faciliter la tâche aux jeunes non diplômés de suivre cette formation, un système bureautique d’information sera mis en place pour permettre à ces jeunes de postuler à des sessions de formations et d’orientation complémentaire pour pouvoir sortir de leur situation actuelle, ajoute -t-il.

Adeguelaye Damaris Nodjigoto représentante du ministre de la Formation professionnelle, des métiers et de la microfinance souligne que la particularité de ce projet participe de l’engagement délibéré et concerté des partis prenants à fédérer les compétences locales pour accompagner les jeunes vulnérables vers un développement personnel et l’autonomisation à travers un accompagnement en formation et insertion socioéconomique.« Cette logique portée sur les couches marginalisées et laissées pour compte»,  c’est aussi une touche indélébile et une garantie de la qualité de la réponse des propriétaires, ESSOR et les ONG nationales dans leur responsabilité technique, affirme-t-elle.

De par le caractère multisectoriel et multi acteurs de ce projet qui constitue une plus-value de cette diversité partenariale « vous êtes mandatés à jouer un rôle de cheville ouvrière pour apporter une réponse concentrée et spécifique aux besoins des cibles », a-t-elle recommandé.

« Le gouvernement tchadien à travers ses services déconcentrés et décentralisés s’engage  à vous  accompagner dans cette noble mission», a-t-elle rassuré. Elle recommande aux concernés de mettre an avant leur génie créateur individuel et intelligence collective pour réaliser les activités prévues, atteindre les résultats et satisfaire aux objectifs. Cela veut dire passer des alliances et des synergies d’action pour agir en complémentarité, efficacité et efficience gage de la durabilité et de la viabilité de l’intervention, conclut-elle.

Haoua Adoum Ibeth

Le 20 Novembre dernier alors que s’ouvre au Qatar la 22ème  édition de la coupe du monde de football. Il est 17 h au quartier Mbombaya , des jeunes amoureux de ce sport roi s’empressent pour aller suivre le match inaugural au cinéclub, l’un d’eux, s’arrête et s’exclame « si notre stade était construit, on peut aussi abriter le mondial de football ». Les autres, très étonnés, lui répondent « allons suivre la coupe du monde ». Reportage.

Le stade ou terrain de football est un lieu d’affrontement entre deux équipes, pour les passionnés de ce sport. Le stade est un ouvrage d’art complexe, du point de vue de la construction. L’absence de cet ouvrage d’art complexe constitue un handicap pour le développement du football Tchadien en général, et à Moundou en particulier

Le football est l’un des sports collectifs le plus populaire, le plus pratiqué dans les rues de la capitale économique. Il n’est donc pas surprenant que la construction d’un stade inachevé est un signe que le développement des infrastructures sportives modernes tarde à avancer.

A Moundou la première pierre de construction d’un stade a vu le jour dans les années 2011. Une cérémonie qui à l’époque a suscité plein d’espoir dans la ville. Dix ans plus tard, le chantier est toujours inachevé, l’insuffisance et le manque d’espace pour la pratique du sport alimente les débats en milieu jeune. Si le stade est construit il aura réglé le problème lié aux terrains disent les moundoulais. Considérée comme une ville de football, Moundou a été un creuset pour l’équipe nationale, beaucoup des joueurs issus de ce championnat ont défendu les couleurs du pays.

La ville ne dispose d’aucune infrastructure sportive répondant aux normes de la FIFA mais comme le dit un proverbe « la plus belle femme du monde ne peut donner que ce qu’elle a ». La ligue provinciale de football de Logone remue terre et ciel pour organiser un championnat qui parfois fini à queue de poisson. La construction d’un stade permettra à la ville d’organiser des grandes manifestations sportives de niveau national et international. Malheureusement, la plupart des poses de premières pierres pour la construction ne sont pas réceptionnées et ne sont jamais achevés. Et pourtant dès le début du chantier un panneau est placé sur le site de construction indiquant le délai d’exécution du chantier.

Dans son discours à la nation, le président de transition a déclaré 2022 l’année du sport. Deux semaines du championnat national est la seule activité sportive majeure de l’année organisée sous la pression de la CAF et de la FIFA. La relance du sport tchadien annoncée tambour battant par les autorités en 2022 nécessite des capitaux pour sa mise en œuvre. Les investissements ne suivent pas les déclarations, le stade de Moundou est resté dans sa phase de début de construction. Le Tchad compte plus de 10 stades en construction mais aucun n’est achevé. Le seul stade qui abrite une compétition ne répond pas aux normes FIFA, ainsi les matchs du Tchad se jouent à l’étranger, c’est un manque à gagner pour le pays.

Mbaiwanodji Adrien, Moundou, Ialtchad Presse

Le comité d’assistance aux victimes de Krim krim a effectué une visite ce mardi 6 décembre 2022 au service de la chirurgie de l’hôpital provincial de Moundou. Pour rappel du 20 au 22 novembre dernier, la population du canton CAP mécontent du sort qui leur ai réservé par rapport au dossier de la dévastation d’un champ par des bœufs se sont mobilisée pour venir à la gendarmerie demander la libération d’un des leurs, une demande soldée par la mort de 10 personnes et une vingtaine autres blessées. « Nous sommes venus assister les survivants de l’évènement malheureux qui a une fois de plus endeuillé la famille tchadienne », a dit le chargé de communication de ce comité Bétoloum Bénoit Joseph.

Toujours selon M. Bétoloum, suite à cet évènement spontané nous avons mis sur pied ce comité afin de mobiliser des ressources en vue d’assister ces victimes, le soutien des bonnes volontés sera un ouf de soulagement, « l’hôpital a beaucoup fait avec les premiers soins d’urgence, il manque encore des moyens pour les frais médicaux. Les bonnes volontés ont manifesté pour nous permettre de poser cet acte humanitaire », ajoute-t-il.

Pour le comité au sujet des mécontents arrêtés, que justice soit rendue. Le comité organisera dans les jours avenirs une visite dans leur lieu de détention pour les assister. « Nous exhortons les blessés qui ont quitté l’hôpital sans l’autorisation du médecin de revenir suivre les traitements quel que soit la situation Dieu pourvoira un jour ». Pour Betoloum Benoit Joseph, il faut respecter le droit humain, il faut préserver le droit humain, l’être humain est sacré on ne peut pas le violenter. Il y a certaine revendication à faire, mais il faut que cela respecte les normes, quel que soit la faute commise, peut-être une façon de la reprendre, mais ce que nous avons vu ce jour ça relève d’un autre âge, nous ne jugeons pas , nous ne condamnons pas, mais face à ce genre de chose, les gens privilégient plus de dialogue que d’utiliser la violence pour résoudre un problème ou pour satisfaire une revendication.

Mbaiwanodji Adrien, Moundou, Ialtchad Presse

Après la suspension du journal Salam info et son Directeur général Martin Inoua Doulguet par la Haute Autorité des Médias Audiovisuels (HAMA), le 02 décembre dernier, les avocats du Journal Me Olivier Gouara et Me Ndilyam Mouadjimtog ont animé une conférence de presse ce lundi 5 décembre à 12h au siège du journal au quartier Habena dans le 7e arrondissement de la ville de N'Djamena. Reportage.

 La conférence de presse s'est tenue en présence de plusieurs journalistes de différents organes de presse et de quelques invités venus assister à cette conférence. Pour l'avocat Me Olivier Gouara, la décision de la HAMA ne présente aucune notification et n'a pas été faite au journal Salam info en tant qu' organe de presse. Il a été surpris par les arguments qui ne s'appliquent pas sur les fondements juridiques. Selon lui, les textes visés par la HAMA ne sont pas des textes qui devraient être applicables. Il poursuit que, l'objectif de la HAMA est de museler ou empêcher Salam info et son Directeur général d’exercer. Me Gouara ajoute que M. Azoudoum Owaïna Gédéon est lié au journal par un contrat de travail pour qu'il soit le Directeur de Publication. Selon lui, Martin Inoua Doulguet a été convoqué pour l'aspect administratif de l'audition et ensuite tout a basculé sur le contenu rédactionnel du journal. Ce qu'on reproche au M. Inoua Doulguet, c'est un édito qu'il avait publié sur la page Facebook de Salam info, «la HAMA doit cesser d'être une caverne d'Ali Baba qui profite au censure et autres vampires de la caisse de l'État». Il ajoute « qu'en Droit, ce qui n'est pas interdit par la loi est permis». Pour lui, une page Facebook ne peut être considérée comme la presse en ligne. Enfin, il conclut que la HAMA est immunisée, celui qui touche à la HAMA ou à ses intérêts, aura une procédure automatiquement de la sanction. Cette institution estime que M. Martin l'aurait attaqué sur les réseaux sociaux.

Pour Me Ndilyam Mouadjimtog, la décision de la HAMA ne peut jamais résister à la rigueur du Droit. Il ajoute qu’elle doit-être pris sur le siège avant de la notifier à qui de droit. Pour lui, les 9 conseillers nommés par le président de la République composent un collège. Le président de la HAMA à lui seul ne constitue pas le collège pour prendre une décision. Le journal a reçu une convocation pour une audition simple qui est une procédure disciplinaire. Il déplore la décision de la HAMA prise par des fonctionnaires alors que c'est le rôle des conseillers. Pour la HAMA, le journal Salam info qui a obtenu le récépissé de déclaration auprès du tribunal de grande instance de Bongor ne peut pas paraître à N’Djamena alors que la loi 17 permet à ce qu'un organe puisse transférer son siège d'une région à une autre.

Noël Adoum

Le comité olympique et sportif tchadien a lancé ce  05 décembre à l’Institut Nationale de la Jeunesse et du Sport (INJS) la semaine d’excellence sportive 1re  édition, sous le thème « Paix et cohésion sociale ».

Cette semaine d'excellence sportive est lancée afin de mieux préparer les compétitions mondiales qui sont en cours, mais également pour prouver  à l’opinion que le sport est un élément catalyseur de la paix et de la cohésion sociale. Il permet aussi de mettre en exergue les talents des athlètes tchadiens, disent les organisateurs.

Son Vice-président Bani Gata Goulou dit avoir l’obligation de créer les activités sportives parce que cette année est déclarée par le président de transition, une année de sport. Comme l’année tire à sa fin, le Cost a décidé d’honorer la parole présidentielle et d’aider le gouvernement dans sa politique pour que la jeunesse se mette en synergie autour du sport. Cette semaine consiste aussi à montrer le travail effectué par la fédération pour faire la promotion des athlètes.

Malheureusement, par manque de budget, parmi les 15 disciplines, 12 ont répondu présents pour participer. Durant ces 7 jours de compétition, les 12 fédérations sportives présenteront des activités dans les différents centres retenus pour la circonstance. Il s’agit du taekwondo, judo, karaoké, lutte, tir à arc, athlétisme, basket, etc.

Le vice-président signale que la semaine d’excellence est à sa 1ere édition. Il se déroule donc à l’échelle locale au niveau de N’Djamena. L’idée est de faire que les prochaines éditions puissent impliquer toutes les régions.

Donatienne Rakindang
Narhinguem Anastasie

Par une décision rendue publique samedi 03 décembre dernier par la Haute Autorité des Médias et de l'Audiovisuel (HAMA) a suspendu le journal SALAM Info et son «Directeur général» Martin Inoua Doulguet. La HAMA reproche, la non-conformité du journal avec le texte régissant la presse au Tchad, la posture de défiance et de dénigrement continu par M. Inoua Douglet vis-à-vis de l'institution régulatrice des médias au Tchad et enfin le Directeur général de Salam Info ne dispose pas d'une carte professionnelle de journaliste, selon la HAMA. Cette suspension fait couler beaucoup d’encre. Le coordonnateur de Mouvement Citoyen pour la Préservation de la Liberté (MCPL) M. Sosthène Mbernodji réagit. Reportage.

Le journal Salam info et son Directeur de Publication Martin Inoua Doulguet ont été suspendus par la HAMA de toute parution (papier et numérique) jusqu'à l'obtention d'une nouvelle déclaration de parution auprès du Procureur de la République, près du Tribunal de Grande instance de N'Djamena et ensuite la suspension de Martin Inoua Douguet de toute activité journalistique jusqu'à l'acquisition de la qualité de journaliste.

Après la suspension du journal, le coordonnateur du MCPL M. Sosthène Mbernodji estime que cette décision est cynique et qualifie cette suspension de deux poids deux mesures. Pour lui, la HAMA est en train de surpasser ses prérogatives. « Elle ferme hermétiquement les yeux sur tout ce qui se passe dans les médias publics », dit-il. Il soutient que lors de la manifestation du 20 octobre dernier, aucun média public n'a parlé de la répression. Il est surpris qu’un après-midi, ces mêmes médias publics parlent de point de presse du Premier ministre. Pour lui, du point de vue professionnel, qu'il y a un problème.

M. Sosthène Mbernodji n'a pas manqué de dénoncer la suspension ou mise en demeure des certains médias privés notamment la radio paysan à Doba, la radio Terre nouvelle à Bongor et tout récemment le journal Salam info de N'Djamena. Pour lui, certains journalistes des médias publics ont rangé de côté l'éthique et la déontologie qu'ils ont apprise durant leur formation universitaire et se contenter du griotisme pour plaire aux rois. Il souligne qu'un média d'État fonctionne grâce à l’argent du contribuable, mais n'est pas le média d'un régime. Pour lui, la décision intervenue au lendemain de la journée et de la démocratie (1er  décembre) remet en cause ces valeurs. Il estime que la question de la conformité juridique du journal Salam info est un prétexte parce que l'autorisation et la déclaration de parution ont été attribuées par le Tribunal de Bongor. La ville de Bongor fait partie de la République du Tchad. Et donc, « le journal Salam info n'a pas besoin pour s'implanter et paraître dans d'autres villes du pays d’une autre autorisation», dit-il. Il affirme que la HAMA s'est érigée en tribunal et sanctionne tout organe de presse qui critique sa gestion.

Noël Adoum

 

Après la commémoration de la journée internationale le 03 décembre 2022, sous le thème « Des solutions transformatrices pour un développement inclusif de l'innovation dans la création d'un monde accessible et équitable ». Ialtchad Presse s'est entretenu avec quelques personnes vivant avec le handicap.

Célébrée chaque année depuis 1992 à l'initiative de l'Organisation des Nations Unies (ONU), le 3 décembre est la journée internationale des personnes handicapées. Elle vise à promouvoir la compréhension des questions de handicap et à mobiliser le soutien pour la dignité, le droit et le bien-être des personnes handicapées.

Une remise de matériels au Réseau des personnes handicapées du Tchad (RAPHAT) ce 4 décembre au quartier Amriguébé dans le 5e arrondissement de la ville de N’Djamena, capitale tchadienne.

Pour Achta Radia Abdoulaye Secrétaire général provincial de Sila de RAPHAT, s’interroge si cela vaut la peine de fêter cette journée ? Pour elle, cette journée est une occasion de changer le regard sur les personnes handicapées malheureusement ce n'est pas le cas, dit-elle.

Parlant des difficultés des personnes handicapées surtout celle de la province du Sila, elle affirme,  « il nous manque des tricycles, des moyens pour les activités génératrices de revenus et l’accès aux études supérieures ». Selon elle, les hautes autorités cherchent à tout prix à satisfaire les personnes handicapées dans la généralité, mais il y a certains individus à côté qui profitent pour nous écarter tout en nous regardant avec mépris. Elles traitent la question des personnes handicapées comme si c’est une question de charité. « Il faut changer de paradigme, il faut se battre pour gagner notre vie car le problème des personnes handicapées n'est pas dans la pensée  ».

Taryam Michael Secrétaire Général Adjoint du comité national Paralympique affirme que par le passé, les concitoyens négligeaient la question des personnes handicapées. Les handicapées rencontrent d'énormes difficultés dans la vie active par exemple la grande partie des édifices publics sont construits en étages et les concepteurs n’ont pensé aux personnes handicapées. « Toutefois avec la loi 07 les choses vont s'améliorer au fur et à mesure ».

Pour Galmaye Moussa Abderamane, président national du réseau des personnes handicapées du Tchad et Conseillère nationale représentante de la personne handicapée a offert des matériels du bureautique pour améliorer les conditions de travail des personnes handicapées.

Dans la même d'ordre idée Mme Haram Alkhali Moussa affirme,  « je voudrais féliciter tous les activistes de la question du handicap et lancer un appel aux autorités nationales et aux partenaires d'œuvrer davantage pour l'inclusion et le développement intégré en faveur des personnes handicapées ». Elle rajoute,  « j'offre au Réseau des personnes handicapées du Tchad est une expression de mon engagement personnel pour la cause du handicap, une cause noble et humaniste ».

Ousmane Bello Daoudou

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