Le Collectif des diplômes tchadiens des Écoles Nationales d'Administration et de Magistrature de l'extérieur (CODITENME) a animé un point de presse ce vendredi 4 octobre à la maison de Médias du Tchad au quartier Moursal dans le 6e arrondissement de la ville de N’Djamena. Les membres du CODITENME exigeant leur intégration à la fonction publique.
M. Baibonwa Jonas porte-parole du Collectif tient dénonce le laxisme des autorités publiques à différents niveaux, « le collectif est victime dans ses démarches administratives ». Selon lui, plusieurs démarches ont été entreprises depuis mars 2022 jusqu’aujourd’hui auprès de la République de la présidence, de la primature et au ministère de la Fonction publique et concertation sociale relative à l'intégration à la fonction sont restés sans suite favorable.
Toujours selon M. Baibonwa, entre-temps les arrêtés portant l'intégration dans le cadre régulier à la fonction publique continuent en faveur des proches du pouvoir politique, du système « c’est du clientélisme et du favoritisme. Pourquoi subissons-nous cette injustice? Étudier dans les écoles nationales d'administration et de Magistrature à l'extérieur est-il un péché? Est-ce que c’est une banalisation ou c’est notre formation douteuse qui est douteuse? ».
Le collectif demande au Président de la République et à son gouvernement de revenir à des bons sentiments, à penser à la situation des lauréats du collectif qui ont fini depuis 2007 et qui sont abandonnés à leur triste sort.
Enfin, le collectif dit être ouvert pour aboutir à un résultat favorable.
Ousmane Bello Daoudou
Dans un communiqué publié ce mardi 24 septembre, le gouvernement du Tchad et le groupe de la Banque africaine de Développement (BAD) à travers la facilité africaine sur l'économie circulaire ont procédé au lancement du projet pour l'élaboration d'une feuille de route dans le cadre de l'économie circulaire.
Selon le communiqué, ce doucement représente un premier pas afin de débloquer le potentiel transformateur de l’économie circulaire. Dans le même communiqué, une feuille de route pour le pays a été établie. Elle vise à faire de l'économie circulaire un levier pour la croissance verte du pays. Il est aussi dit que la BAD entend aligner les investissements aux dynamiques de développement durable en fournissant au gouvernement tchadien des outils concrets pour une transition vers la circularité tout en alignant les initiatives avec les politiques de développement durable et de lutte contre le changement climatique en instaurant un cadre de gouvernance propice.
Le communiqué souligne que cela facilitera la transition vers une économie circulaire qui est une opportunité pour le Tchad d'augmenter la production agricole, de renforcer la sécurité alimentaire et d'offrir de nouvelles opportunités d'emploi aux jeunes.
Pour la BAD cela favorise l'économie circulaire comme stratégie de développement permettant ainsi au Tchad de faire croître son économie sans dépasser les limites planétaires d’émission de gaz à effet de serre. Les secteurs prioritaires identifiés sont : la gestion des déchets plastiques, l'agroalimentaire, l'eau et l'énergie.
Ousmane Bello Daoudou
La Banque africaine de développement (BAD) a lancé le projet de feuille de Route nationale pour l'économe circulaire(NCER) pour le Tchad en collaboration avec le ministère du Tourisme ce lundi 23 septembre 2024 dans un hôtel de la place.
Pour le Représentant de la BAD au Tchad le projet de feuille de Route nationale pour l'économie circulaire est une initiative de la facilité africaine pour l'Économie circulaire de la Banque Africaine de Développement (ACEF) en collaboration avec l'Alliance Africaine pour l'Économie Circulaire.
Pour lui, ce projet vise à accélérer la transition de l'Afrique vers l'économie circulaire et à mobiliser son potentiel considérable. Le représentant de la BAD ajoute que le NCER établit les bases pour un changement systématique et une transformation sociétale.
Le Représentant de BAD affirme que ce sont les évolutions des stratégies nationales, environnement, favorables aux initiatives du secteur privé en faveur de l'économie circulaire, du renforcement des capacités institutionnelles et les impacts globaux qui stimulent la croissance verte et l'action pour le climat sur le continent et au niveau international.
Il affirme que son plan d'action pour l'économe circulaire représente est un levier permettant de canaliser les investissements vers une exploitation efficace du capital naturel africain qui aura des retombées positives à la fois pour l'environnement et pour les citoyens.
Rappelons que ce projet concerne 5 pays : le Bénin, le Cameroun, le Tchad, l’Éthiopie et l’Ouganda.
Ousmane Bello Daoudou
Une femme âgée de trente ans a été assassinée par époux à l'aide d'un couteau dans la nuit du samedi à dimanche 08 septembre 2024 à Bakara dans la commune du 7e arrondissement de N'Djaména. Quelques voisins témoignent.
Elle s'appelait Dissimadji et mère d'une fille d'un an et dix-huit mois. Selon les témoignages le couple disputait dans nuit du samedi à dimanche. Cette dispute a déclenché la bagarre. « Ils ont commencé la bagarre dans la chambre, quand elle avait senti que ça n'allait plus , elle a couru partout autour de la maison, son mari la poursuivait avec un couteau en main. c'est en route qu'il a fini par la tuer puis il l'a traînée de déposer dans la chambre avant d'aller appeler les voisins en leur disant que sa femme est saoule. Dès l'arrivée des voisins, il s'est retiré dans la chambre voisine. Alertée, la police est venue l'arrêter. Actuellement il est en prison » témoigne le neveu de la défunte Moimemsingar Honoré.
Selon les témoignages des voisins de la défunte, le drame s'est produit dans la nuit du samedi à dimanche. « La victime était en train de faire ses travaux ménagers hier en journée. Nous étions venus travailler au champ, la défunte était avec nous, elle faisait ses tâches ménagères, elle fendait le bois de cuisson, nous l'avons laissée en train de préparer à manger, son mari était dans la chambre toute la journée. Lors que nous sommes rentrés , elle se portait bien. Et à notre grande surprise quand nous sommes revenus le matin, nous avons vu un attroupement devant sa chambre, nous avons demandé qu'est-ce qui s'est passé ? Les gens surplace nous ont dit que Dissimadji est morte, son mari l'a poignardée à l'aide un couteau suite une dispute entre eux », dit une femme rencontrée dans la cour de la défunte.
D'après l'explication de sa voisine proche Taroum Angel, son mari l'aurait assassinée tard dans la nuit. « La scène s'est passée un peu plutôt, malheureusement nous n'avons pas su, car nos maisons sont éloignées. C'était à minuit que mon voisin ( l'assassin ) est venu toquer à ma porte, je lui ai demandé c'est qui ? Il m'a répondu que c'est moi Toloum. Je lui ai demandé pourquoi il est venu chez moi tard, il a dit venez voir avec moi Dissimadji, elle est saoule, l'enfant pleure. Je l'appelle, mais elle ne répond pas. Quand nous nous sommes rendus chez eux, dans la chambre, nous l'avons trouvée déjà morte, lorsque nous l'avons tournée, nous avons vu qu'elle a reçu un cadeau à la clavicule et blessures graves au ventre, son coup cassé et plus ses épaules sont rabattus, entre-temps le monsieur a pris fuite. C'est certainement son mari qui l'a tué, car à chaque fois qu'ils se bagarrent, son époux la menace de mort », dit-elle.
Après le constat du délégué du quartier, le corps de victime a été déposé à la morgue.
Kinga Baye Dogo
Ce vendredi 6 septembre 2024, Ahmat Absakine Yerima a présenté et dédicacé son livre intitulé « Dans le sillage d'une transition réussie » dans la grande salle de l'Office national des médias audiovisuels ( ONAMA ).
C'est un essai de 154 pages, édité à Nouveaux talents. Cet essai est le deuxième ouvrage de Ahmat Absakine Yerima après celui de « Tchad, le réveil diplomatique ( 1990- 2020) » publié à Yaoundé aux éditions proximités en 2020.
Divisé en huit chapitres, l'auteur commence son ouvrage par la disparition brutale et tragique du feu maréchal Idriss Deby Itno où il attribue une importance capitale à la présence militaire ( CMT), dès l'annonce du décès du maréchal, qui a maintenu la sécurité jusqu'à la fin de la transition. Il retrace l'histoire sociopolitique du Tchad essentiellement dans le contexte transitoire. Ainsi, l'ouvrage de Ahmat Absakine Yerima se résume en huit parties essentielles , entre autres, le retour à l'ordre constitutionnel, l'accord de Kinshasa entre le gouvernement et l'opposant Succès Masra.
Né le 21 janvier 1969 à Fada, dans une zone désertique dans le nord du Tchad, le grand Borkou, Ennedi Tibesti ( BET), Ahmat Absakine Yerima est journaliste et diplomate. Il a occupé plusieurs postes de responsabilité à savoir : rédacteur en chef à la radiodiffusion nationale tchadienne , chef de service de presse adjoint à l'assemblée nationale et à la présidence de la République, attaché de presse à la mission permanente du Tchad auprès de L'ONU. Il fut également conseiller culturel à l'ambassade du Tchad au Burkina Faso.
Taiwa Félix Ngangué
La plateforme des diplômés sans emploi en instance d'intégration à la fonction publique dénommée « Sabarna » a fait un point de presse le vendredi 6 septembre 2024, à la Maison des jeunes de Walia dans le 9e arrondissement de N'Djaména pour encourager les autorités de créer des conditions nécessaires pour l'entrepreneuriat et l'accompagnement des jeunes Tchadiens.
Le Coordonnateur de « Sabarna » Yousouf Soumaïné a félicité le président de la République Mahamat Idriss Déby Itno pour son attention à l'endroit des jeunes. « Nous souhaitons exprimer notre gratitude au président de la République pour son engagement indéfectible aux côtés des diplômés en quête d'intégration à la fonction publique . Nous adressons également nos remerciements au ministre de la Fonction publique pour sa vision éclairée qui vise à créer, en complément de la fonction publique des conditions favorables pour l'absorption des diplômés. Cette approche est fondamentale pour faciliter l'accès des jeunes au marché du travail et lutter contre le chômage croissant », a-t-il affirmé.
Il a indiqué que, face à l'augmentation exponentielle du nombre de diplômés, il est clair que la seule fonction publique ne peut pas absorber tout le monde, mais il demande au chef de l'État de créer des conditions favorables pour l'emploi des jeunes diplômés tchadiens qui sont, pour la plupart devenus des mototaximans. « Si l'on veut réellement lutter contre le chômage des jeunes, nous demandons au chef du gouvernement d'appuyer le ministre de la Fonction publique dans sa politique permettant à réduire le taux du chômage au Tchad. Il est impératif d'agir ensemble, car l'union fait la force ».
Selon lui, les mesures concrètes pour promouvoir l'emploi des jeunes diplômés peuvent encourager les entreprises à embaucher des diplômés ainsi que celles visant à promouvoir l'entrepreneuriat.
Nadège Riradjim
L’association Mutuelle pour le Développement économique et social de la femme tchadienne (MUDESOFT) a organisé un atelier de formation sur « l’élaboration d’un plan de communication des initiatives de la paix avec la participation effective des organisations de la société civile (OSC) /OCB, autorités et des médias » à la Maison des médias ce jeudi 5 septembre à N’Djaména, capitale tchadienne.
Cet atelier a pour objectif de contribuer à un changement de comportement des communautés pour la consolidation de la paix et la cohésion sociale au Tchad. Selon la présidente de la MUDESOFT, Tonguebaye Madji Eunice « Cette rencontre rentre dans le cadre de la mise en œuvre du projet citoyenneté active et Gouvernance ouverte au Tchad à travers les ONG comme Oxfam, Accord-TCHAD et CNCPRT. Cela vise à renforcer la promotion et la protection de l’espace civique en vue d’améliorer les conditions préalables d’une bonne gouvernance, d’un développement inclusif et des politiques de réformes publiques inclusives et efficaces dans notre pays », a-t-elle indiqué.
Elle ajoute que c’est aussi un moyen pour la consolidation de la paix, enracinement d’une participation citoyenne, gage d’une démocratie participative. « Il s’agit de renforcer les capacités des OSC/OCB, les autorités et les médias sur l’importance du plan de communication : d’identifier et analyser les initiatives de paix et de cohésion sociale en fonction des réalités socioculturelles des zones cibles ; définir les types de messages, les canaux de diffusion et les cibles à atteindre ainsi que les actions à mener en lien avec les initiatives de paix et le processus de cohabitation pacifique ».
Cet atelier consiste donc à donner la parole aux acteurs concernés pour identifier les types de messages, les canaux de diffusion, les actions à mener en lien avec les initiatives de paix dans le but d’élaborer le plan de communication.
Riradjim Nadège
Ce samedi 31 août, une cérémonie de graduation de la deuxième promotion de l’annexe de l'Université Sacré-Cœur de Milan en Italie en partenariat avec la fondation E4IMPACT et le Centre d’Études et de Formation pour le Développement (CEFOD) Business School (CBS) a eu lieu dans la capitale tchadienne, N’Djaména. Plusieurs domaines de formation étaient concernés.
Ils sont au total 10 lauréats à avoir eu leurs parchemins, issus de la promotion 2022- 2023 dans plusieurs secteurs d'activités parmi lesquels le secteur de l'élevage, l’agrobusiness, le service oil & gaz, bureau d'études bâtiment-accompagnement-services, ainsi que celui de la transformation du blé. Placée sous le thème : « Entreprendre pour un développement durable est une économie résiliente », cette cérémonie a vu la participation de plusieurs acteurs du secteur socioprofessionnel.
Pour Jean Batiste Djatta, directeur général de CBS soutient que le CBS forme des employeurs et non des employés. « Qu'il me soit permis de rappeler l'une des caractérisations assez fragmentées du CBS que l'on trouve un outil de marketing ».
Taiwa Félix Ngangué
Le ministre de l’Environnement, de la Pêche et du Développement durable M. Idriss Saleh Bachar a lancé la Semaine nationale de l’arbre ce samedi 31 août 2024 au campus de Toukra, Université de N’Djaména, capitale tchadienne, en présence du Premier ministre Allah-Maye Halina et d’autres personnalités.
D’abord, la mairesse de la ville de N’Djaména Fatimé Zara Douga a pris la parole pour souligner l’importance de planter les arbres en expliquant que l’arbre est une grande richesse dans la société. « Les arbres purifient l’air que nous respirons est contaminé par la pollution et nous procurent de l’ombre ainsi que la fraîcheur. Pour lutter contre la dégradation des terres et des effets du changement climatique, les arbres sont une des solutions. N’Djamena n’est pas à l’ abri de la désertification, la destruction des arbres par l’homme et les effets du changement climatique qui sont des menaces réelles pour la ville », a-t-elle indiqué. La première magistrate de la ville de poursuivre que, la protection de l’environnement occupe une place de choix pour les hautes autorités de la République.
Ensuite, le ministre de l’Environnement de la Pêche et du Développement durable Dr Idriss Saleh Bachar, a martelé que le monde fait face aux défis écologiques, menaçant non seulement l’avenir des contemporains, mais également celui des générations futures. « Pour surmonter ces obstacles, il est essentiel que nous unissions nos forces et avancions vers un avenir durable et harmonieux », a-t-il dit. Il a rajouté que pour relever ces défis, le gouvernement s’est engagé en cohérence avec les Objectifs de développement durable (ODD) 2030 et agenda 2063 de l’Union africaine (UA) à renforcer les actions de lutte contre ce fléau afin de réduire leur impact.
Enfin, selon le Premier ministre Allah-Maye Halina, cette semaine de plantation d’arbres, entre aussi dans la droite ligne du programme politique du chef de l’État. « Lorsqu’on parle de la protection de l’environnement, il s’agit de protéger l’environnement, mais aussi la population tchadienne. Beaucoup de bienfaits des arbres ont été relevés. L’arbre est anti-pollution de l’air, il filtre le gaz carbonique et nous renvoie l’oxygène pur », a conclu le chef du gouvernement.
Riradjim Nadège
À un mois de la rentrée scolaire au Tchad, les enseignants n’arrivent pas toujours à s’entendre pour organiser le congrès pour changer le bureau exécutif du Syndicat des Enseignants du Tchad (SET) dont le mandat est expiré depuis mars 2023. Le Comité de crise créé dans la foulée envisage s’organiser en syndicat aussi.
L’ex-Comité de crise du Syndicat des enseignants du Tchad, piloté par Djimoudouel Faustin veut se transformer en Syndicat Indépendant des Enseignants du Tchad (S.I.E.T). Depuis le début de l’année scolaire 2023-2024, les enseignants sont divisés en deux.
Il y a les partisans du bureau exécutif du SET, d’autre part les membres du comité de crise qui demande le départ du Secrétaire général du SET avec M. Ngartoïdé Blaise en fonction depuis mai 2019.Cependant, le mandat de l’ancienne équipe est expiré en mars 2023, soit un an et demi sans l’organisation d’un congrès et la mise en place d’une nouvelle équipe. Toujours est-il que dans cette cacophonie, ce sont les élèves qui feront les frais. Maintenant avec un syndicat bicéphale, la lutte des enseignants ne risque-t-elle pas de se disloquer ? « C’est le principe de diviser pour mieux régner qui est en train d’être appliqué dans le milieu des enseignants. C’est une manière pour le gouvernement de profiter de cette faille pour ne pas respecter le pacte social et certains points de revendication des enseignants », dit Moula Jean-Paul un enseignant en retraire.
Les deux camps s’affrontent souvent sur les réseaux sociaux et même parfois physiquement et verbalement. Sur une place publique à N’Djaména, un groupe d’enseignants discutent à propos de la discorde entre les enseignants. L’un lance « Blaise et sa bande sont les pions du gouvernement. Ils ne se soucient pas de nos vraies revendications. Ils prennent de l’argent au nom des enseignants, mais ils ne font rien. C’est une bonne nouvelle avec la création du Syndicat indépendant des enseignants du Tchad. Là au moins, nous allons nous exprimer librement et décider de ce qu’on va faire ». L’autre répond « Faustin et le comité de crise est une fabrication des transformateurs. Lorsque Succès Masra a été nommé Premier ministre, le comité de crise a demandé aux enseignants automatiquement à reprendre les cours. Chose qu’ils ne voulaient pas faire au temps de l’ancien Premier ministre Saleh Kebzabo ».
Dans ces péripéties et cette guerre de leadership des enseignants, le comité de comité de crise avait porté plainte contre le bureau exécutif du SET pour illégitimité. Dans un premier temps, le parquet avait donné raison au comité de crise. Mais, le bureau exécutif a fait appel, le 19 juin dernier, la Cour d’appel de N’Djaména après délibération a conclu que le comité de crise du SET « n’est pas doté de la personnalité juridique requise pour agir », donc il ne peut pas organiser le congrès. L’ancien comité de crise compte lancer les activités de son syndicat ce 31 août. Cependant, certaines proches du bureau exécutif du SET, renseignent que le congrès serait organisé du 4 au 6 septembre prochain. Le gouvernement à travers le ministère de l’Éducation nationale, disent nos sources, a intérêt à restaurer l’ordre dans le milieu des enseignants à l’aune de la rentrée scolaire qui se trouve aujourd’hui politisé au grand dam des élèves et parents.
Amadou Voundia