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Le syndicat des magistrats a tenu une assemblée générale pour évaluer la grève. Cette assemblée générale a eu lieu ce lundi 7 novembre au palais de la justice. Les magistrats ont décidé de suspendre la grève. Reportage.

Suite à la grève lancée il y a quelques mois, les magistrats ont décidé unanimement de suspendre cette grève jusqu’à la fin janvier sur toute l’étendue du territoire national.

Cette grève lancée par les magistrats a eu des conséquences incalculables, dit Taoka Bruno président du syndicat autonome des magistrats du Tchad. « C’est pourquoi nous avons décidé de suspendre cette grève. Les dossiers qui se sont entassés seront, d’ici à demain, traités », souligne-t-il. Taoka Bruno rappelle que leurs revendications qui sont entre autres : la détention  d’arme des magistrats, la revalorisation des points d’indices, le non-respect du protocole d’accord entre les médiateurs et le syndicat. Il ajoute qu’un arrêté ministériel a été signé par le Premier ministre « suite à cet arrêté, nous allons travailler avec nos partenaires de la Fonction publique, des Finances et autres », dit-il.

Les magistrats disent que les portes des tribunaux seront ouvertes dès demain mardi 8 novembre. M. Taoka appelle les magistrats des provinces actuellement à N’Djamena de repartir à leur lieu de travail et à ceux de N’Djamena de regagner leur poste.

Abdoulaye Bono Kono, vice-président du syndicat autonome des magistrats du Tchad affirme que la Justice est un principe moral. Et c’est  comme un apollon des instructures institutionnelles donc, ils ne peuvent pas rester en grève lorsque les citoyens en pâtissent. « Nous sommes humains, nous avons nos sentiments sociaux. C’est à contrecœur que nous partons en grève, vous devez le savoir. Cette suspension nous conduira jusqu’à la fin janvier pour voir l’engagement  du gouvernement », dit-il. Il souligne que ce n’est pas une levée, mais une suspension de grève pour 3 mois, conclut-il.

Haoua Adoum Ibeth
Narhinguem Anastasie

OXFAM à travers le projet gouvernance foncière inclusive et juste au Tchad, organise une formation de renforcement de capacité de plus d’une vingtaine des acteurs des organisations de la société civile, de la zone méridionale en plaidoyer et influence pour une bonne gouvernance foncière au Tchad.

Le coup d’envoi de ces assises de 3 jours est donné ce lundi 07 novembre 2022 par le chargé de plaidoyer et communication de OXFAM Mahamat Ibrahim Saleh. Les trois de formation permettra aux acteurs des organisations venus du Logone oriental , du Mayo Kebbi Est  et le Mayo Kebbi Ouest, le Mandoul, le Moyen chari de contribuer à faire du plaidoyer pour une réforme foncière inclusive, équitable et sensible à la politique Genre mais aussi à accompagner les autorités dans le processus de reforme foncière enclenché depuis quelques années. La question foncière au Tchad est d’actualité. Ainsi beaucoup des dispositions demandes des réactualisations ; cette formation aidera aux participants d’être outiller avec les techniques nécessaires pour accompagner ce processus , en ayant une certaine influence par rapport a l’expertise de chaque participant.

Au lancement officiel des travaux, Mahamat Ibrahim Saleh affirme que cette formation est une occasion pour les organisations de la société civile de s’impliquer dans le processus de l’élaboration du Code domaniale et foncier pour que « vos préoccupations et priorité soient soit prise en compte dans la législation qui verra le jour dans les années qui vont suivre ». Il affirme que la question de la sécurité alimentaire est indissociable de la question foncière « sans la terre on ne peut pas produire », c’est pourquoi, dit-il, qu’OXFAM s’intéresse  à la fois à la question foncière et à la sécurité alimentaire des communautés mais aussi de pouvoir renforcer le pouvoir économique des jeunes et des femmes. Cela pour qu’il y ait une dynamique économique plus inclusive a tous les niveaux qui puisse profiter à tout le monde. Ces techniques en matière de plaidoyer et d’influence vous permettront d’identifier les opportunités en termes d’influence et de construire le message de façon plus claire et de pouvoir cibler les bons moments et les bonnes personnes pour faire passer de messages.

Mbaiwanodji Adrien

Les activités du mois de livre se poursuivent à la bibliothèque nationale (BN) ce 5 novembre. Une conférence-débat a eu lieu sur le thème : l’importance de la lecture. Elle a été animée par Nandigui Maintol Michael linguiste et enseignants. Reportage.

Dans sa présentation le conférencier a parlé du besoin de la relation humaine, physique, morale où livresque que doit avoir un être humain. Il a cité les avantages de la lecture qui stimule le cerveau, le rend emphatique, permet de mieux comprendre son environnement, enrichi notre vocabulaire. Il ajoute que la lecture garde le cerveau actif et l’empêche de perdre ses capacités. Elle diminue le stress du boulot, les soucis parce qu’elle nous fait voyager, améliore nos connaissances, notre cerveau est mieux équipé et accroît nos vocabulaires.

Il a également souligné l'importance de la lecture qui est une ouverture à notre esprit et un élargissement à nos connaissances, elle augmente les aptitudes à exercer une pensée critique, à accepter l’autre, mais plus important encore elle est un divertissement gratuit.

Le conférencier a relevé que les jeunes ne lisent pas parce les textes ne s’adaptent pas à leur culture et temps, mais aussi par manque d’engouement des professeurs et par manque d’attention de l’État.

Réaction des élèves à la sortie de la conférence-débat

Pour l’élève Dero Viviane, la lecture est très importante, ce qu'elle retient de cette conférence c’est comment organisé son planning pour la lecture et le fait que la lecture nous permet de maintenir nos esprits ouverts vis-à-vis de l’opinion et la culture des autres.

Sangbay Claude, retiens de la conférence les bienfaits de la lecture, car selon ces propos la lecture est un moyen d’acquérir plus de connaissances, il a autant appris que c’est ne sont pas tous les livres qui sont bons à lire, car il existe des livres violents.

Pour finir, l’élève Zenaba Badjague reconnaît que ce dernier temps les jeunes passent beaucoup de temps sur les réseaux sociaux au détriment de la lecture. Et que par cette conférence, elle a appris que la lecture est une porte ouverte vers le monde que ce soit sur le plan intellectuel, humain, parce que chaque lecture est une découverte des nouvelles choses, a-t-elle conclut.

Donatienne Rakindang

À l'occasion du mois du Livre et de la lecture IalTchad Presse est partie à la rencontre du directeur de la bibliothèque pour découvrir la bibliothèque nationale (BN) et le mois de livre ce. Reportage.

Après l'ouverture le 02 novembre dernier, les activités de mois du Livre continuent. Des élèves, des lecteurs parmi lesquels le Directeur de la bibliothèque nationale NGuinambaye Ndoua Manassé. Pour lui la bibliothèque nationale a été créée pour collecter, cataloguer, conserver et enrichir les domaines du public et faire connaître le patrimoine culturel national. Il affirme aussi qu'une des missions essentielles de la BN est la publication de tout ce qui est écrit sur l'ensemble de territoire et de faire une large diffusion au grand public. Il soutient que la BN est le réservoir de tout domaine de recherche au Tchad. NGuinambaye Ndoua Manassé explique « Nous avons deux fonds, le fond Tchad et le fond général » .

En 2011 quand la bibliothèque a été créée il y avait une loi de dépôt légal de mise en application qui permet, qui contrainte tout auteur, toute maison d'édition, Association d'éditeur dépositaire des œuvres importées de déposer trois exemplaires à la bibliothèque nationale. Il ajoute ce fond nous permet d'avoir un fond du Tchad qui est constitué uniquement de tout ce qui parle du Tchad et écrit au Tchad. Ce fond général provient de don des partenaires et autres qui est appelé fond général, dit-il.

Il poursuit la bibliothèque nationale dispose également d’un espace qui permet à un travail continu, de débats littéraires puis le café littéraire et enfin une salle de lecture tout cela de façon gratuite.

Parlant du mois de livre, le Directeur de la BN dit « c'est une opportunité à nos lecteurs de s'approprier des œuvres littéraires en exposition. Et de découvrir les auteurs, c'est un moment très riche des données et de réservoir pour tous les visiteurs ». En plus des prix mises en exerce l'année dernière nous avons mis un autre prix spécial pour les éditeurs qui sera décerné à l'illustre gagnant.

Ousmane Bello Daoudou

Le Tchad célèbre ce vendredi 4 novembre la journée de l’arbre édition 2022. La cérémonie a eu lieu au Centre d’études de formation et du développement au quartier Ardeb-djoumal dans la commune du 3e arrondissement de N’Djamena.

Pour Oung Vang Josué, président Directeur général du centre de formation pour le développement durable et de la formation (CERDEF) que nous avons interrogé, « l’arbre, c’est la vie. Planter un arbre c’est se protéger et donner un sens à la vie », dit-il. Aujourd’hui les arbres fruitiers produisent de la nourriture confie-t-il. Il ajoute que  sur le plan du changement climatique les arbres forestiers atténuent les méfaits du changement climatique, l’avancée du désert. « Parce que planter assez d’arbres freinent l’avancée du désert. Sur le plan médicinal, certains arbres sont des médicaments, car elles soignent. L’arbre nous donne de l’ombre , elles produisent des COD, quand il y a assez d’arbres il pleut beaucoup. Quand il n’y a pas d’arbres il ne pleut pas et le désert », explique-t-il.

Selon le PDG, dans peu de temps, le CERDEF va lancer un projet  dénommé « arbiritom » . Ce projet consiste à aller à la recherche des arbres en voie de disparition pour les reproduire, certaines villes seront choisies pour abriter ce projet.

Il ajoute que les arbres communément appelés 6 mois sont des plantes plus adaptées pour le climat du Tchad, car elles sont des plantes qu’on peut facilement mettre en place pour le reboisement communautaire. La communauté doit à travers cette plante faire une forêt à usage énergétique parce que c’est un genre de plante qui se régénère rapidement quand on le taille pour utiliser le bois.

Il conclut que le Tchad est un pays de reboisement, car elles contiennent des nappes souterraines même dans le désert on peut planter des arbres. Dans ce sens on a un projet expérimental dans le B.E.T«, car dit-on là où il y a l’eau, il y a la vie ». Il suffit juste de planter, d’entretenir pour que l’arbre pousse, car autrefois les gens ont coupé des arbres, mais ils n’ont pas pensé à les reproduire. Donc quand il y a la possibilité à planter des arbres, il faut le faire, a-t-il dit.

Haoua Adoum Ibeth
Donatienne Rakindang

Dans un point de presse ce vendredi, le président du Parti pour le Rassemblement et le Développement intégré du Tchad (PARADIT) NODJIKODOUM DJEBANDE Marc a dénoncé la conduite de la mission gouvernementale par les natifs de Moundou, la qualifiant de tourisme.

M. Nodjikodoum a déclaré que la manifestation du 20 octobre est la conséquence de toutes les injustices et la mauvaise gouvernance débattue pendant le dialogue national inclusif et souverain (DNIS) qui a tourné à la répression disproportionnée des manifestants contre les injustices. Selon le président du PARADIT, la mission dirigée par le président du parti pour la Convention et le développement le désormais ex-maire Laoukein Médard est une tournée touristique pour visiter les villes en lamentation après le massacre des forces de défense et de sécurité.

Cependant, poursuit-il, le PARADIT salut et félicite la mission du ministre de la Santé et de la Prévention, composée des spécialistes pour la prise en charge complémentaire des victimes, et l’évacuation rapide à N’Djamena des malades pour les plateaux techniques appropriés afin de redonner vie et espoir aux cas graves. Il affirme que dans les situations catastrophiques de ces genres et d’insécurité, la priorité du droit international humanitaire et la convention de Genève est d’abord la gestion et le sauvetage des vies en danger avant les sensibilisations et les formations pour la préservation de la paix et l’unité. Le président de PARADIT s’interroge « comment peut-on consoler et sensibiliser des personnes qui portent des douleurs très vives et des larmes aux yeux ».

Le PARADIT condamne l’utilisation disproportionnée et abusive des moyens militaires contre des manifestants pacifiques. Pour lui, même si ces manifestants supposés se mélanger avec des mercenaires et des jeunes bien formés pour la circonstance, comme le disent les autorités, le bon sens et la pédagogie militaire aurait plutôt envisagé de gérer ces derniers avec tact et méthode appropriée pour contrecarrer les actions des manifestants sans faire trop des dégâts humains parce que la vie humaine est sacrée.

Aussi, poursuit-il, l’opinion nationale et internationale attendent des preuves de ces manifestations armées qui ont justifié la rage de l’armée tchadienne, la justice a besoin des preuves, toutes les actions ont besoin des preuves pour apporter des réponses. Le PARADIT exige de meilleures conditions et des traitements de tous les manifestants arrêtés et détenus dans les geôles, les prisons des commissariats, des brigades, de l’Agence Nationale de Sécurité (ANS), et des maisons d’arrêt à travers le pays au regard des droits humains et des textes de la république. Il aimerait voir le ministre de la Justice, le ministre de la Sécurité publique et celui de l’administration territoriale faire partie de la mission gouvernementale. Mais une mission d’Etat conduite et composée rien que des natifs ne peut pas être juge et parti. Pour lui la mission d’État conduite par les natifs du Logone a montré ses limites, a conclu M. Nodjikodoum Djébande Marc.

Mbaiwanodji Adrien

L'Association la Plume pour la Culture et le Développement (APCD) a volé au secours des sinistrés ce jeudi, 03 novembre au quartier Walia dans le 9e arrondissement de la ville de N'Djamena. Cette association est venue aider les sinistrés en construisant l'école maternelle, primaire pour sauver l'année académique 2022-2023 et un mini centre de santé afin de prendre soin d'eux. L'équipe d'ialtchad Presse s'est rendue sur les lieux pour faire le constat. Reportage.

Depuis quelques semaines, les sinistrés se retrouvent dans des conditions difficiles. Ce matin l'Association la Plume pour la culture et le Développement est venu s'occuper d'eux surtout de l'éducation des enfants afin de sauver l'année académique qui a mal débuté suite à la catastrophique naturelle avec le débordement des fleuves Chari et Logone. Sur place, on constate la construction d'un petit marché, d'un salon de coiffure, d'un centre de santé et d'une école primaire dénommée «Al Ghalam Solidarité» dans ce site de Walia, appelé encore Forêt. Le président de l'association Dr. Daïrou Youssouf Sidiki, souligne que leur mission est d'aider les enfants des sinistrés en difficulté afin de ne pas blanchir l'année en cours. Selon lui, l'œuvre réalisée par son association est de secourir pour l'éducation. Il précise que l'école a ouvert ses portes aujourd'hui avec des enfants qui se sont inscrits depuis quelques jours grâce à leurs bulletins de notes de l'année dernière. Il ajoute qu'ils sont sur les lieux pour sauver l'année scolaire de ces enfants jusqu'en juin. Il renchérit qu'il a eu la présence de quelques enseignants sinistrés qui se sont portés volontaires pour enseigner ces élèves de la section maternelle jusqu'au primaire. Il dit être confiant qu'il va sauver l'année académique de ces élèves sans abris. Dr. Daïrou n'a pas manqué de souligner le recrutement des couturiers et couturières sinistrés afin de préparer l'uniforme des élèves selon les règles du ministère de l'Éducation nationale et de la Promotion civique.

Pour le Secrétaire général du ministère de l'Éducation nationale représentant son ministre, il dit être ému par l'initiative de Plume pour la culture et le Développement. Il estime qu'elle a fait de son mieux pour non seulement aider les sinistrés, mais aussi et surtout sauvé l'année scolaire de beaucoup d'élèves. Il félicite l'organisation pour le travail abattu et promet un soutien dans les prochains jours.

Noël Adoum

Le ministère de la Santé publique dans son programme d’éradication du ver de Guinée a organisé une réunion transfrontalière pour renforcer la surveillance de la dracunculose dans les zones transfrontalières et parmi les populations réfugiées des 3 pays : Cameroun, Centrafrique et Tchad. Ces assises de 2 jours se tiennent du 03 au 04 novembre dans un hôtel de la capitale tchadienne, N’Djamena. Reportage.

Cette réunion internationale transfrontalière est une opportunité indispensable pour éradiquer les virus, les bactéries, les parasites y compris la dracunculose medinicis agent causal du ver de Guinée et le renforcement de la surveillance de celle-ci dans les zones transfrontalières.

Dr Ibrahim Djeombaro, chargé de programme MNT (maladies tropicales négligées) représentant l’OMS a dans son discours affirme que le ver de Guinée continue de sévir dans le monde. Et ses derniers bastions sont en Afrique centrale, dit-il. Il ajoute qu’au niveau mondial en 2021, sur les 5 pays ayant rapporté des cas humains ou infections animales au ver de Guinée, deux sont en Afrique centrale. Il s’agit du Cameroun et du Tchad.

« Il faut noter que le Tchad a à lui seul rapporté plus de 50% des cas humains, soit 8 cas sur 15 et 97% des infections soit 832 sur 862 » explique-t-il. Les mouvements des populations le long des frontières de 3 pays, qui ont souvent les mêmes habitudes et compte tenu aussi de la situation d’insécurité qui prévaut à certain niveau, le risque de transmission transfrontalière et grand, dit-il. « Depuis 2019, le Cameroun rapporte chaque année des cas d’infections au ver de Guinée alors qu’il  est certifié depuis 2007 ». La RCA est dans l’œil du cyclone, affirme-t-il. Elle doit particulièrement intensifier sa surveillance pour s’assurer qu’il n’y a pas d’infection. C’est dans ce contexte épidémiologique régional que « l’OMS  salue et appuie cette importante initiative à travers cette réunion dont l’objectif  est de renforcer la surveillance transfrontalière », dit-il.

Dr Toralta Joséphine conseillère au ministère de la Santé, représentante du gouvernement rappelle que tous les pays limitrophes du Tchad sont déjà certifiés, mais la recrudescence de cas de cette maladie au Tchad en 2010 suivi des infections animales en 2012 et le mouvement transfrontalière permanent des populations y compris des animaux risque de compromettre les efforts du gouvernement tchadien, a-t-elle affirmé.

Durant ces 2 jours les participants vont pays par pays, parler des activités spécifiques menées au cours de la saison de transmission pour renforcer la surveillance de la dracunculose en général, notamment la surveillance transfrontalière, identifier les faiblesses et défis liés à la réalisation des activités frontalière, et identifier les opportunités de renforcement de la surveillance transfrontalière dit Mme Toralta.

« Les résultats obtenus de cette réunion nous permettront de mettre sur pied une surveillance épidémiologique transfrontalière au profit de tous les pays voisins », dit-elle. Le gouvernement tchadien s’est engagé pour les accompagner dans ce programme d’éradication et renforcer les interventions sur le terrain, a-t-elle assuré.

Afin d’accélérer l’interruption de la transmission dans un meilleur délai afin de prétendre à une certification comme les autres pays du monde il faut avouer que« le renforcement de la surveillance transfrontalière permettrait au Tchad de préserver ses acquis en matière de l’arrêt  de la transmission de cette malade» conclut-elle.

Cette réunion de 2 jours regroupe les partenaires techniques et financiers du ministère de la Santé, les experts nationaux et internationaux, les participants du Cameroun de la Centrafrique, les directeurs généraux, directeurs techniques, délégués sanitaires, les  chefs de services  et bien d’autres  invités de marque.

Haoua Adoum Ibeth

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