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Mme Bartchiret Fatimé Zara, Maire de la ville de N’Djamena a effectué une visite sur les différents sites de chantier des travaux pour s'enquérir de l'évolution et de voir la situation en prévision ce samedi 15 avril dans la ville de N’Djamena.

La première étape était le 1er arrondissement sur le grand caniveau de Carkandjeri en voie de dégradation puis Dalo sur les berges du Chari.

 Les autres étapes ont été Djambalbar dans le 2e arrondissement en passant par Sabangali dans le 3e arrondissement, Gassi, Maidjafa et Chari Mongo dans le 7e arrondissement, « le résultat est satisfaisant » confie Mme Bartchiret Fatime Zara.

Elle affirme « l'objet de ces visites est de s'enquérir de la situation en prévision de la prochaine saison de pluies ». Selon elle, les travaux de débouchage des exutoires fermés à l'occasion de la montée des eaux et les travaux de maintenance des stations de pompage doivent être prêts. Elle soutient qu'il y a environ 19 exutoires le long du fleuve Chari qui sont en réparation et seront opérationnelle. Elle ajoute aussi que le curage de caniveau a démarré très tôt cette année afin d'éviter des surprises.

Pour Mme Bartchiret Fatime Zara cette sortie a permis de constater les travaux engagés et les apprécier. « Cette tournée leur a permis de vérifier, d'apprécier les travaux de reprofilage des rues en terre et le colmatage des nids de poule sur les voies bitumées et non bitumées afin de permettre à la population de circuler en toute sécurité même en saison de pluies ».

Désiré Gapili, Directeur de la voirie, soutient qu'une équipe technique a été mise en place, elle est chargée de réceptionner les travaux, de les voir sur le terrain si les travaux sont réalisés selon les règles de l'art, a-t-il dit.

D'une manière générale 12 avenues, 2 rond-point et 19 exutoires ont bénéficié de ces travaux pour rendre fluide la circulation afin de faciliter à l'amélioration des conditions de vie des populations de la ville de N’Djamena.

Ousmane Bello Daoudou

Le mois de jeûne musulman est une période pendant laquelle les fruits sont consommés en grande quantité par les jeûneurs. Les vendeurs tirent leur épingle du jeu dans les rues de la capitale tchadienne. La rédaction est allée à la rencontre de ces vendeurs de fruits. Reportage.

Les étals de vente de fruits dans les artères de la ville de N'Djamena se sont multipliés depuis le début du mois de ramadan. De Dinguessou en passant par N'Djari, Amriguebé, Rue de 40 m, Diguel, Farcha ou encore Chagoua des tables juxtaposées sous forme d'armoire servent aux vendeurs un lieu confortable d'exposition des fruits de toute nature.

Remadji Dénis diplômé en électromécanique, vendeur de fruits sur le boulevard Maréchal Idriss Deby Itno dans le 6e arrondissement de N’Djamena. Il dit se lancer dans ce business depuis bientôt 2 ans. Il indique que la vente des fruits est rentable durant la canicule et plus encore lors de ce mois de ramadan. Remadji relève qu'après la fin de ses études supérieures, il n'a pas eu une chance d'intégrer le marché de l'emploi, « alors j'ai décidé de me lancer dans la vente de fruits », dit-il. Il précise tout de même que malgré les difficultés et l'importation qui revient cher, en cette période de carême sèche, la vente est viable. « Nous vendons plus de 50.000 FCFA par jour. On ne se plaint pas.  Dieu merci », confie Denis. Au sujet des ventes de fruits, il a précisé que le prix varie d'un produit à un autre, de sa qualité et de son d'acheminement. « La mangue du Tchad est vendue à 100 FCFA la pièce, la mandarine importée du Cameroun est vendue 3 à 1000 FCFA, l'ananas à 1500 FCFA, la pomme de France à 1000 FCFA la pièce gros calibre, 500 FCFA le moyen et 3 à 500 FCFA le plus petit », a-t-il expliqué.

Mbodou Ali, lui aussi vendeur à proximité du rond-point Adoum Tchéré dans le 4e arrondissement. Il s'est livré à notre micro. Pour lui, la vente de fruits est rentable malgré les tracasseries des agents municipaux, dit-il. M. Mbodou souligne que la plupart des fruits viennent de l'Afrique du Sud, du Cameroun ou encore de l'Italie. « Ça nous vient à un coup un peu élevé, mais nous essayons toujours de nous adapter en fonction des clients ». Il ajoute, « ici le marché est bien. Nous pouvons vendre entre 100.000 FCFA à 150.000 FCFA voir plus par jour », a-t-il glissé d'une base voix.

Pour la nutritionniste, Heloua Jean-Baptiste, en ce mois de carême sèche, aucun fruit n'est défendu. Cependant, elle conseille de privilégier la consommation des fruits riches en eaux pour favoriser une réserve en eau et limiter la déshydratation sévère pendant la journée. « Pendant cette période, il est préférable de limiter la consommation des fruits séchés, car ceux-ci sont pauvres en eau et concentrés en micronutriments », dit-elle. Au sujet de l'hygiène, elle indique que la plupart des fruits vendus sur le marché sont défavorables. « Ils sont exposés », a-t-elle souligné. Elle ajoute, « les fruits vendus sur nos marchés ont une hygiène douteuse alors pour assurer une meilleure hygiène de nos aliments, je conseille tout d'abord aux consommateurs de bien laver les fruits avec une eau potable avec de la javel avant toute consommation ». Selon la nutritionniste, il est aussi indispensable aux vendeurs de laver et couvrir les fruits vendus avec un léger tissu pour limiter les contaminations. « En appliquant ce conseil, ils vont préserver non seulement la santé du consommateur, mais aussi celle de leur entourage et éventuellement leur propre santé », conclut-elle.

Abderamane Moussa Amadaye

A une semaine de la fin du mois de Ramadan, l'association Green Chad a organisé ce 14 avril au quartier Sénégalais dans la commune du 4e arrondissement de la capitale un iftar collectif.

Abdallah Soumaine, président de l'association relève que le mois de Ramadan est un moment de partage et de solidarité. Selon lui, c'est dans cet esprit que cet iftar est organisé dans l'objectif de fédérer les cœurs des Tchadiens pour un lendemain meilleur, dit-il. Pour le président, le mois de ramadan est la période l’idéale pour unir la jeunesse, casser les barrières et construire l'amour. Il affirme que l'objectif de cet iftar « est de conduire la jeunesse tchadienne au-devant du grand chantier du vivre ensemble », a-t-il indiqué.  Toujours selon lui, d'autres associations sœurs ont pris part à cette initiative, notamment l'association pour la sensibilisation et la scolarisation des jeunes tchadiens (ASSJT) qui milite pour l'éducation des jeunes et surtout les filles, l'association-école verte qui milite en faveur de l'environnement. Pour Abdallah, les jeunes dans leur diversité doivent converger leur force pour relever les défis auxquels fait face le Tchad à l'exemple de l'éducation, l'environnement, l'égalité de chance, la justice, l'accès à l'emploi, etc. « Lorsque les hommes fédèrent leur force, nous pouvons même déplacer des montagnes par la grâce de Dieu », a-t-il confié. Ahmat Tanguir, Président de l'ASSJT dit touché par le geste de l'association Green Chad. « Nous saluons cette initiative qui a réuni un grand nombre d'associations. Elle est à saluer. Nous devons converger nos forces afin de rendre l'impossible, possible », a-t-il indiqué.

Murielle Ndogmane, salue l'initiative qui vise non seulement à fédérer les forces des associations, mais aussi celle des Tchadiens issus de différentes religions. « Une telle initiative permettra de casser les barrières et la perception qu'on a de l'autre. C'est vraiment un moment de partage qui nous permet de nous connaître plus sans aucune barrière. Que de telles initiatives se perpétuent au nom du vivre ensemble et l'amour du prochain », a-t-elle conclu.

Abderamane Moussa Amadaye

À l’approche de la fête du ramadan, les préparatifs vont bon train. Dès 8h, ce vendredi 14 avril, sur les grands axes et avenues en passant par les grands et petits marchés de la capitale tchadienne, N’Djamena, de nombreux commerçants étalent des chaussures en vente. Reportage.

À une semaine de la Eïd Al Fitr, les vendeurs ambulants des chaussures tentent de tirer leur épingle du jeu en s’installant aux bords des grandes avenues. Ils sont nombreux à faire des affaires par exemple sur l'avenue Nimery jusqu'au grand marché de N'Djamena.

Mbaïhodji Francis, diplômé sans-emplois est vendeur des chaussures. Il affirme qu'à l'approche de la fête, il vend des chaussures pour subvenir à ses besoins. « C'est la raison pour laquelle à l'approche de la fête du ramadan, on sort pour faire quelques jours afin de vendre les chaussures et une fois fini on rentre chez nous », a-t-il martelé. Il ajoute que le début est toujours difficile, mais c'est à la veille de la fête que les clients se bousculent. M. Francis soutient qu’ils font face aux tracasseries des agents municipaux. « Ces agents municipaux prélèvent 3000 FCFA sur chaque bâche ou chaque table. Ils le font chaque année. Une pratique injuste », a-t-il dit.

Loroi David vendeur des chaussures depuis 2019, « la vente des chaussures est rentable. C’est payant, les chaussures appelées maréchal on l’achète au prix de 5000 FCFA en gros et on le revend à 6000 FCFA. Bénéfice net de 1000 FCFA ». Il affirme que s’installer au bord du goudron est un grand risque, mais il n'a guère le choix.

Arrive le client Acyl Koré Acyl qui trouve que les prix des chaussures dépendent des commerçants. « Certains augmentent les prix pour avoir plus de bénéfices. D’autres baissent les prix. C’est abordable par rapport à l'année passée. Je suis satisfait ».

Un autre client Mahamat Habré Kékéchi, trouve que le prix est abordable, mais tout dépend du vendeur. « Il y a des vendeurs qui triplent les prix ordinaires, mais tout dépend de la discussion entre le vendeur et l'acheteur pour trouver un compromis ». Selon lui, les acheteurs doivent aussi réfléchir pour ne pas rabaisser le prix et casser le bénéfice du vendeur. Il interpelle les commerçants à vendre de la qualité et non de la quantité.

Noël Adoum

Les enlèvements des personnes contre les rançons font parler dans la province du Mayo Kebbi Ouest. La dernière est l'enlèvement le 6 avril passé d'une fille de la classe de première qui a conduit les établissements publics et privés à fermer pour exprimer leur mécontentement.

Pour Abbé Pakilecmi Zacharie le président des fondateurs des établissements privés du Mayo Kebbi Ouest, le phénomène d'enlèvement contre rançon est un problème qui dure depuis plus d'une décennie. « Ces enlèvements se passent sous le regard impuissant des autorités locales », dit-il. Il affirme que la dernière est celui d’une élève nommée Nagita Béatric. Elle serait partie passer ses congés de Pâques. Et a été enlevé la nuit du 6 avril pour une destination inconnue. « Depuis nous ne savons pas où elle est. Nous sommes entrés en grève conjointement avec le Syndicat des Enseignants Tchad (SET) pour exprimer notre désarroi, notre mécontentement à la suite de cet enlèvement en voulant dire que nous ne sommes pas d'accord ».

Toujours selon M. Zacharie un préavis a été lancé pour permettre aux ravisseurs de la libérer, mais rien n’y fait. Il poursuit que leur silence inquiète. « Nous exigeons sa libération sans condition sinon d'autres mesures seront envisagées dans les jours à venir ».

M. Donald militant de l'association de droit de l’homme sans frontières dit son organisation est très préoccupé par ce phénomène qui laisse la population dans la psychose. Il regrette l'impuissance du gouvernement à protéger le Mayo Kebbi Ouest. Et demande au ministère de la Sécurité d’être plus efficace.

Enfin pour lui, il faut relever toutes les autorités qui ont séjourné dans la province surtout les militaires et leurs chefs. Il estime que le gouvernement à l’obligation de protéger la population dont il faut qu'ils prennent leur responsabilité et mettre l'enlèvement des personnes contre rançon comme une priorité.

Ousmane Bello Daoudou

Ce jeudi 13 avril, les chauffeurs de minibus commerciaux interurbains de l’axe Walia-Ngueli dans la commune de 9e arrondissement de la ville de N'Djamena ont décidé faire grève jusqu'à nouvel ordre pour manque de stationnement pour garer leurs bus et les tracasseries policières. La rédaction s'est rendue sur les lieux pour faire le constat. Reportage.

À l’entrée du pont à doubles voies, le stationnement des minibus en bordure de la voie est strictement interdit par la police. Mécontents, les conducteurs de munis bus ont décidé de déclencher la grève laissant les clients désemparés. Du pont en passant par Walia hadjaraï, Walia Djigangali jusqu'à Nguéli, les usagers sont amers. Il y a moins des bus qui circulent sur l'axe Walia-Ngueli. Des chauffeurs de minibus qui entrent et sortent de Walia sont verbalisés et les clients sommés de vider les bus. À Midi, les chauffeurs se sont réunis dans sous un manguier à Walia Djigangali pour décider d’aller en grève.

Le porte-parole des chauffeurs des munis bus Goni Abderamane Adam affirme que la décision leur interdisant de se garer sur les abords du pont est arbitraire et infondée, car il n'y a aucun papier qui le prouve. Pour lui, les autorités se sont entendues avec les syndicats pour leur interdire les lieux.

« Si un chauffeur prend deux clients, le syndicat des chauffeurs lui donne une amande de 3.000 FCFA ». Il poursuit quant à la police, « à chaque fois qu'un chauffeur se fixe au bout de rond-point à doubles voies, il reçoit une amande de 6.000 FCFA au cas où le chauffeur demande l'amende fixe (AF), directement il reçoit des intimidations sous peine de confisquer sa voiture et le conduire à la commission ». Toujours selon M. Goni le syndicat de transport exige que les conducteurs soient régularisés, mais par manque d'espace, ils préfèrent ramasser les clients en « MPLT » a-t-il dit. Le rond-point double voie ne peut pas être desservi à la queue, « ils sont plus de 100 bus. La grève doit continuer jusqu'à nouvel ordre ».

Abakar Allamine Mahamat Chauffeur depuis 2010 sur l'axe Walia-Ngueli, affirme que le syndicat de transport est allé remonter la police contre eux les transporteurs les mini bus. « La dalle est construite pour que les voitures se garent, mais la police refuse qu’on se stationne pour prendre les clients ». Les chauffeurs dénoncent les policiers de Commissariat CA9 qu’ils accusent d’avoir arrêté 4 de leurs collègues au rond-point Walia barrière. Il s’agit, disent-ils, des MM. Ali Oumar, Haroun Mahamat, Adam Mahamat et Asra. « Nous demandons leur libération sans condition car ils n'ont rien fait du mal ».

Pour le Secrétaire Général de Fédération Nationale des Syndicats des Transports Urbains et Interurbains du Tchad Ramadan Hisseine, la police a interdit les chauffeurs de bus parce qu'ils ne respectaient pas l'ordre qui a été donné, et qu'ils dépassent toujours la ligne indiquée. Il ajoute que l'État va leur trouver un autre endroit et que seul le dialogue libère au lieu de se révolter. M. Ramadan, souligne qu'il fera de son mieux afin que la solution idoine soit trouvée dans les jours à venir.

Noël Adoum

Les membres de l'association Tchad Uni Vert Vert en partenariat avec l'Institut Français au Tchad (IFT) ont organisé une conférence de presse ce mercredi 12 avril dans les locaux de L'IFT. Ils annoncent le Festival Uni Vert Vert qui aura lieu le vendredi 14 avril à Ndjamena, capitale tchadienne.

Tchad Uni Vert Vert est une organisation culturelle à but non lucratif qui a pour mission de promouvoir le slam-poésie en lien avec la protection de l'environnement, développer et orienter les activités artistiques contre la dégradation de l'environnement, former les artistes slameurs sur le changement climatique et ses conséquences ainsi que les attitudes de protection de l’environnement et organiser des formations musicales à l'endroit des membres et du public.

La deuxième édition du festival Uni Vert Vert qui est placée sous le thème, « sauvons la planète terre » a pour objectif, selon le président de L'association Tchad M. Mbainaïssem Serge alias MRES, de promouvoir la protection de l'environnement à travers le slam-poésie, de sensibiliser la population, « il n’est pas possible que quelqu'un reste dans le bus suce le yaourt, bois de l'eau et jette n'importe où le plastique », dit-il. L’association ambitionne de mettre sur pied le réseau des artistes slameurs francophones et réitérer l'expérience de la première édition et ses résultats « après avoir travaillé un an sur la première édition, et au vu des résultats encourageants, l'équipe ne souhaite pas vivement s'arrêter là. Si le but n'est pas de s'agrandir démesurément, il y a une vraie volonté de faire fructifier le travail fourni pour les futures éditions », ajoute-t-il.

Aussi, les organisateurs voudraient que ce festival fidélise le public et ses partenaires tout en offrant ce que les autres festivals n'offrent peut-être plus. Plusieurs activités sont inscrites notamment, les ateliers de formation, les conférences de presse reboisement, les distributions des bacs à ordures, etc.

Narhinguem Anastasie

La campagne digitale de sensibilisation contre les messages de haine et les rumeurs malveillantes est lancée

L'institut international pour la démocratie et l'assistance électorale (IDEA) a lancé sa campagne de sensibilisation contre les messages de haine et la rumeur sur les réseaux sociaux au ministère de la Réconciliation Nationale et de la Cohésion sociale ce mercredi 12 avril.

Du 12 avril au 12 juillet 2023, une campagne de sensibilisation sera menée sur les réseaux sociaux à savoir le Facebook, le Twitter, Tiktok, etc. par l’IDEA. Initialement prévu à 09h la cérémonie a démarré à 11h par le mot de la représentante de IDEA.

Abderaman Koulamallah, ministre de la réconciliation Nationale et de la Cohésion sociale affirme « nous vivons aujourd'hui dans une ère où Internet et l'avènement des réseaux sociaux ont un impact puissant dans la vie de tous les jours, mais aussi dans le monde du travail ». Pour lui, Internet est incontournable et apporte une valeur ajoutée inestimable en matière de communication. Il affirme que leur utilisation peut avoir des conséquences avantageuses, mais aussi dévastatrices s’il n’y a pas de campagne de sensibilisation sur les messages haineux.

Mme Mariama Bayard la représentante de IDEA affirme que IDEA Tchad voudrait apporter sa contribution à la réduction des messages de haine, de violence verbale et diffusion de fausses rumeurs qui ne cessent de polluer les réseaux sociaux. Pour elle, ces messages haineux compromettent le retour de la confiance et l'instauration d'une culture de paix et du vivre ensemble nécessaire entre les Tchadiens en cette période de transition.

Selon elle, c'est un outil efficace pour une communication de proximité, les réseaux sociaux offrent un réel potentiel pour contribuer à la promotion de la paix. Cette campagne vise à mutualiser les initiatives avec les acteurs sociaux en vue d'instaurer un environnement sociopolitique sécuritaire.

Plusieurs recherches établissent des liens et les rôles présumés des médias sociaux et du cyber espace dans le processus de crime organisé et la radicalisation violente en ce qui concerne l'influence sur la jeunesse. Un impact qui contribue à déstabiliser le fragile équilibre social. « Les réseaux sociaux sont un outil à l'aide duquel le monde est devenu un village planétaire en raison de sa capacité d’influence qui doit être utilisée de manière responsable, si l'on ne veut pas s'exposer aux risques que comporte son mauvais usage », conclut le ministre.  

Ousmane Bello Daoudou

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