Le championnat national se poursuit dans les trois stades de la capitale tchadienne avec les 12 équipes. La rédaction s'est entretenue avec les organisateurs de la phase finale du championnat national.
La poule A qui compte 6 équipes : Aiglons FC de N’Djamena, As PSi de N’Djamena, Foullah Édifice, Université de Moundou, AS Draib et Élect sport de Bongor. Les organisateurs expliquent que dans cette poule, AS PSI premier avec 12 points. Il est suivi d'Aiglons FC 9 points, vient après Foullah Édifice avec 6 points, Université de Moundou et Élect sport de Bongor ont 3 points chacun. La notification de la 4e journée est cours de publication.
Dans ce championnat national 2023 pour le moment le premier buteur est Brahim Ousmane de l'équipe éléphant d'Amtiman avec 8 buts suivi de Karl Max d'Élect Sport de N’Djamena avec 5 buts.
Dans la poule B, Élect sport de N’Djamena est première avec 9 points et Éléphant d'Amtimane, Aigle d'Abéché, As Mairie de Pala ont chacune 6 points. Ensuite, BEAC de Sarh et Sahel de Faya ont 0 point.
Le championnat est à sa quatrième journée dans les trois stades de la capitale.
Ousmane Bello Daoudou
Par un communiqué de presse rendu public hier 17 juillet, la Fédération nationale des Organisations des Producteurs des Semences du Tchad (FENOPS) dénonce l'assassinat crapuleux de l'entrepreneur Ali Mahamat Brahim, président fédéral de cette organisation dans la province de Wadi-Fira.
Selon Ahmed Moussa N’Game, président national du FENOPS, M. Ali Mahamat Brahim, président de la fédération provinciale des organisations des producteurs de semences de Wadi Fira a été la victime d’assassinat. « Ça constitue un crime crapuleux et odieux qui a eu lieu le 15 juillet dernier en pleine journée dans une rue de la capitale, N’Djamena. Inacceptable qu’un concitoyen pacifique, non armé soit tué». Toujours selon M. N’Game, il a été abattu et dépouillé de l’argent provenant de la vente des productions qu’il venait de retirer de la banque pour permettre le développement des activités de production semencière des producteurs de sa province, dit-il.
La FENOPS dit être déçue par l’attitude des forces de sécurité, présentes sur les lieux qui n’ont rien fait pour arrêter les assassins au vu et au su de tout le monde. « Nous doutons de la réelle volonté des autorités tchadiennes à engager des recherches pour retrouver ces criminels et les traduire en justice », dit-il. Il ajoute, « devant la recrudescence de tels actes, cruels commis dans l’impunité, la FENOPS exprime sa colère et son amertume », a-t-il déclaré. La FENOPS condamne le crime contre les producteurs sans défense, livrés à eux-mêmes face à une insécurité croissante, a-t-il déploré. La FENOPS interpelle le ministre de la Sécurité publique à prendre des mesures fortes et efficaces pour lutter contre la lassitude des agents de sécurité.
Pour finir, M. N'Game présente ses condoléances à la famille et aux proches de la victime ainsi qu’à toute la communauté des producteurs de Wadi Fira, éprouvés par cette horreur et exige que lumière soit faite pour l'âme du défunt.
Abderamane Moussa Amadaye
Le Collectif des ex-détenus des Événements du 20 octobre (CEDE20) a lancé aujourd’hui ses activités.
Après avoir organisé le 3 juillet dernier une cérémonie de soutien au président de transition Mahamat Idriss Deby Itno pour la grâce présidentielle accordée. Le président du CEDE20 Mbaïramadji Alexis déclare que le CEDE20 a pour mission de soutenir les efforts de paix et de réconciliation nationale, conscientiser la jeunesse contre la manipulation, etc.
M. Mbaïramadji Alexis a réaffirmé, la sincérité et l'objectivité de leur démarche, laquelle consiste à œuvrer, à la lumière de ce qu'ils ont vécu avec tous ses contours, « que plus jamais un autre 20 octobre ne se reproduise dans l'histoire de notre pays », a-t-dit. Il relève qu’ils ont décidé de soutenir le président de transition Mahamat Idriss Deby, « qui est à leurs yeux, au regard des actes patriotiques, de grandeur d'âme, et d'homme d'État qu'il a déjà posé, le seul à pouvoir refonder le Tchad dans la réconciliation nationale, la justice et la fraternité pour le développement du pays ».
Selon lui, c'est une décision consciencieuse, réfléchie et irréversible. « Ceux qui nous vilipendent n'ont pas vécu ce que nous avons vécu », a-t-il dit. Il ajoute, « nous avons fait la prison de Korotoro, de Moussoro et de Kléssoum. Nous savons comment les choses étaient préparées pour mettre notre pays à feu et à sang pour satisfaire la soif de pouvoir d'un individu ».
Il affirme, « si aujourd'hui, nous avons pris cette décision, ce n'est ni anodin ni subjectif ». Tout en invitant ceux qui leur en veulent, et ils sont minoritaires de regarder les raisons profondes de leur engagement aux côtés du président de transition, au lieu de s'adonner à des raccourcis infâmes.
M. Mbaïramadji Alexis relève que le CEDE20 compte 347 ex-détenus et graciés dont ils disposent pour chacun, une copie du certificat de libération comme pièce d'adhésion. Il invite incessamment tous ses camarades qui hésitent encore à le rejoindre rapidement pour l'amour de notre patrie et le bien de la jeunesse,
Enfin, le CEDE20 réitéré son soutien au président de transition et demande solennellement au Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la République Démocratique du Congo et facilitateur de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC) en visite actuellement à N'Djamena de bien vouloir les recevoir, en tant qu'acteurs majeurs des évènements du 20 octobre 2022 pour les écouter.
Noël Adoum
La ville de Sarh, capitale du Moyen-Chari, appelé aussi ville verte. C’est aussi l’une des villes la plus propre du pays grâce à une femme à la tête de la Mairie Mme Kabo née Sioudina Mitadjina qui y veille. Petit tas de saleté au tableau, c’est le problème des incivilités avec le phénomène de vol des panneaux solaires publics, un des soucis majeurs dont la ville fait face. Reportage.
Les quartiers Kassaï, Tombalbaye, Mayngara, petit marché et Kété-Gala, sont tous propres, mais les vols des panneaux solaires, plantés au bord des voies bitumées qui servent d'éclairer la ville, font rage. Mme Kabo explique, « c’est un vrai problème. Les voleurs on les guette, ceux qui sont pris seront remis à la justice. Je lance un cri d'alarme à la population d'être vigilante pour signaler tous les cas de vol des panneaux », insiste-t-elle. Sinon, la ville est pacifique, il n'y a pas d'agression grâce à la rigueur du gouverneur qui met de l'ordre, dit la mairesse.
Un commerçant du grand marché de Sarh Abakar Daoud Ali dit, «la propreté urbaine dans la ville de Sarh constitue un des défis majeurs de notre quotidien à tous et de la vie de cette ville verte. Nous sommes des commerçants et nous voulons que le grand marché ainsi que toute la ville soient propre à son image ».
La Maire de la ville de Sarh Mme Kabo née Sioudina Mitadjina affirme, « la propreté est l’affaire de tous et la Mairie entend renforcer son action en faveur d’une ville toujours plus solidaire, dynamique et durable. Une ville propre pour tous et par tous ». Elle poursuit, la propreté de la ville a commencé par l'effort de la commune en collaboration avec les différentes associations des jeunes qui contribuent à l'assainissement de la ville. Elle compte continuer avec la sensibilisation pour que la population prenne conscience et s'engage pour le bien-être de la ville.
Selon elle, si la ville est propre, parce que, « nous avons établi le calendrier de nettoyage dénommé « samedi propre » où on nettoie de 6h à 10h ». Elle ajoute, ce plan de propreté a pour objectif de traduire concrètement cette volonté de renforcer les moyens et de relever les défis liés à la propreté afin de lutter contre toutes les maladies.
La mairesse Mme Kabo affirme que sa ville est connue par son « vivre-ensemble ». « C'est une ville cosmopolite qui représente le Tchad en miniature composé de plusieurs ethnies qui vivent en parfaite harmonie depuis la nuit des temps ».
Noël Adoum
Makaila, Abel, Tahirou, Habib Ben ont organisé une conférence-débat pour disent-ils faire le bilan de la transition et examiner les perspectives. Bilan et perspective? Oui, faire le bilan et les perspectives un après-midi comme ça. Sans aucune raison sinon celle de vouloir exister dans une transition embrouillée et ennuyante.
Je taquine souvent l’un d’entre eux, mon ami Makaila, le surnommant « activiste désactivé ». Il me répond toujours, sourire au visage, « journaliste opposant ». Je lui réplique, « dit journaliste et arrête-toi ». On en rit, on se balance des blagues comme depuis toujours avec « Fofana » son autre surnom de foot en plus de son premier surnom sigle de prénom « MK ».
Depuis leur retour, nos amis n’ont cessé de cumuler des erreurs. Je reviens sur quelques-unes de ces erreurs majeures.
Première erreur. C’est d’avoir accepté de cautionner le coup d’État. Surtout avoir accepté d’accompagner la perpétuation d’un système dynastique. Ils ont cru que leurs actions virtuelles et leurs amis aussi virtuels incarnaient le réel. Le réel tchadien est plus dur. Plus acrimonieux. Plus complexe. Ils le découvrent.
Deuxième erreur. Leur retour dans le brouhaha, en trompe œil, les a fait croire qu’ils étaient incontournables pour la transition. Ils marchaient presque sur les eaux du fleuve Chari, la tête dans les nuages de N’Djamena. Ils se voyaient ministre de la République, DG oubliant au passage qu’ils ne représentaient rien, comme dirait le ministre de la Réconciliation nationale M. Abdramane Koulamallah. Le réveil est brutal. Leur « entrisme » a été précipité et mal réfléchi.
Troisième erreur. C’est de n’avoir pas pu constituer lors du Dialogue national inclusif et souverain (DNSI) un groupe d’activistes pour peser sur les débats. J’ai fait à mon ami Makaila la remarque. Lors du DNIS, ils étaient perdus, noyés dans le tas des personnes ressources. Ils étaient inaudibles.
Quatrième erreur. Ils ont refusé de continuer à être activistes au Tchad, sur le terrain. Ils devaient s’inspirer d’un garçon comme Ahmat Haroun Larry. Brouillons parfois, mais intelligent dans son activisme. Il déjoue les pièges de la tentation. Et quand, le système croit l’avoir, il démissionne. C’est ce qu’il a fait après sa nomination à la Mairie, spécialement à la Voirie. C’était un gros piège tendu pour le temps de la saison de pluie. Larry a vite compris qu’il allait se faire prendre et se noyer dans les eaux de pluie s’il y restait.
Alors que nos amis se complaisaient dans leur situation. Au début de leur retour, ils disaient partout avec fierté être les invités du président comme s’ils n’étaient pas chez eux, dans leur pays. Ils étaient ivres de leur retour. Et commençaient déjà à croire que le président de transition et son entourage avaient besoin d’eux pour la suite de la transition. Ils étaient d’accord par avance pour l’accompagner à s’agripper au pouvoir. Je n’ai jamais cru que le président de transition avait besoin d’eux. Ils réalisent aujourd’hui que leur retour n’était qu’une simple opération de communication. Rien de plus.
Bello Bakary Mana
Depuis plus de 5 jours, la ville productrice de l'or noir subie une pénurie d'essence sans précédente. La vente à la sauvette connaît une flambée. Ialtchad Presse en séjour dans cette ville a fait le constat. Reportage.
Pour trouver de l’essence à Doba, Chef-lieu de la province du Logone Oriental, la population est obligée de la file indienne. Pire encore l'essence à la pompe est devenue une denrée rare. « De la station Sidigui en passant par Fontaine ou encore Amana, le litre est vendu à 750 FCFA alors que le prix conventionnel est de 518 FCFA », dit Mbaïlessem, moto taximan communément appelé « clando ». Selon lui, il est inconcevable que le prix d'un litre, dans la ville productrice, soit plus cher qu'à N'Djamena ou à Amdjarass. Il affirme que les vendeurs à la sauvette ont profité de l'occasion pour faire grimper le prix jusqu'à 900 voir 1000 FCFA le litre. « Nous subissons le mépris et l'humiliation sur nos propres terres en plus avec le pétrole exploité de chez nous ». Il précise aussi que sa moto est sa seule source de revenus, mais avec la hausse du prix, il aura de la peine à subvenir aux besoins de sa famille. « Nous avons des diplômes supérieurs, mais nous chômons à cause de cette politique clanique instaurée avec l'appui de la France. La vie est chère plus la pénurie d'essence est catastrophique. Que ce gouvernement trouve une solution à cette pénurie artificielle, sinon le peuple trouvera une solution à leur place », dit-il en colère.
Cette pénurie impacte négativement les activités de certains alors que d'autres se frottent les mains. C'est le cas de Réounodji, vendeur à la sauvette. « Nous achetons le litre à 750 FCFA à la pompe et le revendons à 900 FCFA. C'est un plus à gagner », affirme-t-il. Il ajoute qu’à la pompe, un motocycliste ne peut pas acheter pour plus de 2000 FCFA, mais il peut faire le plein chez les vendeurs ambulants. « C'est plus lucratif ».
Abderamane Moussa Amadaye
Ce vendredi 14 juillet, les journalistes membres de l'Union des Journalistes tchadiens (UJT) ont clôturé le 10e congrès ordinaire qui a débouché à la reconduite de la presque totalité de l'ancien bureau pour un mandat de 5 ans renouvelable une fois dans la capitale du Moyen Chari.
Une centaine de journalistes s’est rendue à Sarh capitale du Moyen Chari assisté au 10e congrès ordinaire de l'UJT. Cette rencontre des hommes et des femmes des médias a fini dans la controverse. Durant ce congrès, l'ancien bureau et son président ont été reconduits sans adversaire pour un mandat de 5 ans renouvelable une fois. Ainsi M. Abbas Mahmoud Tahir est réélu président de l'UJT avec 123 votes sur 132 votants, un score soviétique. Il est secondé de M. Leubnodji Tah Nathan vice-président. M. Manassé secrétaire général et Djimet Wiché secrétaire général adjoint tandis que Souleymane Abdelkerim est le trésorier général.
M. Mbang Ondjim Ndogongar s’est présenté comme candidat, mais sa candidature a été recalée parce qu’il est membre associé, selon le nouveau texte adopté et mis en vigueur aussitôt. Ce que conteste M. Ndogongar qui a fait appel à un huissier pour constater ce qu’il appelle des « irrégularités ». Certains journalistes présents accusent, sous le sceau de l’anonymat, M. Abbass d’avoir manœuvré et ficelé l’issue de ce congrès. « C’est bien dommage que l’UJT soit prise en otage par des semi-journalistes, des faux journalistes et d’anciens journalistes qui ne sont plus en fonction donc plus de journalistes. Par exemple les Belngar Larmé Laguerre, les Djonabaye Dieudonné, les Hassan Sylla, les Dorothée Falkoné. Cela fait mal au métier. L’UJT est morte à Bongor. Elle vient d’être enterrée à Sarh », dit un participant en colère.
Trois nouveautés dans le nouveau bureau avec des postes de secrétariats. Un premier secrétaire chargé du Genre, un deuxième chargé de sécurité et un troisième chargé de la communication et des relations publiques.
Le président reconduit Abbas Mahmoud Tahir a salué les congressistes pour la confiance renouvelée en sa modeste personne. Il a attiré l'attention des nouveaux membres du Bureau exécutif que les attentes sont immenses. Il a ajouté qu’il faut lutter pour avoir un statut particulier de journaliste, travailler pour l'amélioration des conditions d’exercice du métier pour faciliter l'accès aux sources d'informations pour le renforcement de capacités des journalistes, a-t-il dit. « Les points cités sont de grands défis à relever. Je vous demande de se serrer la ceinture et de redoubler d’efforts pour un résultat meilleur pour présenter un bilan positif à la fin de notre mandat ».
Noël Adoum
La ville de Sarh est réputée pour sa formation éducative et sa propreté. La ville verte, comme on la surnomme, est aussi une ville de sport. La pétanque en fait partie. C’est un sport prisé par les sarhois. Une équipe de la rédaction en séjour dans la ville constate que Sarh rime véritablement avec sport. Reportage.
Du quartier Kassaï, en passant par les quartiers Tombalbaye, Mayangara ou encore Keté-gala, la pétanque est devenue un sport pour les jeunes et les moins jeunes, les vieux, tous s’y donnent à merveille. Ils s'associent pour pratiquer ce sport chaque après-midi.
Quartier Kassaï. Il est 17h passé. Sur un terrain privé non construit au bord de la route des personnes de tous les âges, de toutes les couches sociales s’agglutinent en petit groupe. Une ambiance joyeuse règne sur le terrain. Toralta Charles Louangua, président du club de pétanque de Kassaï affirme qu'il pratique ce sport depuis plus de 12 ans. « Nous jouons chaque soir et très rarement en matinée. Notre équipe joue également des matchs de brassage avec d'autres clubs de la ville et compte participer au championnat provincial qui sera lancé prochainement », a-t-il confié. Il indique que la pétanque réunit les personnes de différents âges et d'appartenance sociale. Toutefois, il souligne les difficultés sont liés aux terrains disponibles, à la tenue, etc. « Nous occupons anarchiquement le terrain d'un individu, il peut à tout moment nous chasser et l'équipe ne dispose pas des équipements sportifs adéquats pour la pratique de ce sport. J'exhorte les autorités administratives et les personnes de bonne volonté à nous venir en aide. Le football n'a jamais évolué, investissez dans la pétanque et vous verrez le résultat dans une année. Il sera époustouflant ».
Djamal Saleh est adepte de la pétanque depuis plus de 7 ans. « Je l'ai pratiqué à la Base militaire Adji Kosseï de N'Djaména », dit-il. Selon lui, c'est une passion, un loisir et au-delà un sport fédérateur. « Je suis originaire d'Abéché, passé par N'Djaména, actuellement je suis à Sarh depuis presque 3 ans. Je vous assure que j'ai intégré la société et sympathisé avec tout le monde grâce à la pétanque ». Toujours selon lui, ce sport fédère et permet de s’intégrer aux sarhois dans le respect de la divergence d'opinions, de la culture et de la religion, explique-t-il. M. Djamal estime que la pétanque va au-delà de la passion, rapporte gros, crée de l'emploi et peu absorber le chômage si le gouvernement s'y investit. « Les talents, nous en disposons énormément, mais c'est le moyen qui fait défaut et je pense en toute sincérité qu'un investissement conséquent pourra faire du Tchad une référence non seulement en Afrique, mais aussi dans le monde », a-t-il précisé.
La pétanque est une activité sportive de masse, regroupant plusieurs joueurs qui s'affrontent en doublette ou en triplette. C'est l'un des plus vieux sports.
Abderamane Moussa Amadaye