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La plateforme revendicative des droits et des intérêts des personnes handicapées a fait une déclaration sur la discrimination des agents de la douane sur la traversée du pont de NGueli ce dimanche 29 octobre 2023 ay quartier NGueli dans le 9eme arrondissement.

Ali Ossigoubedé Justin, Coordonnateur National de la plateforme, dit que les handicapés ont lutté pendant 10 mois pour que le gouvernement lève la mesure, chose faite mais la discrimination s'est installée. Il soutient que ceux qui détiennent les motos des généraux ont le passage et ceux qui sont en tricycle sont systématiquement refoulés.

Il affirme que la situation de cette couche vulnérable est devenue un calvaire, notamment pour les handicapés femmes qui sont également responsables des ménages avec des enfants à leur charge.

« Mais nous disons trop c'est trop, les personnes handicapées sont au bout de leur limite.  Nous interpellons le gouvernement sur notre situation, autrement, nous investiront la rue pour manifester notre colère », lance Ali Ossigoubedé Justin, Coordonnateur National de la plateforme.

Il ajoute « si l’Etat ne veut pas s’occuper de ses handicapés, qu’il les jette dans le fleuve ou qu’il nous enterre vivant. Tout ce que ce gouvernement sait faire, c’est des beaux discours copiés sur d’autres pays ».

Pour finir, les handicapés demandent au gouvernement pas seulement le passage pour Kousseri mais également une prise en charge totale de la personne handicapée.

Ousmane Bello Daoudou

Lord d’un point de presse animé ce samedi 28 octobre, le groupe de concertation des acteurs politiques (GCAP) et la plateforme Républicaine ont lancé un appel à la jeunesse tchadienne pour boycotter le référendum du 17 décembre prochain. 

Les membres de l’Union des écologistes tchadiens (UET, les verts), affirment que le référendum constitutionnel de décembre prochain se fera dans la fraude et de la manipulation à grande échelle pour priver les Tchadiens de faire un choix responsable sur leur avenir. « Ce n'est un secret pour personne que les fondements mêmes de la démocratie sont sapés. Et la voix du peuple est menacée d'être réduite au silence par la machine de la fraude lors du prochain référendum », dit-il. M. Badano Daigou, président de l’UET soutient, « il est essentiel que les jeunes prennent toutes les mesures nécessaires pour faire entendre leur voix ».

Pour M. Daigou, la jeunesse a des outils et de l'énergie pour barrer la route à cette mascarade référendaire dont l'objectif ultime est de perpétuer une dynastie au pays. « Ce pays vous appartient et demain se construit à partir du présent. Pour cela, il vous faut plusieurs axes d'action, celui de sensibilisation en devenant la voix du changement, la conscientisation, la participation à toute activité d'empêchement de la tenue du référendum, la mobilisation de la masse, promouvoir l'éducation citoyenne et documenter les violences des agents de forces de sécurité ».

L’UET et le GCAP estiment que le moment pour empêcher une élection référendaire n'est pas seulement un choix mais aussi une lutte contre l’injustice.

Abderamane Moussa Amadaye

La Coordination nationale des jeunes pour la paix et le développement au Tchad (CONAPDT) a animé un pont de presse ce 26 octobre à son siège au quartier Moursal. Elle affirme que la seconde phase de la transition est lamentablement négative.

Mahamat Oumar Ibrahim, coordonnateur national du CONAPDT estime que rien ne va au Tchad. « Du social en passant par la politique, l'éducation, la sécurité, les indicateurs sont aux rouges », dit-il. Selon la CONAPDT, sur le plan social, le panier de la ménagère désemplit au jour le jour. Les prix des denrées alimentaires ne font qu’augmenter sans qu'aucune mesure adéquate ne soit prise pour atténuer la souffrance des populations tchadiennes « les citoyens tirent le diable par la queue », dit-il.

M. Mahamat Oumar rajoute que malgré les dénonciations, le gouvernement, à sa tête, le Premier ministre Saleh Kebzabo, multiplie des rencontres futiles pour amuser la galerie et endormir le peuple qui attend impatiemment des mesures fortes pour baisser la cherté de vie, a-t-il assuré. Il relève qu'aujourd'hui, les ménages tchadiens, où qu'ils se trouvent sur le territoire national sont confrontés à la cherté de vie, alors que rien ne justifierait cette situation. Il a aussi fait le bilan sécuritaire. Selon le coordonnateur du CONAPDT, plusieurs menaces d'ordres sécuritaires planent sur le Tchad. « Des bandits de grands chemins sont quasi-permanentes en milieu rural qu’urbain. Partout, on tue les Tchadiens pour arracher leurs biens, ou par pure méchanceté. Dans nos campagnes, le conflit entre les producteurs ruraux bat son plein. Tout ceci parfois sous le regard complice des forces de l'ordre », a-t-il laissé entendre. Toujours sur la sécurité, il dénonce la répression et les élévations anarchiques des officiers. Politiquement, M. Mahamat Oumar a dressé un bilan négatif.

« Les résolutions du dialogue n'ont été à la hauteur des enjeux, le processus du Conorec et la révision du fichier électoral pour le prochain référendum est biaisé », dit-il. Il a aussi dénoncé le mandat d'arrêt international contre Succès Masra, le président du parti Les Transformateurs, « c’est une manœuvre dilatoire orchestrée par le gouvernement de Saleh Kezbabo qui vise à provoquer la colère des Tchadiens ».

Pour finir, il impute au président de transition et au Premier ministre la responsabilité de cet échec. Il appelle la transition à prendre des mesures.

Abderamane Moussa Amadaye

Lors de son Assemblée Générale Extraordinaire (AGE) tenue ce 26 octobre, le bureau exécutif de la section syndicale du ministère des Affaires étrangères, des Tchadiens de l'étranger et de la coopération internationale, via la centrale syndicale des agents de l'administration générale du Tchad (CSAAGET) a annoncé un préavis de grève de 72h.

Ils étaient nombreux à prendre part à cette assemblée dont l'objectif est d’évaluer les avancées pour la signature du statut particulier du corps de la diplomatie du Tchad. Après présentation et examen du compte rendu, l'AG a décidé que le corps de la diplomatie tchadienne est l'un de tout premiers à disposer de son statut particulier en son temps mais aujourd'hui, l'un des derniers pays au monde qui ne dispose pas d'un texte pour régir sa diplomatie.

Selon l'assemblée, le Pacte Social triennale préconise avec précision que les droits acquis ne doivent pas être supprimés et la carrière des agents du ministère en charge des affaires étrangères est aujourd'hui complétement bloquée par les textes actuels qui régissent l'administration de tel point qu'aucun cadre n’évoluer en grade jusqu'à sa retraite. Le ministère Secrétariat général du gouvernement et le ministère de la fonction publique n'ont pas donné des raisons à la section syndicale.

L'assemblée estime que tous ces agissements visent à bloquer l'aboutissement de ce projet à la carrière des diplomates, un préavis de grève de 72h est lancé à partir du lundi 30 octobre. « A l’expiration de ce préavis, une grève sèche sera automatiquement entamée ».

Noël Adoum

A l'issue d'une assemblée générale (AG) statutaire tenue sous haute sécurité ce jour 25 octobre que le comité de normalisation de la fédération tchadienne des nouveaux textes sont adaptés par acclamation malgré quelques contestations.

23 délégués de ligues de provinces, des représentants de la Fédération Internationale de Football Amateur (FIFA) et de la Confédération Africaine de Football (CAF) ont clos les travaux à 20h. Après plus de 9h d'échanges tendus, houleux, un consensus s’est dégagé de 6 projets de textes proposés par le comité de normalisation et la commission chargée de la révision ont été adoptés par acclamation malgré quelques contestations.

Me. Jacqueline Moudeïna, présidente du comité de normalisation du football affirme que l'adoption ces textes permet de franchir un cap. « Il y a ceux qui se sont donné le droit, le loisir de semer le doute dans la tête des Tchadiens en nous dénigrant, en baptisant CONOR, CONARD, tout cela on l’a encaissé », dit-elle. Elle dit se réjouir par l’adoption de ces textes qui s’est déroulée d'une façon très correctes, lucides et sincères. Mme Moudeina a aussi dit que la date des élections à la tête de la fédération tchadienne de football est pour bientôt, « la dernière étape sera les élections et nous procéderons aux élections en vous lisant le calendrier qui nous a été envoyé par la fédération internationale de football association (FIFA)... sera mise en exécution pour permettre une élection seine », a-t-elle relevé.

A la fin de cette AGS, quelques dirigeants du football se sont prononcés à notre micro.

Souleymane Daoud, président de la ligue de football du Ouaddaï dénonce la concentration des toutes les activités dans la capitale alors que les potentialités du football tchadien sont en provinces. Toutefois, il se dit satisfait des travaux qui ont abouti à l'adoption des nouveaux textes pour permettre l'organisation dans un proche avenir des élections pour la désignation d'un nouvel exécutif. « Nous allons voter un sportif soucieux du devenir du football tchadien à la tête de la fédération pour redonner le blason à notre sport qui nous est cher », a-t-il laissé entendre.

Pour Rahman Zakaria Rahma, nouveau vice-président de la ligue de N'Djamena, les débats ont été francs, cela a amélioré les textes présentés par le CONOR. « Dans une rencontre qui regroupe plus de 100 personnes, il doit y avoir des mécontents mais dans l'ensemble c'est une très bonne assemblée. Nous sommes satisfaits »,

Abderamane Moussa Amadaye

L’Observatoire Économique et Statistique d’Afrique subsaharienne (AFRISTAT) a organisé ce 23 octobre 2023 la 46ème réunion du comité de direction dans le 8e arrondissement de la capitale tchadienne, N’Djamena.

L'objectif de cette réunion est d'élaborer la vision horizon 2025 qui servira à développer le volet « observatoire économique », sauvegarder l'acquis du centre de référence dans le domaine du renforcement des capacités statistiques afin de continuer d'être l'instrument d'intégration économique en Afrique Subsaharienne.

Pour le ministre de la Prospective Économique et des partenariats internationaux, Moussa Batraki, le conflit entre la Russie et l'Ukraine est venu exacerber les tensions sur le marché des matières premières notamment celui du pétrole, du gaz ainsi que sur celui des produits alimentaires notamment le blé et le maïs, a-t-il dit. Selon le ministre, l’une des conséquences les plus visibles de cette situation d’ensemble reste le renchérissement du niveau général des prix un peu partout dans le monde. Il relève que les perspectives sont en berne car le FMI annonce un ralentissement général de l’activité. « L’Institution de Bretton-Woods indique que la croissance mondiale devrait passer de 3,5% en 2022 à 3% en 2023 et il est projeté un taux 2,9% en 2024 », a-t-il déclaré.

Selon lui, la finalisation du projet de révision du Traité portant création d’AFRISTAT, l'examen des résultats de l'étude stratégique d’AFRISTAT à l’horizon 2035 et les délibérations devant conduire à la proposition au Conseil des ministres de candidats susceptibles d’être nommés Directeur Général de l’Institution à partir de janvier 2024 sont des sujets qui vont impacter la vie d’AFRISTAT.

Noël Adoum  

Dans un point de presse animé ce 21 octobre 2023, le président du parti union des démocrates pour le développement et ne progrès (UDP), Max Kemkoye sur les douloureux événements du 20 octobre, il exige une enquête internationale et une justice internationale. Le président de l'UDP a aussi dressé le bilan de la gestion embrassante de l'an 1 de la seconde phase de transition. 

Pour Max Kemkoye, président de l'UDP, l'effroyable a été atteint le 20 octobre 2022 à la suite de la manifestation réprimée dans le sang à N'Djamena, Moundou, Koumra et Doba. « Ce jour-là, des jeunes tchadiens tombaient par centaines sous les balles assassines de l'ensemble des forces de défense et de sécurité », dit-il. Il relève que le gouvernement, pour se justifier à l'effet de se donner bonne conscience, a qualifié cette manifestation réprimée d'atteinte à la sûreté de l'État et insurrection populaire, affirme M. Kemkoye. S'agissant de responsabilité de cette sanglante répression, le président de l'UDP indique que « les faits sont là, les éléments de forces de défense et de sécurité de façon générale et l'armée en particulier ne répondent qu'à un ordre...en pareille circonstance, tirer à vue ou tirer pour tuer dans une armée ne peut relever de la compétence exclusive de celui qui a le pouvoir de réquisitionner l'armée pour le maintien de l'ordre. Et cette réquisition ne peut se faire que par décret », a-t-il confié à la presse. Face au silence et au manque de crédibilité de la CEEAC dans la facilitation de cette tragédie, selon le Président de l'UDP, son parti promet de se battre aux côtés des victimes pour sauver le Tchad de la junte aux intérêts étrangers en contre partie du pouvoir. « Nous appelons ces gens qui croient qu'ils vont continuer à bénéficier de l'impunité ou qu'il n'y aura pas justice à sortir de leur tanière pour demander pardon car, aucun régime n'est éternel. Et ça sera un Tribunal criminel qui statuera sur leur sort », a affirmé, Max Kemkoye, président de l'UDP. Il poursuit, « le bon sens politique et l'humanisme nous condamnent à s'interdire toute exploitation politicienne de ce drame...nous exigeons l'enquête internationale et la justice pour les victimes...ces morts ne doivent pas servir à rien ou être rangées dans l'oubliettes comme de nombreux événements connus et restés impunis », a-t-il laissé entendre.

M. Max Kemkoye s'est aussi appesanti sur l'an 1 de la seconde phase de transition. Pour le président de l'UDP, les tchadiens vivent les pires situations socioéconomiques et politiques depuis plus de 24 mois dont 12 mois de malheur excessif qu'il résume en 17 points qu'il dénomme « les 17 plaies béantes difficiles à cicatrisées occasionnées par le gouvernement de transition dite phase 2 ». Il souligne l'indifférence et l'irresponsabilité des autorités de transition, l'incapacité à répondre aux urgences économiques et sociales, aux détournements massifs et la destruction de l'économie, l'absence de justice, cherté de vie, des nominations et élévations népotistes, etc.

Enfin, face à ce qu'il qualifie de l'échec total et du pilotage automatique de l'État par des immatures, le président de l'UDP promet que la junte militaire aura le peuple en face. « Partout où règnent ces genres de pouvoir, le peuple a fini toujours par renverser la vapeur car, nous en avions vu et revu les sinistres, célèbres et tout puissants dictateurs finir droit en prison, lynchés par la rue, chassés par les populations, emprisonnés à vie ou tués et exposés. Quelle que soit la puissance d'un dictateur, sa fin a toujours été triste et ils sont légion », conclut, M. Kemkoye, président de l'UDP.

Abderamane Moussa Amadaye

Le Syndicat National des professionnels de l'Administration du Territoire dénonce lors d’un point de presse la gestion de l'administration territoriale, la revalorisation et l'harmonisation de leur traitement salarial.

Mme Ndeingar Sonia la Secrétaire Générale (SG) dénonce les dérives de certains chefs des unités administratives. « Les nominations par le décret présidentiel sont remplacée par des nominations verbales ou par messages », dit la SG.

Elle affirme que la suspension du gouverneur de Wadi Fira par le président de la transition pour cause la nomination par un arrêté des maires de communes et le sultan du Dar Zakhawa est en violation des textes qui régissent les unités administratives, les collectivités autonomes et les chefferies traditionnelles.

Pour elle, le SYNPAT déplore la militarisation et la politisation de l'administration publique. Pourtant, dit-elle, le ministère dispose des cadres formés à École Nationale de l’Administration (ENA) du pays, de l’étranger. Et qui traînent dans les couloirs du ministère. « La plupart des gouverneurs, des préfets et des sous-préfets sont des militaires sans aucune notion et références de la fonction Publique ». Selon le syndicat, ces pratiques sont perpétrés par les tout-puissants gouverneurs sont la plupart des généraux qui ont fait de la mauvaise gouvernance des unités administratives une règle. Conséquence : les populations sont arnaquées.

Le Synpat condamne ces dérives et propose au président de transition de procéder à des nominations sur la base des critères définis par les textes de la République. Il doit aussi s’investir dans le dossier de la revalorisation et de l'harmonisation salariale des agents de commandement du ministère.

Ousmane Bello Daoudou

Dans une déclaration faite ce samedi 21 octobre, l'association des jeunes pour la paix et la sensibilisation et la citoyenneté déplore la situation socio-économique, politique et sécuritaire du pays.

Moussa Djibrine Ramtallah Hassan, président de l'AJPSC dit constater les agissements des autorités de la transition qui tentent d’instaurer une pensée unique par l'asservissement des Tchadiens. Il affirme que les partis politiques et la société civile favorable à la transition font leur activité alors que ceux de l'opposition démocratique sont empêchés, dit-il.

Pour lui, l'insécurité, la cherté de vie, le recul de la démocratie, le manque de politique d'emploi pour les jeunes, l'injustice sont quotidien, dit-il. Face à la situation, il soutient que la transition dirigé a échoué parce qu’elle est incapable de répondre aux besoins urgents des Tchadiens. Il exige la dissolution du gouvernement afin de constitution une nouvelle équipe Républicaine soucieuse de la vie politique du pays.

Ousmane Bello Daoudou

Par une déclaration officielle diffusée sur le site de l'ambassade des États-Unis au Tchad, le porte-parole du département Américain, Matthew Miller exhorte le gouvernement tchadien à faire la transparence sur les violences du 20 octobre où plusieurs manifestants ont été tués par les forces de l'ordre, selon le porte-parole.

Une année après la tragique et douloureuse répression sanglante du 20 octobre 2022, le département Américain a rehaussé à nouveau le ton sur les autorités de transition. Il affirme dans sa déclaration que « les forces de sécurité du gouvernement du Tchad ont abattu quatre (4) manifestants devant l'ambassade de États-Unis », au cours d'une manifestation du 20 octobre. Il a relevé que lors de multiples réunions avec de hauts cadres tchadiens, les États-Unis ont insisté pour que les responsables de ces meurtres répondent de leurs actes. « Malgré les assurances selon lesquelles l'affaire a été transmise au procureur général, nous n'avons vu aucun signe indiquant que le gouvernement du Tchad prend des mesures pour enquêter ou traduire les auteurs en justice », dit-il. M. Matthew Miller affirme que son pays ne dispose d'aucune information concernant une enquête gouvernementale sur le recours à la force meurtrière par les forces de sécurité contre d'autres manifestants pendant et après les manifestations du 20 octobre, a-t-il indiqué. « Nous n'avons pas non plus connaissance d'une quelconque mesure gouvernementale visant à enquêter sur l'arrestation et la mort de manifestants en détention survenus ultérieurement », a-t-il confié.

Le porte-parole du département d'État américain estime que la transition au Tchad ne peut réussir vers des élections démocratiques que si le gouvernement créé les conditions permettant à l'opposition non-armée et aux groupes de la société civile la pleine participation au processus politique. « Les États-Unis renouvellent leur appel pour que des enquêtes exhaustives soient menées sur ces événements et que toute personne responsable de violations et d'atteintes aux droits humains soit amenée à rendre des comptes », conclut le porte-parole du département d'État américain.

Abderamane Moussa Amadaye

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