Une Assemblée Générale de l'Ordre National des Architectes du Tchad (ONAT) s'est tenue ce samedi 1er juillet dans la salle multimédia au Centre d'Étude de Formation pour le Développement (CEFOD). Ordre du jour : plan d'action (PA) 2023-2025.
Le secrétaire général Abdelkader Djidda a présenté plusieurs axes du PA. Pour lui, le redressement de l'ONAT est reparti en quatre actions. Notamment la demande des audiences avec les autorités, dont l'évaluation est de 1 million, la réforme et l'harmonisation de texte de l'ONAT, la relecture de texte, le lancement de concours, etc.
Le président de l'ONAT Senoussi Ahmat Senoussi a lancé un appel au gouvernement de leur donner accès à l’administration publique pour rencontrer tous leurs grands décideurs administratifs pour faire de N'Djamena une ville verdoyante attractive et là où il fait bon vivre.
Selon lui, « A la veille de la saison de pluie, l'inondation va venir bientôt et on aimerait que toutes nos réflexions se focalisent pour les longs termes. Le quotidien d'urgence ne peut que résoudre les problèmes actuels, mais pour le futur. Il faut que les architectes soient présents pour accompagner nos villes ».
Pour l’ONAT toutes ces occupations anarchiques, tous ces espaces publics qui deviennent des propriétés privées peuvent redevenir publics. Ce sont des endroits qui permettent l'écoulement des eaux de pluie. Ils sont hélas quasiment bloqués. M. Senoussi affirme, « en pleine vacances on aimerait voir nos enfants dans des lieux sécurisés et non sur les voies publiques. L'équipe est motivée pour réaliser tout ce plan d'action avec la forte volonté politique des autres et l'aide de Dieu ».
Enfin la secrétaire aux Finances Loubna Matar Hissein, a lancé un appel à ses confrères et consœurs de mettre leurs cotisations à jour, « ensemble nous réaliserons ces actions très importantes ».
Noël Adoum
L'Alliance Citoyenne pour l'État fédéral au Tchad (ACEFT) Natoi-Allah Ringar a animé un point de presse ce vendredi 30 juin au cours duquel, elle a dénoncé l'adoption du projet de loi de la Constitution.
Le porte-parole de l’ACEFT M. Natoi-Allah Ringar affirme que lors de la conférence nationale et souveraine de 1993, les participants ont jeté leur dévolu sur la décentralisation vantée comme étant la forme de l'État qui satisfera la démocratie tchadienne. « La population qui a cru à ce changement a vite déchanté ». Le fédéralisme est la voie royale pour gérer la diversité socioculturelle et politique du pays.
Dans son plaidoyer pour le fédéralisme, le porte-parole a souligné 12 vertus de la fédération notamment. Il qualifie l’État unitaire de système des « voleurs politiques de la république ». Et affirme, « les promoteurs de cette machine ont une stratégie et plan de détournement. Voler l'avenir, les rêves, la passion, le salaire, l'éducation, la santé, la force et la joie des autres pour développer leur propre région ». Seul l'État fédéré bloque et empêche le détournement de deniers publics, a dit-il. Un digne fils d'un État fédéré ne peut ni piller ni détourner les biens de son État. La fédération est une alternative pour contrecarrer les plans des partisans de l’État unitaire. « L'État fédéral mettra fin aux gouvernements des illettrés et des incompétents armés ». Il fera disparaître le complexe de supériorité ou d'infériorité de certains « aucune ethnie ne sera supérieure aux autres, aucune ethnie n'a aura plus de droits que d’autres, aucun éleveur armé ne peut détruire les champs d’un agriculteur. Les éleveurs seront systématiquement désarmés. Personne ne pourra être traité de Abite, Kirdi, Doum c'est la fin de la haine tribale et religieuse », dit-il.
Selon les fédéralistes, la fédération éradiquera l'exploitation de l'homme par l'homme et bannira « le business de la rébellion » qui coûte des milliards au Trésor public. Il poursuit en soutenant que l'État fédéral empêchera les riches de s'enrichir quotidiennement sur les pauvres.
Avec véhémence, M. Ringar affirme que, les filles, les enfants, les femmes, dans un État fédéral, seront protégés, défendus et sécurisés. Toujours selon lui, « notre pays le Tchad est enterré et vendu ce 26 juin 2023 par les vendeurs d'illusions en quête de gain facile. L'adoption du projet de constitution de l'État unitaire par les conseillers nationaux de transition acquis à la solde de la junte au pouvoir tombe comme un coup de massue sur la tête des Tchadiens ».
L'alliance citoyenne pour l'État fédéral du Tchad, condamne cette adoption. Elle rejette cette démarche boiteuse qui viole allègrement les résolutions et recommandations du DNIS et demande au gouvernement et au président de transition d'annuler sans délai cette adoption qui mettra en péril l'unité nationale et la cohésion sociale.
Noël Adoum
Lors d’un point de presse animé ce 30 juin à la Maison des médias, l'association « Tchad notre pays » a lancé une campagne de collecte de fonds en faveur des réfugiés soudanais.
Pour la présidente, Mouna Kallimi Sougui, depuis l'éclatement des conflits au Soudan, des vies sont bouleversées et des rêves brisés qui ont drainé des milliers de réfugiés dans la partie orientale du Tchad. « Ces personnes ont besoin de notre aide, de notre solidarité et de notre soutien », a-t-elle déclaré. Toujours selon la présidente, des liens forts existent entre les peuples, du Soudan et du Tchad, liés par l'histoire, la culture, l'éducation, la santé, etc. Elle estime que les réfugiés soudanais sont des frères et des soeurs, « ils sont nos parents, ils ont tout perdu et ont besoin de nous ».
C'est dans ce sens que son organisation, « Tchad notre patrimoine » a décidé de lancer une campagne mondiale de collecte de fonds en faveur de réfugiés et déplacés soudanais en vue de collecter sur chaque individu 1 dollar. Elle justifie ce projet par le slogan, « Au-delà des statuts et des frontières, l’humanité ».
Mme Mouna invite chacun à être solidaire à ce projet humanitaire, « aujourd'hui, je m'adresse à vous au-delà des frontières et des statuts, en tant que membres d'une seule et même humanité à participer à cette campagne mondiale de collecte de fonds en faveur des réfugiés et déplacés soudanais. Cette campagne de collecte de fonds ne connaît pas de frontières, de limite géographique ou de statuts social. Elle est ouverte à tous, car nous sommes tous concernés par cette crise humanitaire. Peu importe votre origine, votre religion, votre nationalité ou votre situation financière, vous pouvez faire une différence en donnant 1 dollar ».
Abderamane Moussa Amadaye
Amine Badjoury Abbanou a annoncé la parution de son livre, un recueil de poèmes intitulé « Les tumultes d'un coeur », paru aux Éditions du printemps à Cotonou dans la capitale béninoise. 80 pages poèmes sur plus de 40 thématiques.
L'auteur poétise 42 thématiques notamment l'Afrique comme l'avenir de l'humanité, la splendeur de la passion, la solitude, la mort, la paix, et chanté la gloire de sa terre natale qui est le Kanem, le Guéra, selon lui berceau d’hospitalité et d’amour, etc. Ces thèmes reflètent, dit-il, l'image de notre société. « Le bonheur est une condition pour une vie meilleure. Nous vivons dans un monde où les ennemis de la paix se multiplient, alors que la société a besoin de paix pour son développement ». Il affirme que nous traversons une ère où l'harmonie n'est plus au rendez-vous, il y a donc nécessité de la conserver. Et comme cette poésie est quasiment lyrique, l'exaltation de l'être cher de Dieu commande cette production. Une grande partie est dédiée à l'amour pour le fait que, « l'homme, cette créature divine est mortelle. À son voyage éternel, nous pleurons, nous regrettons, mais nous acceptons ce fait est la condition humaine ».
Pour M. Badjoury l'Afrique qu’il nomme « terre des hommes noirs hardis » a souffert et continue de subir des souffrances. Elle doit renaître. L'invocation d'une Afrique libre et prospère doit être notre prière de toujours», a-t-il évoqué. Il dit être fier d'appartenir à un beau pays comme le Tchad. Caractérisé par les pittoresques et fresques paysages de ses divers endroits pleins de charmes à travers ses lacs, ses verdures, ses gravures rupestres, ses grands empires, etc.
Pour M. Amine Badjoury, «la poésie a toujours été un genre noble ou l'on peut librement exprimer ses pensées ». Il y a en lui, une sensibilité irrésistible. L'intention d'agir par l'écriture le hante illico presto. Les raisons qui l'ont poussé à écrire ce livre relèvent de la passion de lecture et de l’écriture des textes des grands auteurs.
M.Badjoury affirme, «je sens en moi une sensation étrange, me poussant à méditer sur la question de prendre la plume, griffonner, tomber, se relever, échouer, réussir, afin d'inscrire mon nom contre vents et marré, aux côtés de ces illustres félibres de tous les temps. Leurs écrits se lient à la folie. Car j'ai toujours rêvé d'être un écrivain afin d'apporter ma contribution dans ce vaste univers des Lettes ».
Ce livre «Les tumultes d'un coeur » est son deuxième ouvrage après « Mes écrits qui crient », paru aux Éditions ACCOM, à Yaoundé, au Cameroun.
Noël Adoum
Tabaski, fête du sacrifice pour les fidèles musulmans, est célébrée ce mercredi 28 juin. Ialtchad Presse a fait tour dans les marchés de la ville de N’Djamena la capitale tchadienne.
Du grand marché en passant par le marché à mil, les N’Djamenois de confession musulmane, jeunes, vieux, filles, femmes vont et viennent. Une vendeuse de tomates explique, « tous ces produits nous viennent du Cameroun précisément à Ngaoundéré, c'est pour cela tout est cher. Nous achetons cher et nous revendons cher. Le temps de produits tchadiens est passé. Les simples tomates nous viennent de pays voisin ».
Les ménagères disent, « c'est compliqué ». Khadidja Seid affirme, « ce que vous voyez là, je l’ai acheté à 250 FCFA. Aujourd'hui il a grimpé, voir triplé de prix. Carotte, persil et tomates sont devenus très chers à la veille de la fête pourtant c'est un moment de joie ». Elle ajoute, il faut que l'État veille sur les prix, sensibilise les vendeuses à prendre conscience. Elle soutient que c'est même difficile pour un fonctionnaire parce qu'il paie tout, loyers et le mangé.
Zara Mahamat dit, « ce matin les prix ont explosé, mais en après-midi les prix ont un peu baissé. Un « coro » de pomme de terre coûtait 5 000 F CFA le matin, le soir il est tombé à 3 500 F CFA et le poivron à 1000 F CFA. Il faut que le gouvernement trouve une solution sur cette cherté de vie. Les pauvres souffrent parce le prix monte de jour en jour ».
Ousmane Bello Daoudou
Le collectif des avocats de l'État tchadien et du chef d'État-major général des armées a animé un point de presse ce 27 juin à FM Liberté pour justifier l’arrestation et l’incarcération de l’ex-ambassadeur M. Al-Amine Adoudou
Pour Me Mocna Kembetiade, représentant du collectif, M. Al-Amine Adoudou a jeté du discrédit sur l'armée nationale tchadienne (ANT) à la suite de ses propos diffusés en message audio sur les réseaux sociaux dans lequel il affirme que 15.000 soldats toroboro (milice soudanaise) sont au sein de l'armée nationale au détriment des citoyens tchadiens. « Des propos que M. Adoudou a reconnu formellement avoir tenus dans sa déposition à la police judiciaire », dit-il.
Toujours selon Me Mocna, ces propos diffamatoires ont provoqué la réaction légitime et légale du Chef d'État-major des armées, le Général Abakar Daoud Abdelkerim dit « Kerenkeyno », a-t-il précisé. Une dénonciation est faite auprès du Procureur de la République pour le compte de l'État tchadien, dit-il. C'est à la suite de cette saisie que le parquet, par une procédure régulière, à procéder à l'audition du mis en cause, M. Adoudou. Et puis l’a placé sous mandat de dépôt le 19 juin pour délits de diffamation, incitation à la guerre, etc. conformément aux dispositions du Code pénal a expliqué Me Mocna.
Pour l'avocat, en voulant exercer son opinion, M. Adoudou a outrepassé les limites de la liberté d'expression, a-t-il expliqué.
Pour finir, Me Mocna soutient que la procédure déclenchée contre M. Adoudou n'est pas l'affaire personnelle du Chef d'État-major, mais plutôt une affaire de l'ANT réglée au plus haut niveau de l'État tchadien qui est partie civile au procès. « Force reste à la loi et que justice soit rendue à notre armée », a conclu le représentant du collectif.
Abderamane Moussa Amadaye
Par un communiqué de presse rendu public ce soir 24 juin 2023, la Radio FM Espoir 89.7 Mhz de Walia décide d'attaquer la société nationale d'électricité (SNE) suite à un délestage qui a endommagé l'émetteur de la radio.
Selon les termes du communiqué de la direction, la Radio « a subi des dommages collatéraux suite à la mauvaise gestion de la SNE ». Toujours selon le communiqué, ce samedi 24 avril 2023 aux environs de 6 heures du matin, le délestage sans avertissement a causé un dommage. L’émetteur a été grillé et d'autres matériels de travail de la Radio Espoir FM sont aussi touchés, indique le communiqué.
La direction a d'abord présenté ses excuses auprès de « ses auditeurs pour ce désagrément qui a créé un temps mort ». Ensuite, elle annonce attaquer la SNE en justice, «la direction de la Radio entend porter plainte contre la SNE qui fait souvent des jeux avec l'électricité sans penser aux conséquences que cette manière peut créer sur les clients ».
Abderamane Moussa Amadaye
La présidente de la commission du 10e congrès ordinaire de l'Union des Journalistes tchadiens (UJT) Fakolné Padeu Dorothée a animé un point de presse ce samedi 24 juin à la maison des médias du Tchad au quartier Moursal. Et déclare que l'organisation du 10e congrès ordinaire de l'UJT aura lieu à Sarh, capitale la province du Moyen Chari.
Dans son point de presse, Mme Fakolné dit que le thème sera, « le journaliste tchadien face à la recrudescence des conflits et discours de haine à l'ère du numérique ». Elle poursuit le Comité d'organisation a pour mission de préparer et d'organiser le 10e Congrès ordinaire au terme du mandat des membres bureau exécutif actuel. « Comme toute organisation, nous avons rencontré des difficultés qui ont empêché la mise en œuvre et le respect de l’agenda prévu », dit-elle.
Selon elle, des dispositions sont prises pour la tenue effective du Congrès en application des recommandations du 9e congrès ordinaire tenu à Bongor en 2020, qui exige une décentralisation et une rotation au sujet de la tenue du congrès.
Mme Dorothée affirme que, pour la tenue du congrès, de manière souveraine, la ville de Sarh, chef-lieu de la province du Moyen Chari est choisie au détriment de Moundou et Pala. Le choix de la ville de Sarh se justifie par la grande capacité d'accueil et la disponibilité exprimée par les autorités provinciales, a-t-elle expliqué. L'ouverture des travaux du 10e congrès ordinaire est prévue le 5 juillet prochain dans la ville de Sarh.
Elle ajoute que le comité d'organisation a pris des dispositions nécessaires pour accueillir les congressistes. Selon les organisateurs, tous les membres de l'UJT de toutes les provinces sont invités à y prendre part. Le Comité d'organisation assure le transport, l'hébergement et la restauration de tous les journalistes membres de l'UJT.
Mme Dorothée affirme que l'enregistrement des participants commence dès le lundi 26 juin et prendra fin le lundi 3 juillet 2023 à 16h au siège de l'UJT sis à la Maison des médias où une permanence sera assurée.
Noël Adoum
Les membres du Bureau exécutif du Conseil national des pétroliers (CNP) ont été installés ce matin 24 juin en présence de leur avocat.
Pour le Secrétaire général, 3e adjoint, Nouradine Saleh Bakay, la nouvelle équipe travaillera sans relâche et en franche collaboration avec ses membres pour en faire un véritable cadre d'échange pour tous les entrepreneurs du secteur pétrolier, dit-il. Le président du comité d'organisation, Dr Mahamat Lamine Yacoub affirme de son côté que la nouvelle équipe dirigeante va faire de son mieux que possible pour que les pénuries de produits pétroliers ne se répètent plus au Tchad.
Selon le Président par intérim installé, M. Ousmane Moussa Toloba, c'est un nouveau départ pour ce secteur qui est le pilier et le poumon de l'économie tchadienne. Il se fixe l'objectif de défendre et promouvoir les intérêts économiques des Tchadiens, de développer, coordonner et de faciliter les actions entre les marqueteurs, consommateurs et les transporteurs dans le secteur pétrolier, dit-il. Le nouveau président assure que son organisation luttera contre la cherté de vie et la rareté des produits pétroliers sur l'ensemble du territoire national. « Nous allons aussi lutter contre la corruption, le clientélisme, le népotisme et le monopole des produits pétroliers qui crée une pénurie artificielle », a-t-il confié. Il promet de valoriser le dialogue permanent avec les autorités pour rendre les produits disponibles en collaboration avec le ministère du Pétrole, la raffinerie, etc.
Pour finir, Me Benjamin Mamgodibaye souligne que conformément au texte de base et aux lois de la République le nouveau président est installé pour assurer l'intérim du BE du CNP jusqu'aux prochaines élections.
Abderamane Moussa Amadaye
Les cadres, personnels et enfants du SOS villages d'enfants antenne du Tchad ont célébré ce 23 juin dans leur local situé à Ndjari dans le 8e arrondissement de N'Djaména la fête internationale des villages d'enfants SOS.
Roassoum Ngarbim Cyril, représentant par intérim de SOS villages d'enfants (SOSVE) à cette cérémonie a d'abord rappelé que cette organisation non gouvernementale à but non lucratif fondée est en 1949 à Imst en Autriche par Herman Gmeiner. « Elle œuvre dans le domaine de protection et promotion des droits de l'enfant en générale et particulièrement ceux qui ont perdu ou qui risquent de perdre la prise en charge parentale », dit-il. Toujours selon lui, pour garantir la protection, le bien-être et le développement de l'enfant, SOSVE défend les droits d'enfants et s'engage pour que l'enfant d'aujourd'hui devienne demain un citoyen indépendant, responsable et actif au sein de sa communauté. Il a également indiqué que cette institution s'est installée au Tchad depuis 2005 et se repose sur trois piliers qui sont, la prise en charge de remplacement, le renforcement des familles et le plaidoyer. Il a affirmé que « SOS Villages d'Enfants dispose d'un programme à N'Djamena qui renferme le village d'enfants, le renforcement de la famille, le centre médical, une École primaire Herman Gmeiner, etc. », soutient-il. M. Roassoum a laissé entendre que plus de 184 enfants et jeunes sont soutenus au sein du SOSVE et plus de 800 enfants issus de 168 familles sont dans le programme de renforcement de famille à Ligna à la sortie Est de N'Djaména.
Pour finir, le représentant du Directeur de SOSVE a rendu un hommage aux cadres de cette organisation qui ont consenti depuis 18 ans à l'encadrement des enfants, qui selon lui, est une mission noble.
Rappelons que le 23 juin est une fête internationale des villages d'enfants SOS. Elle commémore l'anniversaire de naissance de Hermann Gmeiner, fondateur des villages d'enfants SOS. L'ONG a été créée en 1949 et œuvre pour la protection de l'enfant dans plus de 137 pays à travers le monde, afin que chaque enfant grandisse dans une famille.
Abderamane Moussa Amadaye