Journal

Journal (976)

Le rappeur, slameur Djasrabé Kimassoum Yilmian dit Ray's Kim ou encore Bunda Boss du Ghetto et récemment le Mohemed Ali du Game a rendu public le clip de sa nouvelle chanson intitulé « Noir » ce 29 janvier 2023 sur sa chaîne YouTube. Des images et quelques scènes horribles des évènements tragiques du 20 octobre refont surface sur le clip. Ialtchad Presse a échangé cet après-midi avec l'artiste sur le contenu de cette chanson

10h après sa publication, le clip vidéo du rappeur Ray's Kim et porte-parole du Parti Les Transformateurs, réalise plus de 9.000 vues sur YouTube et plus de 1000 j'aime. Un clip que semble apprécier des milliers de Tchadiens sur les réseaux sociaux où depuis ce matin des challenges « Noir » sont lancés. Des personnes s'habillent en noir comme dans le clip pour exprimer leur soutien à l'artiste et aux victimes du jeudi Noir.

Interrogé au téléphone sur le titre de ce nouveau clip, Ray's Kim répond, « Noir parce que le jeudi 20 octobre, le Tchad a connu une des dates les plus sombres qui soit dans son histoire. Une date qui restera planquée dans les esprits des Tchadiens à jamais », dit-il. Le Bunda Boss ajoute, « Noir parce que depuis l'avènement de la junte militaire au pouvoir, dirigée par le fils du défunt maréchal, l'atmosphère ne s'est jamais dépeinte de sa noirceur. Noir pour rappeler aux dirigeants de la transition qu'ils ne sont pas à leur place. Donc, des usurpateurs », a-t-il confié. Selon lui, Noir c'est aussi pour raconter dans les détails, les atrocités de ce jour, pour le documenter, rendre hommage et en fin pour revendiquer justice pour toutes les victimes de cette date, soutient-il.

Au sujet du contenu de cette musique, l'artiste affirme, « cette chanson a plusieurs facettes. Au-delà du fait qu'elle rend homme et demande réparation aux victimes du temps de la junte, elle attire l'attention sur les intentions malveillantes de Mahamat Idriss Deby de se maintenir au pouvoir par tous les moyens et surtout la volonté d'un clan, d'une minorité des Tchadiens à vouloir dicter leurs lois à la majorité », dit-il. Il poursuit, « cette vidéo appelle à la rupture définitive d'avec la dynastie. Elle met en lumière la volonté du peuple tchadien de se libérer de tant d'années de domination clanique et souhaite un bouclier protecteur pour le peuple pour que plus jamais l'on n'abuse de lui comme ce fut le cas en avril, mai et octobre », a-t-il précisé.

À propos du temps d'écriture et d'enregistrement, il affirme que le projet a démarré juste deux semaines après les événements du 20 octobre, « j’ai commencé par mûrir l'idée. Je voulais coûte que coûte me libérer parce que les atroces images du 20 étaient logées dans ma tête », a-t-il renchéri.

Signalons que Ray's Kim est l'un des artistes qui a redonné souffle nouveau au rap tchadien en rappant en Bunda, une langue du ghetto qui ressemble au Nouchi de la Côte d'Ivoire ou au Franglais du Cameroun. Il s'est engagé en politique depuis quelques années pour dénoncer les injustices sociales. Depuis les évènements du 20 octobre qui a coûté la vie à plusieurs de leurs militants, comme son Président, Ray's Kim serait en exil forcé.

Abderamane Moussa Amadaye

Le Bloc Fédéral publie un mémorandum relatif à la mise en place de la Commission Nationale Chargée de l'Organisation du Référendum constitutionnel (CONOREC) lors de sa conférence-débat organisée hier 28 janvier au Centre d’Études et de Formation pour le Développement (Cefod).

Le communiqué était lu par Noubathessem Jonathan Boguyanan, était par des organisations de la société civile et des partis politiques fédéralistes qui ont participé aux assises du Dialogue National Inclusif et Souverain (DNIS) et accepté que la question de la forme de l'État soit soumise au référendum pour une réponse sans équivoque du peuple tchadien, unique détenteur de la souveraineté nationale. Malheureusement, selon eux, cette initiative de DNIS qui avait suscité de l'espoir est torpillée par des forces obscurantistes. Le passage en force des résolutions du DNIS a conduit le pays tout droit aux événements prévisibles du 20 octobre qui ont endeuillé le peuple tchadien, terni durablement l'image de la République du Tchad et fait reculer la démocratie dans notre pays.

Pour le Bloc Fédéral, la mise en place de CONOREC et de ses démembrements dans la précipitation et sans concertation n'est pas de nature à assurer la crédibilité, la transparence et l'acceptabilité de ce qui ressemble désormais à un simulacre de référendum. Il poursuit que ce procédé malheureux pourrait porter gravement atteinte à l'unité nationale, à la paix sociale et à la stabilité du pays.

Le bloc Fédéral rappelle que le référendum sur la forme de l'État est un arbitrage vital pour notre pays. Il ne peut être assuré que par un organe indépendant et impartial pour laisser la population trancher en toute responsabilité et connaissance de cause. Cette question ayant opposé essentiellement deux camps, notamment le camp d'État unitaire et celui de la fédération, cet organe d'arbitrage devra être paritaire. Le Bloc Fédéral estime que la mise en place de la CONOREC, inféodée au gouvernement, est un recul de la démocratie au Tchad et ne saurait être toléré.

Dans le communiqué, il est écrit « le président de la transition doit dissoudre purement et simplement ces organes ». Le bloc Fédéral prend à témoin l'opinion publique nationale et internationale de ce qui adviendra. Ils les interpellent sur les dérives en cours de nature à imposer par la force, à l'écrasante majorité de la population tchadienne, des institutions contraires à leurs aspirations légitimes.

Noël Adoum

Au cours d'un point de presse tenu ce dimanche, 29 janvier à son siège situé sur l'avenue Maldoum Badda Abbas, la plateforme « le Tchad d'Abord » s'est félicitée de la mise en place de la Commission Nationale Chargée de l'Organisation du Référendum Constitutionnel (CONOREC).

Dr Adoum Inoua, chargé des Droits de l'Homme de cette plateforme affirme que depuis la fin du dialogue national un climat apaisé où le consensus et la concertation sont les deux mots d'ordre de gestion de la transition. Il félicite et encourage le Président de la Transition pour avoir associé les différentes sensibilités dans la gestion de la Transition. « Notre plateforme a toujours demandé l'implication de la société civile dans les instances et les procédures du référendum en cours et au retour à l'ordre constitutionnel », dit-il.

Au sujet de la polémique sur la CONOREC, « Le Tchad d’Abord », se réjouit plutôt. Et affirme que la commission est équilibrée. « Le Président de la Transition ainsi que le Gouvernement de Transition sont à l'écoute permanente des attentes de la société civile en les impliquant effectivement dans la CONOREC....ainsi que dans le comité Adhoc chargé d'élaborer l'avant-projet de la Constitution », s'est-il félicité.

Dr Inoua demande aux autorités de garder cet élan de gouvernance participative afin d'impliquer davantage la société civile et les autres sensibilités dans les commissions provinciales et départementales avenirs, conclut-il.

Abderamane Moussa Amadaye

La cérémonie marquant le 31e anniversaire du parti le Rassemblement pour la Démocratie et le Progrès (RDP) s’est déroulée ce samedi 28 janvier au palais des arts et de la Culture dans le 8e arrondissement de la ville de N’Djamena, capitale du Tchad. C'est dans une mobilisation joyeuse de retrouvailles empreintes que les membres du RDP se sont retrouvés réunis pour célébrer l’anniversaire de leur parti.

Pour Mahamat Allahou Taher président National, du 29 décembre 1991 au 29 décembre 2022, cela fait 31 ans que son parti est au service de la paix, de l'unité, de la justice sociale, du vivre ensemble et du progrès au Tchad. Pour lui en 31 ans de lutte démocratique malgré les risques et les dangers son parti a atteint des résultats appréciables qui traduisent la justesse de leur engagement. Selon lui, ces acquis indéniables doivent constituer le socle sur lequel leur combat doit se poursuivre avec plus d'intelligence et de discernement. Mahamat Allahou Taher affirme que le RDP reste et restera un parti national de poids sur la scène politique nationale. « Le parti doit compter au-delà des alliances, d’abord sur la mobilisation de ses militants pour réaliser ses objectifs. Sur leur attachement à la paix et la recherche du consensus qui les a conduits à accompagner la transition d'abord le CMT puis cette seconde phase dans l'espoir de mettre fin aux crises récurrentes afin stabiliser le pays ».

Toujours selon M. Allahou Taher, le RDP a fait un choix de la paix et de la stabilité, mais déplore les événements du 20 octobre 2022. Il appelle le gouvernement à créer les conditions de confiance entre les acteurs politiques. Le RDP, dit-il, attend de la transition le renforcement des institutions démocratiques, les libertés, la neutralité politique de l'administration, la mise en place d'une commission électorale nationale et indépendante crédible et impartiale en vue des élections libres et transparentes dans un climat de paix et de réconciliation. « Le RDP condamne toutes les stratégies de déstabilisation de notre pays axées sur la division et l'exploitation dangereuse des lignes de fracture pendant cette phase délicate de transition ».

Une minute de silence a été accordée au président fondateur du parti, le défunt Lol Mahamat Choua et des danses traditionnelles ont mis fin à la cérémonie.

Ousmane Bello Daoudou

L'Entente pour le développement, la mutuelle et l'assistance (ENDEMA) a organisé son assemblée générale extraordinaire (AGE) ce samedi 28 janvier au ministère des Affaires étrangères à N’Djaména, capitale tchadienne. Le statut de l'association est révisé et adopté par acclamation.

C’est dans une salle pleine, du monde venu des différentes villes, villages du pays, etc. C’était aussi en présence de quelques autorités administratives et traditionnelles que la cérémonie a démarré. Une ambiance euphorique, musiques, danses modernes et traditionnelles ont rythmé la circonstance.

Ordre du jour : adoption du statut de base de l'association. L'ancienne maire de N'Djamena et actuelle Conseillère nationale (CNT), Mme Mariam Djimet Ibet désignée lors de la dernière assemblée ordinaire tenue à la Maison de la Femme, présidente du présidium chargée de la révision du statut et règlement a lu lecture les nouveaux statuts et règlement intérieur. Elle souligne que plusieurs amendements, recommandations et autres ont été pris en compte par l'équipe désignée pour la révision des textes de l'association. Elle relève que le préambule et certains articles ont fait objet de révisions. Mme Ibet a déclaré « l'organisation a été retouchée. Elle passe de 3 à 4 organes ».

Le nouveau statut a été adopté par acclamation. L’assemblée a reconduit l'ancien bureau dirigé par le président Abba Malloum et les membres des autres organes. M. Malloum dit être fier et heureux du travail abattu par l'équipe qui a révisé les textes de l’association. Il affirme qu'avec ces textes, ENDEMA pourra atteindre les objectifs qu'elle s'est fixés.

Pour rappel l'ENDEMA est une association à but non lucratif et apolitique qui ressemble à son sein tous les Kanouri (bornos) du Tchad.

Abderamane Moussa Amadaye

En réaction au décret de nomination des membres de la Commission Nationale Chargée de l'Organisation du Référendum Constitutionnel (CONOREC), deux chefs de partis leaders dénoncent.

Le premier à réagir est, M. Izadine Ahmat Tidjani président du parti des Démocrates pour le Renouveau. Il affirme que le référendum constitutionnel est le vote de tous les Tchadiens « la commission doit veiller à la régularité des opérations de référendum et en proclamer les résultats. Cette commission nationale est composée uniquement des organes de la transition qui sont le Gouvernement et le CNT n’inspire aucune confiance », dit-il.

La deuxième réaction provient de M. Baba Ahmat Baba, président du parti Union des Forces Démocratiques et Républicaines. Pour lui, c’est tout le commencement de la transition qui est mal partie. « D'abord par la composition des membres du Comité d’organisation du dialogue national inclusif et souverain (CODNI) composés majoritairement de l’ex-parti au pouvoir le Mouvement Patriotique du Salut (MPS) et de ses alliés de toujours. Ensuite, ce sont les mêmes membres qui se sont retrouvés au présidium du dialogue, au Gouvernement de Transition, au Conseil National de Transition (CNT), au Comité technique de Suivi des Résolutions et malheureusement c'est les mêmes qui se retrouvent au CONOREC » a-t-il déploré.

Pour les deux opposants, cette commission ne répond pas aux règles de l'organisation et d'impartialité. Ils appellent le président de transition à annuler ce décret.

Noël Adoum

Le développement de la filière bétail viande est au centre d’un atelier d’information et de sensibilisation des acteurs locaux organisé par le ministère de l’élevage et des productions animales.

Le ministre de l’Élevage et des productions animales Dr Abderamane Awat Ateïb a présidé un atelier sur la journée d’information et de sensibilisation des acteurs sur l’initiative conjointe de la République du Tchad et ARISE pour le développement de la filière bétail viande et la mise en marche des zones économiques spécialisées. La rencontre s’est déroulée dans la salle de réunion du service d’accueil missionnaire (SAM) de Moundou.

Pour le ministre Abderamane Awat Ateïb, le Complexe des Abattoirs du Logone (CIAL) peine à lancer ses activités faute d’accompagnement lié au démarrage effectif des nouvelles infrastructures. « L’État trouve judicieux de promouvoir un partenariat public privé, un mémorandum d’entente a été conclu avec le partenaire ARISE pour objet la mise en œuvre d’un projet global de la filière viande bétail dénommé Laham Tchad », a-t-il dit.

Cette initiative est peu connue au Tchad c’est pourquoi précise le ministre, le ministère et son partenaire ARISE ont envisagé l’organisation de cette journée en vue de partager les informations clés sur le projet. Il a rajouté que cette journée vise aussi à faire connaître les dispositions institutionnelles et contractuelles, le rôle des principaux acteurs et autres parties prenantes.

Mbaiwanodji Adrien, depuis Moundou, Ialtchad Presse

Depuis quelques jours, des vidéos et des images d’actes de tortures et d’exécution sommaire commis par certains habitants armés de la localité de Miski sur leurs compatriotes chercheurs d’or circulant dans les réseaux sociaux a soulevé l’indignation des autres Tchadiens.

Deux leaders des organisations des droits de l’Homme (ODH) montent au créneau. Les autres Tchadiens s’interrogent : est-il normal de torturer des êtres humains, de surcroît, ses compatriotes de la sorte ? Sahnoune Cheick de l’Alliance Universelle Tchadienne de la défense de droit de l’homme (AUTDDH) et Mahamat Nour Ibédou de la Commission Nationale des Droits de l'Homme (CNDH) ont exprimés leur désarroi.

Sahnoune Cheick, Chargé de revendication de l'AUTDDH condamne et dénoncent ces actes posés par les habitants de Miski sur des paisibles citoyens qui sont allés à la recherche de l’or pour améliorer leur vie. « Des individus bien armés qui se disent du comité d’auto-défense, tuent, brûlent leurs compatriotes à cause de l’or. C’est inacceptable. La vie est sacrée, on ne peut pas l’enlever à celui qui la possède », s’est-il-indigné. 

Il appelle le gouvernement, le Premier ministre, le Président de transition à prendre leurs responsabilités en mettant de l’ordre dans cette localité. « Normalement le gouvernement doit assurer le maintien de l’ordre et la sécurité sur toute l’étendue de son territoire, mais on dirait que dans certaine localité c’est tout autre chose, sinon comment expliquer ce qui se passer dans cette localité. Il faut que les textes des lois de la république soient appliqués et que la Justice fasse son travail afin que les auteurs soient punis de ces actes soient punis ».

Mahamat Nour Ibédou, président du Commission Nationale de Droit de l’Homme (CNDH) qualifie ces actes « de barbares ». Il affirme que ces tortures et tueries indignes ne sont pas des choses nouvelles dans cette partie du pays. Il soutient que le gouvernement avait pris des mesures drastiques il y a 3 ans à la suite de pareille barbarie. « La situation est inchangée. Pour rétablir l'ordre, le gouvernement doit traquer les auteurs, les arrêter, les juger et trouver une solution dans cette contrée du pays ».

Narhinguem Anastasie

La direction de la douane du Tchad a organisé la journée internationale de la douane 1re édition ce jeudi 26 janvier dans un grand hôtel de la capitale tchadienne, N’Djamena.

C’est dans une ambiance de partage entre les douaniers, les opérateurs économiques et les transitaires que la cérémonie a commencé.

Pour le directeur général de la Douane Ahmat Abdelkerim Ahmat durant une semaine, la douane a placé les discussions au cœur du capital humain afin de contribuer à la réalisation des objectifs communs. Il indique que la Douane doit collaborer avec le monde universitaire dans le domaine scientifique pour améliorer les compétences afin de mettre un plan stratégique pour atteindre des objectifs qui consolident et augmentent les recettes. Selon lui, la douane doit implanter une culture organisationnelle qui lutte contre la corruption. Et qui renforce l'intégrité de la Douane. Il invite les administrateurs à adopter un système cohérent et complet de gestion de connaissances qui favorise l’entrée des recettes dans la caisse.

« La douane doit éviter la perte de mémoire organisationnelle de sorte que les erreurs ne soient pas répétées et que les expériences soient transmises d'un service à un autre », dit-il. La douane contribue à faciliter les échanges économiques entre les pays afin de protéger les citoyens contre les trafics.

Le ministre des Finances Hamid Tahir Guilin affirme que grâce à l'informatisation les recettes douanières ont augmenté de 40%, soit des recettes de 560 milliards. « Il est difficile de réformer, mais je demande aux uns et aux autres de changer de comportement pour que les Tchadiens soient fiers de leur Douane. Il faut appliquer les mêmes règles à tous les opérateurs économiques et revoir les affectations des agents », dit-il.  Toujours selon le ministre, il faut tisser de coopération avec la douane étrangère et les impôts locaux enfin d'atteindre l'objectif de 1000 milliards d'ici 2 à 3 ans.

Ousmane Bello Daoudou

En prélude du démarrage du championnat de football première division du département de Lac Wey les équipes se préparent activement.

Le président du bureau exécutif de l'équipe de football AGRI-Sport Djérané Jean Michel au cours du point de presse « j’éprouve un immense plaisir d’être aujourd’hui à Moundou, chef-lieu de la province du Logone occidentale, département du Lac-wey. « Je saisis l’occasion pour saluer la mémoire de toutes les grandes figures emblématiques du ballon rond moundoulais, disparues Neldé Doumdé, Ndolar Blaise, Mbairamadji Jules, Djimaldé Dossengar, Doumdé Gaius, Modobe Kari et Lokissimbaye dit Loko. Ne doit-on pas nous poser la question de savoir pourquoi notre football peine à trouver sa marque sur le plan national et international? S'interroge Jean Michel Ne devons-nous pas nous reposer sur le passé pour mieux asseoir notre football? »

Il continue en affirmant « nos anciens ont fait briller le drapeau tchadien dans la sous-région. Il est temps que nous emboîtions leurs et faire en sorte que le football tchadien retrouve son attrait d’entant ». M. Jean Michel soutient qu’il est important de repartir à la base et pour retrouver des nouvelles énergies. « Le développement des championnats départementaux en est la clé », dit-il. C’est pourquoi, selon lui, il est judicieux d’accompagner AGRI-SPORT FC pour relever ce défi. AGRI-SPORT FC, qui sera affilié à la ligue du championnat départemental s’est fixé des grandes ambitions pour le football tchadien. 

Pour réussir ces objectifs ambitieux, il faut travailler en étroite collaboration pour faire du football un vecteur de paix et de la cohabitation pacifique. Et aussi un moyen de rassembler les filles et les fils du Tchad. 

Mbaiwanodji Adrien, depuis Moundou, Ialtchad Presse

  1. Arts & Culture
  2. Musique
  3. Mode-Beauté

-Vos Annonces sur le site Ialtchad Presse-

  1. Divertissement
  2. Sports
  3. Mon Pays

Votre Publicité sur Ialtchad Presse