Selon le Parti Socialiste Sans Frontières (PSF), ses militantes venues pour défiler à la place de la Nation ont été interdites de prendre part malgré une autorisation.
Les femmes de toutes les sensibilités, administratives, politiques, religieuses, associatives, etc. ont défilé ce jour 8 mars à la place de la nation. Celles du Parti Socialiste Sans Frontières de l'opposant Dillo s'est vu refusé à prendre part à ce rassemblement, rapporte la présidente du comité d'organisation des femmes du PSF. Elle affirme qu'elles étaient dans le rang, derrière les femmes du 2e arrondissement. Et subitement, elle a été rappelée par un membre de sécurité sans le moindre reproche, il m’a demandé de nous retirer faute de quoi, j’assumerai les conséquences qui adviendront. « Il nous a menacés verbalement, malgré le fait que j'ai déclaré que nous disposons d'une autorisation, il était ferme », dit-elle. Elle soutient que c’est pour éviter le trouble en ce jour dédié à la femme, elle a ordonné à son groupe de se retirer pour aller au siège de leur parti.
Pour le Président du PSF, M. Yaya Dillo, ce n’est que partie remise. Il affirme que malgré les douleurs des évènements tragiques du 20 octobre, les femmes du PSF qui ont perdu leurs proches, on leur a refusé l'accès au défilé pour tenter d’oublier cette douleur qui pèse encore sur elles. « Nous allons nous engager davantage pour que notre voix soit entendue. Parce qu'elle est celle du peuple tchadien et rien ne peut nous effrayer au cours de notre chemin », a-t-il précisé.
Signalons que plusieurs partis politiques représentés par leurs militantes tels que le Mouvement Patriotique du Salut (MPS), l'Union Nationale pour le Développement et le Renouveau (UNDR), l'Union pour la Refondation du Tchad, etc. ont pu défiler.
Abderamane Moussa Amadaye
La candidature du journaliste Bello Bakary Mana a été enfin retenue ce mardi 7 mars par la commission chargée des élections des représentants des professionnels des médias à la Haute Autorité des Médias et de l’Audiovisuel (HAMA).
Selon le procès-verbal de la réunion de la commission d'organisation des élections des représentants des professionnels des médias à la HAMA tenue ce 7 mars au sein du ministère de la Communication, la requête introduite par le journaliste a été examinée conformément à l'arrêté N°009 portant mise en place d'un comité d'organisation des élections des représentants des professionnels des médias à la HAMA. Sa candidature a été jugée recevable. Il est retenu comme candidat pour représenter les médias privés.
Contacté, le candidat journaliste affirme, « je suis heureux que ma candidature soit validée. La campagne commence. Je soumettrai mon projet à tous dans les prochains jours, les prochaines heures. Je n’ai qu’un objectif à la HAMA : faire avancer, dans l’harmonie, le métier de journaliste. C’est très important dans cette phase de refondation ».
Il faut rappeler que la commission à siégé en présence de sa présidente, Khadidja Mahamat Hisseine et de plusieurs autres membres.
Abderamane Moussa Amadaye
À l'occasion de la 33e édition de la Semaine Nationale de la Femme Tchadienne (SENAFET), les femmes du ministère de l’Administration du Territoire, de la Décentralisation et de la Bonne gouvernance ont organisé ce mardi 7 mars 2023, dans l'agora du ministère, une conférence-débat sous le thème : « Femmes, leadership et citoyenneté » dans la commune du 1er arrondissement de la ville de N'Djamena.
La conférence-débat animée ce matin par les femmes du ministère de l’Administration du Territoire, de la Décentralisation et de la bonne gouvernance est axée sur le thème « Femmes, leadership et citoyenneté ». Ce thème a pour but de rappeler aux femmes les principes et l’éveil des consciences pour émerger l’esprit de leadership féminin. Il est question de leur rappeler de participer activement à la vie sociale tout en jouissant des droits et devoirs requis par l’État.
Pour la présidente du comité d’organisation, Diamra Betolngar, cette rencontre d’échanges permettra aux femmes de revendiquer leurs droits souvent minimisés par le manque de connaissance et de s’impliquer davantage dans la vie active.
Selon la vice-présidente du conseil économique social et culturel Ngaralbaye Mayala Monique, cette semaine doit être un moment de lutte acharnée pour l’autonomisation de la femme afin de rendre effective la parité dans les nominations aux postes de responsabilité et participer activement au processus électoral du Tchad. Après avoir défini le leadership et la citoyenneté, elle affirme que les leaders n'ont pas les mêmes styles en présentant quelques styles des leaders notamment le leader directif, chef de fil, visionnaire, collaboratif, participatif et coach, les styles de leadership sont nombreux et qu'il est possible qu'un leader réunisse les autres qualités. Elle relève ensuite que le leadership est fondamental dans l’objectif de la refondation du Tchad, les femmes doivent prendre leur partition dans un cheminement responsable, a t-elle affirmé.
Toujours selon elle, le leadership se manifeste par la capacité intellectuelle et fédérale. « Elles doivent mobiliser les énergies autour d’une action commune pour arriver à l’autonomisation de la femme ». Mme Monique poursuit, la qualité d’un leader est qu'il doit toujours s’interroger pourquoi les autres ont porté le choix sur lui et s’assurer où va son équipe? Les femmes ont les mêmes principes, mais les gens ont tendance à les minimiser. Pour ce faire elles doivent avoir confiance en elles-mêmes, a-t-elle déclaré.
Enfin, elle conclut que les femmes doivent prendre leur partition dans ce cheminement pour le développement du Tchad et cela relève du leadership, car être un leader n'est pas une profession, mais un ensemble de comportements charismatiques.
Noël Adoum
À l'occasion de la Semaine Nationale de la Femme tchadienne (SENAFET), les femmes du ministère de l'Éducation nationale et de la Promotion Civique ont organisé des conférences-débats sur plusieurs thèmes lundi 6 mars 2023 dans un hôtel de la ville de N’Djamena.
La contribution de l'enseignante à la refondation de l'école tchadienne pour un Tchad émergent, l'enseignante face aux défis des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans l'évolution de sa carrière, etc. Ce sont les thèmes qui ont fait l'objet des échanges ce jour par les enseignantes.
Sur le thème « La contribution de l'enseignante à la refondation de l'école tchadienne pour un Tchad émergent », Mme Marie Koumandial, affirme que dans le métier de l'enseignement, la femme est celle qui pratique son métier avec le cœur, car, elle est d'abord une mère et donc elle considère ses élèves comme ses propres enfants. Elle souligne aussi que dans le système éducatif tchadien, plusieurs problèmes gangrènent l'éducation. Notamment, l'incompétence du personnel qualifié, le personnel peu qualifié, le personnel non qualifié sont les causes de la baisse du niveau des élèves, etc. Elle souligne aussi les difficultés que rencontrent les enseignantes dans l'exercice quotidien de leur métier. Elle invite ses collègues enseignantes à être actrices dans le processus de la refondation de l'école tchadienne.
Madame Djorbaye Chantal, a axé sur les défis des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans l'évolution de sa carrière. Elle mentionne que l'enseignante est celle qui est au four et au moulin dans l'enseignement, parce qu'elle forge la personnalité de son l'élève. Mais la non-maîtrise des TIC est un obstacle dans l'enseignement surtout en cette période de nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTC).
« Les TIC doivent être une compétence des enseignants autant que des élèves. Nous devons être des artisanes des TIC et marquer notre présence dans les salles de classe par un enseignement de qualité pour donner envie à nos élèves d'étudier ».
Les interventions ont porté majoritairement sur la formation continue des enseignantes, la mise à sa disposition des manuels ainsi et le respect de l’engagement dans le métier de l'enseignement.
Narhinguem Anastasie
En marge des préparatifs de la célébration de la journée internationale de la Femme édition 2023, ce mardi 7 mars il y a eu une distribution gratuite des pagnes à travers la ville de N’Djamena par les femmes de l'Office national pour la promotion de l’emploi (ONAPE) aux femmes de différents sites.
Mme Konguila Mackaye coordinatrice chargé de suivi des structures déconcentrées de l'ONAPE souligne que la fête pour cette année n'est pas consacrée seulement aux activités, mais aussi à venir en aide aux personnes vulnérables surtout les femmes concasseuses de briquaillons et d’autres femmes vulnérables également.
Sous le soleil accablant, accompagnées par des journalistes, la première étape, des femmes de l’ONAPE a été marquée par la distribution de quelques pagnes aux femmes.
Sur le premier site à côté du palais des arts et de la Culture. Surprise par ce geste, une vieille maman, Fatimé Harba, « nous sommes surpris par cette action parce que nous nous ne sentons pas concernées, mais Dieu merci, voilà nous sommes dedans. Je vous dis merci ».
Le deuxième site est derrière rond-point Sonasut, les femmes étaient assises en train de concasser des briquaillons, certaines avec des nourrissons au dos, d'autres sont des femmes plus âgées. Elles sont surprises de voir devant elles, des voitures et des motos faire irruption sans les avoir informés, chacune d'entre elles reçoit un pagne pour la fête. Très étonnées, l’une d’entre elles prend la parole, « nous sommes très reconnaissantes, nous nous croyons être oubliées, mais il y a d'autres, tchadiennes, qui pensent à nous, leurs sœurs. Au nom de toutes mes sœurs, nous vous remercions. Sinon nous ne croyons pas d'être impliqué par à ces festivités parce que c'est réservé aux femmes fonctionnaires et riches », dit-elle. Elle rajoute « c'est pour cela que nous nous s'intéressons pas à ces activités. Nous cherchons à nourrir nos enfants en exerçant ce métier de concasseuse ».
Pour la SENAFET 2023, les activités des femmes de l'ONAPE ont été marquées par la formation de 50 filles mères dotées chacune d’une machine et d’une enveloppe de 200 000 FCFA pour le démarrage de leur activité.
Ousmane Bello Daoudou
La Fédération de l'Opposition Crédible (FOC), qui regroupe 8 partis politiques dénonce la mise sur pied du cadre national de concertation des partis politiques (CNCP) et qualifie cette nouvelle structure de manipulation politique.
Mis sur pied le 2 mars dernier par acclamation le cadre national de concertation des partis politiques (CNCP) est contesté par la fédération de l'opposition crédible (FOC), dit le communiqué signé par son président M. Yaya Dillo. « Les démarches qui ont conduit à la mise en place du CNCP constituent une violation des textes et lois relatives à la création et au fonctionnement des partis politiques », dit le communiqué. Il poursuit, « les articles 45, 50 et 51 de la loi n°32 de la Charte des partis politiques sont allègrement violés par le gouvernement de la junte », précise le communiqué.
Toujours selon le communiqué, l'instance suprême de tout parti politique est le congrès. Les décisions sont souveraines tout acte contraire est une violation des textes et donc les signataires de l'accord du CNPC ont violé leur propre texte. Pour la FOC, le fait que le président de transition soit le garant de cette institution et de son fonctionnement témoigne qu'il est initié et coordonné à la solde des autorités en place, « le CNCP est une entité étatique fonctionnant sur les ordres de l'exécutif ce qui vide de sens la raison d'être des partis politiques », dit le communiqué.
Pour la FOC, cette structure n'existe nulle part au monde, les partis politiques sont dans cette structure des simples accompagnateurs de validation des lois et des pratiques non démocratiques. Les 8 partis exigent une nouvelle Commission Nationale de l'Organisation du Référendum Constitutionnel (CONOREC) paritaire, la libération immédiate des prisonniers politiques et d'opinion, l'instauration effective des libertés publiques et des droits fondamentaux et enfin l'arrêt immédiat des intimidations et harcèlements des militants de l'opposition faute de quoi, le FOC compte marcher pacifiquement le 21 mars prochain.
Signalons que le cadre national de concertation des partis politiques (CNCP) a été créé le 2 mars dernier par acclamation en absence de certains partis politiques. La coordination de cette organisation est prévue pour le 7 mars prochain au palais des arts et de la culture.
Abderamane Moussa Amadaye
Un nouveau parti le Congrès National Socio-démocrate Tchadien (CNST) est créé. Ses activités officielles sont lancées ce samedi 4 mars à la Maison des Médias du Tchad.
Selon le président du Congrès National Socio-démocrate Tchadien, CNST, Dr Daoud Mustapha Boukar, la création de son parti est le résultat d'une longue analyse de la situation du pays menacée par des nombreux défis. Ils sont pourtant surmontables pourvu qu'on mette sur pied un système d'organisation qui réponde aux aspirations de tous les citoyens en exploitant de manière optimale les ressources humaines, matérielles et naturelles.
Pour faire face à ces défis, le CNST s'est fixé comme objectif, la lutte pour l'unité nationale, la cohésion sociale et le bien-être des citoyens ; le combat contre l'injustice sociale, l'exclusion, le népotisme, le tribalisme, le régionalisme, l'intolérance, le clientélisme politique.
Aussi, ce parti dit opter pour la lutte en faveur de l'épanouissement de l'Homme par la mise en place d'une politique conséquente sur le plan éducatif, social et culturel. Le parti dit s’engager pour lutter pour une réelle démocratie, pour le respect des droits des citoyens prescrits par la charte des Nations unies de 1945, la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme de 1948, etc.
Selon le président, son parti est inscrit au registre des partis politiques le 24 mai 2022, Folio n° 513, puis reconnu officiellement le 17 novembre 2022 comme un parti politique à part entière. Il est dirigé par une équipe de 26 membres et son siège national est à N’Djamena.
Narhinguem Anastasie
Le comité d'organisation de l'élection des représentants des professionnels des médias à la HAMA a organisé un point de presse ce samedi 4 mars 2023 pour annoncer les candidats retenus pour l'élection du 18 mars 2023 à la maison de Médias du Tchad.
Selon Mme Khadidja Mahamat Hisseine la Haute Autorité des médias et de l'audiovisuel (HAMA) a constaté l'échéance du mandat des représentants des médias, un comité d'organisation a été mis en place le 22 février dernier pour lancer un appel à candidatures, réparti comme suit : un représentant des médias publics, un représentant des médias privés et un représentant des techniciens de l'audiovisuel. Le comité a enregistré sept (7) candidatures. Après avoir statué, 6 candidatures ont été retenues. Khadidja Mahamat Hisseine dit pour le compte des médias publics Yaya Mahamat Moundet, Adoum Aboubakar Idriss puis pour les médias privés Zara Mahamat Yacoub et Laoro Godjé ensuite pour les techniciens de l'audiovisuel Allazam El-hadj Issakha, Ahmat Adoum Bachar. Elle affirme que les candidatures non retenues ont soixante-douze (72) heures pour introduire une requête. Elle affirme que deux semaines sont accordées aux candidats pour battre campagne et l'élection aura lieu le 18 mars prochain à la Maison des Médias du Tchad. Khadidja Mahamat Hisseine conclut en disant les électeurs doivent être de la corporation et se munir de leur carte professionnelle valide établie par la HAMA.
Pour finir, le vote se fera à bulletin secret, 3 urnes seront disposées dans la salle et chaque corps votera dans l'urne dédiée à son corps. Les résultats seront connus le même jour par un huissier de justice mandaté.
Ousmane Bello Daoudou
Abdallah Chidi Djorkodeï a lancé les activités de son parti lors d’une conférence de presse dans la grande salle du musée national de la ville de N'Djamena.
C’est un parti nouvellement créé par un ancien mouvement politico-militaire le Front de la Nation pour la Démocratie et la Justice au Tchad Fondamental (FNDJT/Fondamental) signataire de l'accord de paix de Doha. Son président affirme qu'ils ont regagné le Tchad pour le Dialogue National Inclusif et Souverain et le désir de participer au développement socioéconomique du Tchad. « Je crois à la paix, elle adviendra que si l'on travaille sérieusement et concrètement à tous les niveaux. Les guerres prennent naissance dans l'esprit des hommes, c'est dans l'esprit des Hommes que doivent être élevées les défenses de la paix et de la réconciliation », a-t-il dit.
Pour lui leur contribution aux travaux du DNIS a été entière afin de bâtir ensemble un pays de justice sociale, d'équité, avec des citoyens égaux en droit, animés de civisme, mobilisés pour un développement durable construit sur un aménagement du territoire équilibré et une sécurité pour tous.
Abordant la question de la politique française au Tchad, M. Djorkodei affirme qu'il n'a pas changé de langage, « un pays qui se respecte ne doit pas permettre à un autre de s'ingérer dans ses affaires », affirme-t-il. Il souhaite une coopération gagnant-gagnant entre les deux États.
Pour la Commission d'Organisation Nationale, Abdallah Chidi Djorkodei relève qu'il faut un mélange de toutes les corporations comme ce fut le cas de Conseil National de Transition (CNT). Il appelle le président de transition de revoir la liste afin de donner l'espoir aux jeunes.
Le président du parti PRIE est revenu sur les événements du 2020 octobre en affirmant que le Tchad a connu des évènements plus meurtriers que ceux du 20 octobre. Notamment les massacres d'Abéché, de Sandana, de Faya, et bien d'autres qui ont endeuillé les Tchadiens. Il ajoute que, la manifestation du 20 octobre n'est pas une marche pacifique, « les jeunes avaient des machettes, des couteaux et d'autres objets. Ils ont vandalisé certains commissariats ». Peu importe ce qui s'est passé le 20 octobre, les responsabilités sont partagées. Il appelle le gouvernement à ne plus jamais réprimer les manifestations pacifiques.
Noël Adoum
Le festival commence ce 3 février c’est ce qu’a annoncé le président de la plateforme Chad photography Yussuf Abdramane au cours d’un point de presse ce jeudi 2 mars dans la grande salle du musée national dans la commune de 5e arrondissement de la capitale tchadienne, N'Djamena.
« A la découverte du Tchad du 3 au 6 mars », ce festival est accompagné par le Conseil national de la jeunesse (CNJT), le musée national, Afrikans Park et d’autres partenaires par exemple des médias nationaux.
« Chad photography » est une plateforme des artistes, des photographes, des cinéastes. Selon M. Yussuf, à travers cette deuxième édition vise à célébrer l'art de la photographie en montrant son impact sur la société tchadienne. « Il y aura différentes galeries de photos montrant et valorisant notre patrimoine pour le développement de notre pays. Il consiste aussi à informer et à sensibiliser le public sur la manière de mettre la photographie au service du développement durable », dit-il.
Selon lui, ce festival s'adresse à la jeunesse fer-de-lance de nation, au gouvernement de transition et concerne le pouvoir public et les décideurs pour que la photographie puisse être un moyen pour véhiculer des messages et des visions politiques. Il ajoute que, pour les entreprises, la photographie est un moyen de communication et de publicité pour les entreprises la promotion de leurs produits. Pour les passionnés de la photographie, elle est un art qui permet d'immortaliser les moments les plus précieux de nos vies.
Enfin, il conclut que lors de cette rencontre, il y aura une formation de 2 à 3 jours en photographie qui sera axée sur le cadrage, une bonne vue, la résolution de photos, comment faire un magazine en un temps record dans le confort du multimédia, une conférence sous le thème « Industrie créative et culturelle », un concours de « shooting » et la projection d’un documentaire à la découverte du Tchad dans sa diversité culturelle et sa nature.
Noël Adoum