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L’institut Français du Tchad a procédé au lancement de la 6e édition de la compétition inter-établissement dénommée « Tchad Inda talent » couplée à la remise des attestations aux lauréats de la 5e édition. Cette activité s’est déroulée hier mardi 7 février à la Maison de la Femme dans le 8e arrondissement de la ville de N’Djamena.

L’IFT a lancé ces activités culturelles dans le cadre de son soutien aux jeunes à travers le Hip-hop Tchad Inda talent. Cette 6e édition est placée sous le thème « le numérique et la jeunesse pour une éducation dans la cohésion sociale et le vivre ensemble ». Cette activité réunie les élèves de différents établissements scolaires qui compétitionnent dans divers domaines pour inciter à la culture de l’excellence. Et mettre l’accent sur la culture, l’éducation et la citoyenneté, affirme le directeur artistique de cette compétition, Issa Bichara.

Pierre Hubert Toucharo, directeur de l’IFT, « cette édition est dédiée aux numériques et à la cohésion sociale et permettra de détecter les talents cachés des jeunes qui sont au lycée et autres. C’est aussi l’endroit idéal de brassage entre les élèves de différents établissements scolaires de la ville de N’Djamena ».

M. Allamine Kader, représentant le club des artistes, soutient que son club soutiendra cette initiative afin de l’élargir dans toutes les provinces du Tchad.

Pour cette 6e édition, 40 établissements scolaires sont inscrits. La compétition se déroule jusqu’au 29 mai 2023.

Narhinguem Anastasie

Hier 6 février c’était la journée internationale de tolérance zéro à l’égard de mutilation génitale féminine. A cette occasion, la présidente de l’Association des femmes pour la solidarité et développement social (AFSDS) a fait une déclaration à la maison de la Culture Baba Moustapha dans le 3e arrondissement de la ville de N’Djamena.

L’AFSDS est une association qui a pour objectif d’agir dans les domaines concernant les femmes souligne la présidente de l’AFSDS madame Khadîdja Ahaya Hissein a l’entame de sa communication. « La date du 6 février a été déclaré journée internationale de tolérance zéro à l’égard de mutilations génitales féminine par l’Assemblée générale des Nations Unies », dit-elle.

Le thème de l’édition 2023 est : « Partenariat avec les hommes et les garçons pour transformer les normes sociales et de genre afin de mettre un terme aux mutilations génitales féminines ». Madame Khadîdja Ahaya Hissein affirme que la mutilation génitale est une pratique récurrente en Afrique en général et au Tchad en particulier, « c’est une pratique aux conséquences néfastes à long et à court terme dans la vie des jeunes filles », insiste-t-elle. Elle appelle les autorités à s’impliquer pour mettre une fin à cette pratique. « Je lance un appel au nom de l’association, aux autorités administratives, coutumières et religieuses et à toutes les parties présentes de se préoccuper de la question de mutilation génitale féminine pour sauver la vie des jeunes filles, car cette pratique continue à faire son chemin dans le monde rural ».

L’AFSDS a inscrit parmi ses activités prioritaires de cette année, la lutte contre la mutilation génitale féminine en sensibilisant contre ce fléau à N’Djamena et dans toutes les provinces du Tchad.

Narhinguem Anastasie

Dans un point de presse animé ce matin 4 février à son siège à la « Rue de 30 mètres », non loin du marché Al-Afia dit « Souk Choléra », l'Association Gawaîmâ pour la Promotion de Développement Économique Social et Environnemental (AG-PRODESE) a lancé ses activités.

Pour Adoum Dria, Président de l'AG-PRODESE est née pour apporter un soutien aux efforts du gouvernement pour favoriser le développement économique, social et environnemental du Tchad. Selon lui, le projet de cette organisation apolitique et à but non lucratif est né le 2021 au cours d'une assemblée constitutive tenue au Centre d'Études pour la Formation et le Développement (CEFOD), « le projet a permis aux participants de prendre connaissance sur les objectifs à atteindre et le mode de fonctionnement », dit-il. Toujours selon lui, le projet a été approuvé et validé à l'unanimité. « L'association a pour objectif de, consolider l’unité nationale, l’entente, la solidarité entre les Tchadiens, de participer à la promotion de l’éducation des jeunes et lutter contre l’analphabétisme, améliorer l’accès à l’eau potable et à l’assainissement pour sensibiliser les populations aux maladies liées à l’eau », a-t-il déclaré.

De plus selon M Dria, l'AG-PRODESE va contribuer à la sécurité alimentaire et au développement des revenus agricoles des populations par la promotion d’une agriculture agroécologique et la formation, l'éducation, la santé et la protection de l'environnement.

Abderamane Moussa Amadaye

Le Conseil économique, social, culturel et environnemental (CESCE) a ouvert sa session ordinaire ce lundi 6 janvier sous le thème « La cohabitation pacifique : Vecteur d'une transition apaisée et d’une paix durable au Tchad » au palais des Arts et de la Culture dans le 8e arrondissement de la ville de N’Djamena.

La première session ordinaire de 2023 se tient dans un contexte marqué par la deuxième phase de la transition de 24 mois. Pour Abdelkerim Ahmadaye Bakhit le président du CESCE pour cette session, il s'agit pour les conseillers de la République d'accompagner le gouvernement de la transition pour la mise en œuvre des recommandations et des résolutions de dialogue national inclusif et souverain (DNIS) tourné vers le développement. Il soutient que pour prévenir les conflits intercommunautaires à l'intérieur du pays, le gouvernement doit accompagner les autorités traditionnelles et coutumières à bien gérer les différends entre les communautés dans le respect des traditions et des coutumes. « Les lois de la République doivent s'imposer à tous », dit-il.

« Les Tchadiens doivent cultiver la paix, l'unité, et le vivre ensemble. Ils doivent bannir la haine, le tribalisme, le repli identitaire, le communautarisme et estime de soi qui compromettent dangereusement la construction d'un Tchad uni et prospère », dit M. Bakhit. Selon lui, le président de la transition lors de son message adressé à la nation, il le cite, « l'équilibre entre les coutumes et la République doivent être notre boussole afin que cessent les tueries macabres qui endeuillent nos populations pour que règnent l'entente et la cohabitation pacifique ».

Pour rappel, le CESCE est un organe consultatif des pouvoirs exécutif et législatif.

Ousmane Bello Daoudou

Depuis quelques jours les transporteurs tchadiens et étrangers font face à une difficulté celle d’un cout élevé dans l’expédition des marchandises, pour preuve a la station de pesage routier de Moundou plusieurs véhicules gros porteurs sont stationnés. 

À l’origine du mécontentement, la nouvelle procédure de pesage ne répond pas, selon les transporteurs, à la réalité. Le montant exigé est plus élevé que les 9 autres stations de pesage routier. Un transporteur qui a requis l’anonymat affirme que le pesage se passe très mal, « le pont-bascule ne marche pas et le peseur est en train d’organiser du faux en faisant payer « au pif » les transporteurs », dit-il.

Un autre transporteur rajoute, « on est obligé de passer deux fois sur le pont bascule ». Il soutient que depuis hier rien ne va plus, il est obligé de payer parce que c’est une obligation pour lui d’amener les marchandises à destination, « en réalité la machine ne fonctionne plus. C’est une arnaque », peste-t-il.

Pour Daman Abdelkader délégué zone sud du syndicat national des transporteurs libre du Tchad (SNTLT) l’affaire est en cours. « Nous avons recueilli les doléances des transporteurs pour les remettre à qui de droit », dit le délégué. Les transporteurs demandent aux autorités de s’investir afin qu’une solution soit trouvée dans l’immédiat. Selon eux, rien ne justifie cette augmentation qui les pénalise.

Selon des sources proches des agents, cette panne est montée de toute pièce est l’œuvre des agents de pesage. « Ils sont à l’origine de cette arnaque, rien ne justifie cette panne ».

La rédaction a tenté sans succès de faire réagir les responsables de la station de pesage. Ils refusent de répondre. Le problème de tracasserie au niveau de pesage des marchandises est un frein pour l’essor de l’économie nationale il faut la création d’une autorité de régulation, disent les spécialistes de la question.

Mbaiwanodji Adrien à Moundou pour Ialtchad Presse

L'ancien Premier ministre de Transition Pahimi Padaké Albert annonce la parution de son livre intitulé « L’Afrique empoisonnée, pathologie et thérapie des conflits », parue aux éditions L'Harmattan le 30 janvier 2023. Un livre de 250 pages, préfacé par l'émérite professeur des universités, agrégé en science politique, Bertrand Badie.

Deux fois Premier Ministre, sous Deby père de 2016 jusqu'à la suppression de cette fonction en 2018 et sous Deby fils, lors de la première phase de transition, d'avril 2021 à Octobre 2022, Pahimi Padaké Albert intègre officiellement le cercle restreint des hommes de plumes avec son livre « L’Afrique empoisonnée, pathologie et thérapie des conflits », classé dans la collection Points de vue. L'auteur affirme sur l'une de ses plateformes digitales que l'idée d'écriture de ce livre est inspirée lorsqu'il a été appelé par des organisations internationales, « j’ai eu l'honneur d'être appelé par l'Organisation Internationale de la Francophonie et l'Union Africaine, à diriger leurs missions d'observation électorale dans plusieurs pays africains ». Il ajoute, « Ce qui m'a inspiré dans la réflexion sur la prévention et la gestion des conflits », dit-il. Toujours selon lui, les charges de la transition ne lui ont pas permis de finaliser son projet qui devrait paraître en 2021, une date qui coïncide avec la première phase de transition. Dans ce livre de 250 pages, l'auteur décrit les mobiles des conflits qui fracassent et empêchent l’Afrique à décoller. A cet effet, il tente d'apporter des solutions idoines à cette malédiction ancrée depuis bientôt un siècle tout en identifiant les solutions possibles.

Il convient de rappeler que Pahimi Padaké Albert est un homme politique. Il milita pendant plusieurs années au sein du parti VIVA-RNDT de l'ancien Premier Ministre, Dr Delwa Kassiré Coumakoye avant de quitter le navire et fonder sa propre formation politique, le Rassemblement National des Démocrates Tchadiens (RNDT-Le Réveil) le 11 septembre 1996 dont-il reste Président à ce jour. Il a occupé deux fois la fonction de Premier Ministre (2016-2018 et 2021-2022) et plusieurs fois ministre. Il fut deux fois candidats aux élections présidentielles, doit-il est venu toujours en deuxième position derrière le défunt Idriss Deby Itno. Il fut député à l'Assemblée Nationale et Député Communautaire à la Communauté Économique et Monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC) pendant une dizaine d'années. Il est actuellement le Président du Conseil d'Adminstration de l'Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP).

Abderamane Moussa Amadaye

Renforcer la mise en œuvre holistique des droits de l’enfant à la vie, à la survie, au développement et à la protection selon les dispositions de la convention relative aux droits de l’enfant est au centre d’un atelier de formation organisé par le ministère de genre et de la solidarité nationale.

La salle de réunion de l’ATALTRAB de Moundou a servi de cadre à un atelier de formation des acteurs locaux sur le processus d’élaboration de la politique de la protection de l’enfance au Tchad. Plus d’une quarantaine de participants venus des provinces de la zone méridionale et de N’Djamena y prennent part. Pour le Directeur Général de l’enfance du ministère du genre et de la solidarité nationale Dodom Ndildongar, les actions publiques et juridiques en faveur des enfants contre toutes sorte de violence ont été limités. Il a souligné le fait que les institutions gouvernementales font face à des défis relatifs à l’absence des mécaniques de mise en œuvre des politiques et engagement en termes de protection de l’enfant. Mr Ndildongar de poursuivre que certes les efforts du gouvernement Tchadiens avec ses partenaires dans le sens des réponses des privations des droits de l’enfant ne sont pas à négliger. Cependant le Directeur déplore les pesanteurs socio culturelles, la pauvreté, et autres phénomènes naissants qui affectent dangereusement le bien-être de l’enfant.

L’élaboration d’une politique nationale de protection de l’enfance vise à combler l’insuffisance d’orientation politique en matière de protection de l’enfant et à proposer un cadre pluridisciplinaire pour prévenir et mettre fin à tous les actes de violence à l’encontre des enfants.

Ouvrant les travaux, le Gouverneur de la province du Logone occidental Ibrahim Ibni Oumar Mahamat Saleh a indiqué que malgré les efforts et abnégation du Gouvernement pour mettre les enfants dans des bonnes conditions beaucoup reste à faire. Le Gouverneur attend des participants l’élaboration d’un document devant conduire l’Etat et ses partenaires à la matérialisation et opérationnalité de la politique nationale de la protection de l’enfant.     

Mbaiwanodji Adrien, depuis Moundou, Ialtchad Presse

L'artiste musicien Bâton Magique à l'état civil Betoudji Kagro Ngaba présent sur scène depuis plus de 13 ans a annoncé dans la soirée du 29 janvier la sortie de son premier album à la couleur internationale, titré « Révolution », le 11 mars prochain. L'album contiendra deux collaborations avec des artistes internationaux. Ialtchad Presse a échangé avec l'artiste sur son nouveau projet.  

C'est sur sa page Facebook que l'artiste musicien Bâton Magique a rendu public la date de sortie de son album « Révolution ». Il a affirmé à notre micro que l'album contiendra 10 morceaux, « c’est une sélection de 10 titres », dit-il. Il assure que 2 sont des collaborations (featuring) avec des artistes internationaux, « j’ai eu la chance d'être accompagné au studio par des chanteurs congolais, il s'agit de Pam Love la congolaise et de Martic le vieux », a-t-il confié. Il affirme que ce projet lui a pris 3 grosses années, pour l'écriture et l'enregistrement, dit-il.

A la question de savoir pourquoi l'album est titré « Révolution », Baton justifie que, « c’est la révolution de la jeunesse africaine dans tous les domaines. Nous allons débuter à réveiller les consciences des plus jeunes africains à savoir défendre les intérêts de l'Afrique et en particulier le Tchad », a-t-il clarifié. Pour lui, cette révolution est d'abord culturelle, « elle est contre l'ingérence des occidentaux dans les affaires internes de nos pays. Il est aussi temps d'arracher notre indépendance militaire », a-t-il affirmé. Il ajoute, « les soldats d'Afrique doivent être aussi bien traiter que l'armée française puisqu'ils courent les mêmes risques...en tout cas le seul moyen de libérer l'Afrique c'est la révolution dans tous les domaines ... sans oublier les religions occidentales qui sont aussi des poisons pour la jeunesse », a-t-il laissé entendre. Il invite la population à se mobiliser massivement le 11 mars prochain à l'espace culturel Talino Manu à partir de 18h pour déguster le nouvel album pour une Afrique et un Tchad libre, une armée libre, pour l'égalité et la justice.

Rappelons que l'artiste musicien Bâton Magique à 4 albums à son actif. « Révolution » est le premier qui répond aux normes internationales de la production musicale professionnelle. Le nouvel Album est accompagné des clips vidéos.

Abderamane Moussa Amadaye

La capitale tchadienne, N’Djamena, a repris avec les coupures intempestives d’électricité dans certains quartiers. Ialtchad Presse a promené son micro ce lundi 30 janvier pour recueillir quelques réactions.

M. Ngassi habite le quartier Ardedjoumal. « Il y a trop de la coupure au motif que le carburant est insuffisance or des citernes sont tous les jours fournis à la société nationale d’électricité (SNE).  Pourtant le Président de transition avait promis la fin d'ici fin janvier 2023. Malheureusement rien n’a changé, la SNE peut faire passer 2 à 3 jours certains quartiers sans leur fournir d’électricité. Certains quartiers cotisent pour donner aux agents de la SNE pour laisser leur ligne. Il faut régler cette situation ».

M. Telba Matnegar est résident du quartier Moursal. « Depuis quelques, il n'y a pas d'électricité dans le quartier. Quelques fois ça revient pour une heure et après plus rien. Le constat est que dès qu’il recommence à faire chaud, l'électricité disparaît. Que les autorités respectent la parole donnée et qu’elle passe à l’action ».

M. Pasambé Talpaye est du quartier Gomba. « Ici il n'y a même pas l'électricité. Je ne me fais pas de soucis. Je suis aux panneaux solaires fourni par Dieu. Ces coupures ne sont injustes pour ceux qui ne reçoivent pas le courant pourtant les responsables eux ont l'électricité chez eux ».

Une femme anonyme du quartier Dembé. « Pas d'électricité depuis 5 à 10 minutes seulement. Pour les délestages, nous ne savons pas les causes. Nous perdons beaucoup de choses de nos aliments. Il fait trop chaud, mais nous supportons. Nous attendons que la promesse des autorités se concrétise. »

Réalisation Ousmane Bello Daouda

La saison 2023-2024 de la ligue départementale de football de première division de Lac Wey, du Logone occidental, est officiellement lancée hier 29 janvier au stade municipal de Moundou.

La cérémonie a regroupé 8 clubs et était présidée par le gouverneur de la province du Logone occidental Ibrahim Ibni Oumar Mahamat Saleh entouré des responsables des services publics et privés, des autorités administratives civiles, militaires et des chefs traditionnels.

Mahamat Ahmat Abba, président de la ligue départementale de football première division de Lac Wey, « du démarrage à la finale est un réel challenge, il y a un long chemin à parcourir qui exige de toutes les parties prenantes, abnégation et sacrifices, pour faire de cette première édition, un modèle d’organisation et de réussite ». Il a lancé un appel aux entreprises, aux personnes de bonnes volontés, qui voudraient accompagner la ligue et les jeunes, il faudra qu’ils se mobilisent et s’engagement pour faire éclore les talents bruts du département. « Le championnat départemental que nous lançons sera le ciment de cette nouvelle ère à laquelle, nous devons, tous, apporter notre pierre », dit-il.

Dans son intervention, le coordonnateur du développement de football de la zone 5 Allado Sylvestre a affirmé qu’il est un secret de polichinelle que le football est plus qu’un sport. « Vous voulez la paix, investissez dans le football. Vous voulez le développement, investissez dans le football. Vous voulez le vivre-ensemble, investissez dans le football. Vous voulez une image positive de votre pays dans le monde, investissez dans le football », dit M. Sylvestre.

Enfin, un match inaugural a opposé Educat FC à Dangoté FC et s’est soldé par un score nul. Signalons que ces deux nouvelles équipes clubs font leur réapparition. Il s’agit de AS Commune et Agri Sport dans ce championnat qui annonce de toutes les couleurs.

Mbaiwanodji Adrien, depuis Moundou, Ialtchad Presse

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