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Le ministère des Finances, du Budget et des Comptes Publics (MFBCP) a organisé la journée internationale de la Douane édition 2023 sous le thème : « Accompagner la nouvelle génération : promouvoir le partage des connaissances et renforce la fierté de la profession douanière ». Les activités se sont déroulées ce lundi 23 janvier 2023 au Centre d’Études et de Formation pour le Développement (Cefod) et se poursuivent jusqu'au mercredi 25 janvier.

Les activités se sont ouvertes par une conférence-débat sur « le partenariat Douane, opérateur économique : diagnostic et piste de solutions » lors de cette conférence, les panellistes ont fait comprendre aux participants la relation qui existe entre les douaniers et les opérateurs économiques qui est caractérisée par des activités qui gravitent autour du commerce international notamment l'importation et l'exportation des marchandises.


L'opérateur économique dans l'exercice de ses fonctions doit accomplir ses formalités auprès de l'administration de la douane. De même, la Douane doit protéger le territoire contre la fraude pour permettre aux opérateurs économiques d'accomplir leurs activités dans la sérénité et la sécurité, souligne l'un des conférenciers, M. Soumaine Ousmane.

Les douaniers et les opérateurs économiques éprouvent d'énormes difficultés dans l'exercice de leur fonction. Il s'agit notamment pour les douaniers: le non-respect des textes régissant le contrôle de change, le non-respect des instruments de l'organisation mondiale des douanes, etc.

Pour les opérateurs économiques, il y a un manque d’agents formés et expérimentés sur les lignes de prise en charge des documents et de contrôle des déclarations, problème d'escorte des marchandises en transit à l'importation où les agents confisquent les documents. 

Pour pallier cette difficulté, une recommandation a été faite à l'endroit de l'administration de la douane notamment la mise en place d’un observatoire pour permettre de dénoncer et de contrôler les entraves au bon fonctionnement des activités, promouvoir la compréhension des agents de la douane pour le traitement des déclarations en douane. Et celle de l'opération économique, le respect des textes communautaires réagissant le contrôle de change, l'arrêt de la demande de la prestation des intermédiaires, etc.

Narhinguem Anastasie

La Société Al-Bihera Tchad a organisé ce samedi après-midi à la grande mosquée d'Adré, chef-lieu du département d'Assounga, 3313 récitations coraniques pour la paix et la stabilité au Tchad.

C'est le préfet du département d'Assounga M. Ali Mahamat Sibey qui a présidé la cérémonie en présence des autorités administratives, traditionnelles et des leaders religieux de la place.

Le directeur de l’entreprise Al-Bihera Tchad Abdelkerim Sinin Adam en collaboration avec le Conseil Islamique du Ouaddaï, ont conclu la cérémonie. L’objectif est d’exhorter les jeunes au vivre ensemble et à soutenir la transition.

Ben Haïdara Kadabio, Adré pour Ialtchad Presse

A l’occasion de la formation qu’a organisée l’Office des Nation Unies contre la Drogue et le Crime du 17 au 19 de ce mois à l’intention des régisseurs de prison, les agents de sécurité, etc. sur les renseignements pénitentiaires et le droit des détenus. Ialtchad Presse est allé à la rencontre de quelques régisseurs de la Maison d’arrêt pour les interroger sur les conditions de détention.

Pour Madame Solkem Chantal Guerbaye, Administratrice pénitentiaire Régisseur 1ère adjointe de la Maison d’arrêt de Klessoum, depuis un certain temps, le Tchad a créé une école nationale de formation judicaire (ENAFJ) qui forme le personnel pénitentiaire déployés sur le terrain pour faire le travail. « Les détenues sont traitées d’une manière humaine, pas des tortures, pas de maltraitance, etc ». Elle ajoute que les prisonniers de son établissement bénéficient de certaines activités comme s’ils sont libres, par exemple l’enseignement. « Parmi nos détenus, il y a des élèves et des étudiants. Il y a des professeurs, certains se portent volontaire de former les autres. Nous avons présenté 33 candidats. Dont 27 admis et 36 au Brevet d’étude fondamentale avec 33 admis. Mais nous regrettons amèrement que l’enseignement se passe entre les détenus eux-mêmes. Il faut que le Gouvernement nous envoie des enseignants pour aider les prisonniers à rehausser leur niveau. Nous avons aussi deux terrains de football pour se divertir chaque jour ». Elle ajoute que l’alimentation des prisonniers n’est pas à critiquer bien qu’il n’y a pas une équipe en dehors des détenus qui cuisinent. « Les prisonniers s’organisent pour préparer leur nourriture, ils mangent ce que nous mangeons dehors. Si vous voulez, faites un tour et vous allez confirmer », rassure-t-elle.

M. Soussia Martin Doumgou, Administrateur Régisseur pénitentiaire régisseur de la maison d’arrêt de Massakory. Il affirme que les prisons à l’époque avaient certaines difficultés, mais ces derniers temps, le ministère de la Justice a mis du paquet pour rendre les prisons modernes, « surtout la gestion des détenus, bien même qu’il reste beaucoup des choses à faire ». Il soutient par la suite que compte tenu de la capacité et la structure de son établissement, il n’arrive pas à mener certaines activités. « On n’a pas pu enregistrer les élèves ou les étudiants, sinon on a demandé un recensement surtout pour ceux en classe d’examen pour pouvoir nous mettre en contact avec la Direction de l’Éducation nationale pour voir ensemble ce qu’on peut faire eux. En plus, nous n’avons pas un espace pour les activités de loisir. »

Selon Ahmat Adam Naïm, Administrateur pénitentiaire régisseur 1ere adjoint de la maison d’arrêt de Moussoro, dans son établissement, il y a plusieurs services chacun fait son travail en faveur des détenus. « La superficie de la maison d’arrêt de Moussoro n’est pas assez grande. Donc les détenus ne peuvent se divertir, on ne peut pas aussi les laisser aller dehors. Normalement les élèves arrêtés ici doivent recevoir au moins les enseignements, mais ce n’est pas le cas ici. Nous avons fait la demande mais pas de réponse. Les détenus mangent à leurs faims, ils cuisinent eux même leur nourriture. Les femmes et les mineurs ont leur quartiers différent », explique-t-il.

Narhinguem Anastasie

Cérémonie officielle de remise des diplômes aux lauréats de la 24e promotion des médecins généralistes et de la 6e promotion des DES de Gynécologues obstétriciens de la faculté de sciences humaines de l'université de Ndjamena ce vendredi 20 janvier 2023 au quartier Gardolé dans le 3e arrondissement de la ville de N’Djamena.

Dans un amphithéâtre rempli de parents, amis (femmes hommes et jeunes) dans une ambiance de joie sur les visages de lauréat. Pour Docteur Hemchi Hisseine « je suis issu de la 24e promotion de la faculté de la science humaine de l'université de N’Djamena, je fais 10 ans ». Pour lui, le chemin est long, mais il est content de finir cette formation.

Dr Yasmine Abdoulaye Hisseine soutient que la médecine pratiquée au Tchad est très différente de celle pratiquée dans d’autres pays.  « Nous avons fait environ 9 ans au lieu de 7 ans. Ce n'est pas facile, mais nous avons tenu le coup », dit-elle. Selon elle, les femmes aiment voir des médecins femmes cela les met à l'aise pour leur intimité.

Dr Moufouma Cristelle Patricia est de nationalité camerounaise. « J’ai fait 11 ans vu les difficultés académiques et d'adaptation, mais par la grâce de Dieu le Tchad m'a accordé ce que je voulais, être médecin ».

Pr Foumsou Lhagadans est doyen de la faculté de sciences humaines de l'université de N’Djamena. « Nous avons assisté à la cérémonie de la remise des diplômes de la 24e promotion des médecins généralistes formés à la faculté. Ils sont au total 147 médecins généralistes et 5 Gynécologues obstétriciens. C’est une fierté ». Selon lui, ces nouveaux médecins peuvent améliorer les indicateurs en matière de la santé.  « Nous allons continuer dans la même dynamique pour mettre assez des médecins à la disposition de la population tchadienne pour inverser le ratio patient-médecin ».

Ousmane Bello Daoudou

Les membres du SYNTASST (Syndicat des Travailleurs des Affaires Sociales et de la Santé du Tchad) ont tenu une conférence de presse ce vendredi 20 janvier à la Bourse du Travail dans le 3e Arrondissement de la ville de N’Djamena. Conférence au cours duquel ils dénoncent la privatisation du secteur de la santé.

Le 17 juin 2022, une convention a été signée entre le ministère de la Santé publique et de la Prévention et une société dénommée « NIKEFA ». Selon nos sources, cette convention a pour objectif de définir les dispositions et les modalités générales de la collaboration entre le ministère de la Santé et Nikefa pour la mise en œuvre des activités d’appui sanitaire au profit de 4 délégations provinciales, notamment, N’Djamena, Logone orientale, Batha, Mayo-Kebbi Est. Le SYNTASST dénonce cette décision et qualifie cette démarche de marche vers la privatisation du secteur public de la santé. Ses membres disent, « non à cette décision », lors de leur échange avec la presse.

La convention stipule que le ministère de la Santé publique et de la Prévention autorise Nikefa à investir dans les hôpitaux publics en plaçant des appareils réactifs et du personnel. « C’est contraire à l’ordonnance numéro 16 portant entre l’État et ses partenaires », dit le Secrétaire Général Adjoint de SYNTASS. Il ajoute que les appareils installés et le personnel recrutés dans les hôpitaux concernés appartiendront à cette société commerciale, « cette entreprise va prendre la gestion financière et l’hôpital appartiendra à Nikefa qui dans la convention collectera les recettes et versera 50% à la direction de l’hôpital. Nous ne présentons pas cette situation par peur de perdre nos avantages des travailleurs, mais plutôt à cause de la gravité des retombés sur les citoyens tchadiens », dit-il

En répondant à la presse, le président de SYNTASST, M. Younous Mahadjir, indique qu’ils ont mené des démarches auprès du pour avoir plus d’explications sur cette décision, mais en vain. « Nous avons vu le ministre sur ce sujet, il nous demande de nous mêler de nos affaires ».

L’objectif primordial de cette initiative, c’est l’annulation de la convention entre le ministère et le SYNTASST, dit M. Mahadjir. « C’est en sorte la privatisation de ce secteur. Ce n’est pas au profit de la population. Tous ensemble barrons la route à ce système. La population vit dans la misère donc, il ne faut pas augmenter sa souffrance. Il y aura la hausse prix des examens et d’autres services dans des hôpitaux concernés ».

Narhinguem Anastasie

Les cadres du parti Mouvement patriotique pour le Salut (MPS) et les partis alliés ont organisé un atelier pour la vulgarisation des résolutions et recommandations du Dialogue national inclusif et souverain (DNIS) au bénéfice des militants de la province du Logone occidentale ce vendredi 20 janvier 2023 au siège provincial dudit parti.

M. Jean BERNARD Padaré secrétaire général national 2e adjoint, chargé de la communication du parti MPS, « nous devons parler aux jeunes Tchadiens », a-t-il déclaré. Il affirme que le gouvernement d'union nationale doit travailler pour que la jeunesse puisse s'affirmer et réaliser son rêve. Pour y parvenir, dit-il, il faut vulgariser les acquis du DNIS au profit de tous.

L’aspiration d'un Tchad refondé doit tenir compte de toutes les réalités, dit M. Padaré. Il appelle les militants de son parti à dénoncer toutes les dérives constatées des autorités administratives civiles et militaires dans l’exercice de leurs missions, précise-t-il. Cela en application des résolutions et recommandations du DNIS, toutes les mauvaises pratiques doivent être dénoncé ».

Pour finir le MPS demande aux militants de garder le même élan de solidarité dans le travail afin de faire triompher les idéaux du parti. Il déplore la tentative de la formation d'une rébellion dans la province voisine. Selon lui, les Tchadiens doivent prioriser le dialogue seul moyen de bâtir un État de droit.

Mbaiwanodji Adrien, depuis Moundou, Ialtchad Presse

Ce Mercredi 18 Janvier a lieu la cérémonie du lancement officiel du Medialab dans les locaux de WenakLabs situé dans la commune du 3e arrondissement de la ville de N'Djamena. Cette cérémonie s'était déroulée en présence d'une équipe de l'Atelier des Médias de la Radio France Internationale. Reportage.

Le Medialab qui a pour objectif de vulgariser les activités en ligne, est un lieu de recherche interdisciplinaire pour les chercheurs et notamment les artistes, les développeurs qui peuvent travailler ensemble afin d'explorer le TIC et ses opportunités. C’est aussi un espace convivial et collaboratif accessible à tous, selon le directeur exécutif Abdelsalam Safi.

Quant au manager de Médialab Deuh'b E. Zyzou, il a présenté le Médialab comme un lieu de rencontre qui regroupe tous les dispositifs électroniques professionnels pour permettre d'exercer le métier audiovisuel et du numérique de la production de contenu sa diffusion. Il ajoute que le Médialab doit d'être un lieu visible, un endroit qui favorise la collaboration, le partage et la mise en place des informations. Il concerne les chercheurs, les artistes, les étudiants, les journalistes et les activistes.

 Le coordinateur éditorial podcast de la radio France Internationale encourage ce projet très dynamique pour cette génération. Il demande aux jeunes tchadiens d'être actif par le biais des outils électroniques afin d'être à jour.

Noël Adoum

La dégradation des infrastructures scolaire est un problème qui plonge les élèves dans une situation de détresse. Et les exposent au danger d’éventuels risques d'écroulement. Une situation inquiétante qui mérite d'être classée priorité de l'État. Mais le gouvernement reste indifférent. Quelques élèves réagissent. Vox pop. 

Ndjerané Francklin : « Comme vous venez, de constater l'état des bâtiments est déplorable. Cela ne nous permet pas d’étudier dans des conditions minimales acceptables. Lorsqu’on est en salle, on a souvent peur. C'est une fois dehors que nous nous sentons en sécurité. Nous n'avons pas le choix. On s’efforce pour atteindre nos objectifs malgré la situation. Nous appelons l'État tchadien ou les partenaires internationaux  au secours. Cela va de notre avenir et celui du Tchad ».

Garoumwadé Hortence : « L'état des bâtiments est pitoyable. Ce n'est pas un cadre idéal pour les études parce que déjà ils ne nous suffisants compte tenu de notre nombre. Le gouvernement doit nous venir en aide. Il est temps. Et construire des infrastructures plus solides dans les années à venir pour que ceux qui viendront après nous puissent étudier dans de meilleures conditions. Pour l’instant, nous sommes exposés chaque jour au danger ».

Djiyao Espoir :  « Je pense qu'ils sont bien construits, mais seulement ils ont trop duré et ne tiennent plus. Cela fait peur d'étudier dans ces conditions. Il y a un sérieux risque d'écroulement à tout moment. L'État doit trouver une solution ».

Antamin Gabin : « L’état de ces infrastructures fait peur. Monter sur la terrasse fait encore plus peur parce qu’on voit tous les endroits où le bâtiment est fendu. On sent un danger imminent. La construction n’est pas bien faite, certainement les fondations sont mal posées. L'État doit réagir en faisant venir de vrais ingénieurs pour revoir cette construction ».

Propos recuellis par Yaya Ahmat Macki

Offices des  nations unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC) a organisé une formation  sur le renseignement pénitentiaire et les droits des détenus au Tchad  à l’intention des responsables de l’administration pénitentiaire et des agents de sécurité ce mardi 17 janvier dans un hôtel de place de la ville de Ndjamena.

C’est dans le cadre du projet « Trust Building » (renforcer la confiance entre la force de défense et de sécurité, les acteurs de chaîne pénale et la population)  que quelques responsables du ministère de la Justice et celui de la Sécurité publique ont  acquis des connaissances dans leurs domaines. Les formateurs sont des experts venus de Burkina Faso.

Cet atelier vise à renforcer les compétences en matière de renseignement pénitentiaire et de vulgariser les droits des détenus dans les maisons d’arrêt au Tchad. Et à rappeler aux Directeurs des prisons et les autres acteurs de la chaîne pénale les droits inhérents à la personne détenue.  Selon nos sources, les conditions de détention dans la plupart des prisons du pays violent souvent les droits de l’homme.

Selon les experts les renseignements pénitentiaires sont importants, le formateur M. Baga, affirme que ces renseignements  permettent de s’organiser et d’avoir des connaissances pour bien maîtriser le milieu carcéral et la société. Cette maîtrise doit se faire par le contrôle, la détection, le repérage, l’identification des trafiquants des drogues, l’anticipation et l’évaluation de la situation. De plus, les renseignements pénitentiaires permettent de connaître la population pénale. Puis il a un rôle préventif, défensif et offensif, dit-il.

Pour rappel, les renseignements pénitentiaires sont instaurés  au Tchad il y a de 6 ans déjà.

Narhinguem Anastasie

L’Octroi des terres par l’État au profit de la construction d’une zone économique spéciale dans la province du Logone ne fait pas l’unanimité et agite les esprits.

Le secrétaire général du bureau exécutif de la plateforme de la société civile de la ville de Moundou M. Ndilhornom Bahoudel Osée lors d’un point de presse estime normale le raz bol des concitoyens de la zone concernées par ce projet, pour la seule raison que ceux-ci ne soient pas suffisamment informés des raisons de l’expropriation de leur terre pour d’intérêts publics.

Selon M. Osée c’est dans le souci de résorber le chômage de masse et diversifier l’économie dans le cadre de la mise en œuvre de développement de la filière bétail viande, que le gouvernement tchadien en partenariat avec ARISE décide de la création de 7 zones économiques spéciales dans 7 des villes, dont Moundou. Ce partenariat a été créé avec la société Laham Tchad qui est chargée de mette en place les infrastructures nécessaires telles que abattoirs, l’usines d’aliments, tannerie, etc.

Mr Osée affirme que ces espaces économiques devraient créer à terme 45 000 emplois et bénéficieraient d’un financement de 500 milliards de F CFA, ils seront spécialisés dans la filière bétail et viande ainsi que pour la phase pilote poursuit il. Deux sites sont retenus N’Djamena et Moundou, c’est pour cette raison, renchéri M. Osée, qu’un espace devrait être trouvé autour de la ville pour abriter la zone économique spéciale c’est pourquoi les services de l’État ont délimité la zone pouvant abriter cette zone économique.

Le secrétaire général de la plateforme de la société civile de Moundou rappelle que l’objectif d’un tel aménagement est de favoriser le développement local de la zone d’implantation, la croissance, l’attractivité des investisseurs, l’exportation et la diversification de l’économie en commençant par Moundou. La mise en place de cette zone pourra permettre aux jeunes d’avoir de l’emploi et créera plusieurs opportunités d’affaires aux opérateurs économiques, malheureusement, déplore-t-il, certains esprits pessimistes guidés par des intérêts égoïstes.

Selon plusieurs sources, il ne s’agit pas d’accaparement des terres, mais plutôt de l’expropriation en accord avec les autorités traditionnelles des zones concernées. Et dont la population touchée par ce projet sera indemnisée à l’exemple de celle touchée par le projet pétrole.

Pour finir M. Osée demande à l’État et à son partenaire d’accélérer la procédure d’indemnisation des propriétaires des parcelles qui seront touchées par le projet. Et aussi avoir un impact social et environnemental afin de faire bénéficier à la population des avantages liés à de telles initiatives.

Mbaiwanodji Adrien, Moundou, Ialtchad Presse

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