A l'occasion du mois du ramadan, l'association des femmes pour la paix et la sensibilisation au Tchad (AFPST) a organisé un iftar collectif ce 7 avril au sein de la commune du 2e arrondissement de la capitale tchadienne, N’Djamena. 150 plats ont été distribués aux différentes couches invitées à cette œuvre de charité.
Achta Adoum Bichi, présidente de l'AFPST relève que cet iftar consiste à ressembler non seulement les musulmans, mais les Tchadiens dans leur généralité, « le ramadan, c'est un mois de partage et il est fortement recommandé de partager le peu qu'on a avec nos frères et sœurs », dit-elle. Mme Achat estime qu'il est important en ce temps particulier de se réunir, d'écouter la parole de Dieu et d'éclairer nos frères et sœurs de l'importance et le rôle de la femme dans la société et son apport dans la consolidation de la paix et la construction du développement. Toujours selon elle, le ramadan est un mois sacré pour les frères musulmans, à ce titre elle les invite à poser des actes positifs. Celui d'aider les démunis en organisant des iftar, prêcher les valeurs de l'unité, de la concorde, de la justice ou encore de la paix, a-t-elle indiqué.
Fatimé Amsissane Lamana, Conseillère nationale qui était présente, félicite et encourage l'initiative de charité organisée par l'AFPST en ce mois de ramadan à l'endroit des Tchadiens sans aucune exception. « C'est un mois saint, béni où nous devons partager ce qu'on a et assister aux nécessiteux », a-t-elle confié. Elle ajoute, « nous nous pensons que ce moment doit-être plus culturel, celui d'être ensemble, d'être au côté de notre prochain, de prêcher la bonne parole, d’assister les nécessiteux, etc. », a-t-elle laissé entendre.
Rappelons que cet iftar a été organisé par l'association des femmes pour la paix et la sensibilisation au Tchad (AFPST) en partenariat avec le ministère du Genre et de la Solidarité nationale et la maison des femmes.
Abderamane Moussa Amadaye
Le Groupe de Concertation des Acteurs politiques GCAP a organisé une conférence de presse ce jeudi 6 avril dans la salle de conférence de la Fm Liberté dans le quartier Chagoua du 7ème arrondissement.
Un panel de trois acteurs politiques MM. AVOCKSOUMA Djona ATchenenou, Néatobey Bidi Valentin et Abdelkerim Siddick Haggar se sont entretenus avec les journalistes.
Le premier intervenant AVOCKSOUMA Djona ATchenenou du parti les Democrates estiment que dans cette transition l'échec et la médiocrité s'alignent, se rencontrent, s'embrassent sur le fond de népotisme virtuel et d’affairisme à haut niveau, dit-il. « C’est les pires moments de la vie de notre pays », insiste-t-il.
Le second à intervenir est Abdelkerim Siddick Haggar, président du parti l’Union pour la Refondation du Tchad (URT), dit « l'allure effrénée de ce gouvernement de récompense, de la prédation financière traduit bien la stratégie de l'enrichissement massif. Les partis politiques de l’opposition et les populations ne sont pas les ennemis de cette transition. Il ajoute que leurs ennemies sont l'inclusion, l'injustice, l'arbitraire, le chômage de masse, l'insécurité, la gestion scabreuse et l'absence d'alternance du pouvoir qui menace la survie de la nation ».
M. Neotobey Bidi Valentin affirme bien que le retour à l'ordre constitutionnel soit impératif jusqu'à l'avenant des élections libres, il propose d’apaiser les choses pour retrouver un climat de sérénité et de sécurité générale dont la libération de toutes les personnes arbitrairement arrêtées, une justice égalitaire et répartition pour toutes les victimes innocentes. Ensuite, faire adhérer la population et les principaux acteurs au processus sur la base d'un consensus élargi enfin la définition d'un cadre juridique électoral inclusif égalitaire et transparent.
Ousmane Bello Daoudou
Libre Afrique Tchad en partenariat avec ATLAS NETWORK a organisé une formation à l'intention des journalistes de la presse publique et privée, blogueur et leaders des organisations des sociétés civiles des jeunes sur « la qualité du traitement de l'information liée à la dignité humaine » à la Maison des Médias du Tchad dans 6e arrondissement de la capitale tchadienne.
Pour Josué Nekoura Koumnobeye vice-président affirme « la formation qui nous réunit aujourd'hui a été inspiré des derniers cours des événements qui ont animé la vie politique, économique et sociale du Tchad caractérisé durant quelques années par les répressions des manifestations pacifiques, les restrictions des libertés fondamentales, les recrudescences de la haine et des violences communautaires qui se sont transposées sur les réseaux sociaux ».
Pour lui, les journalistes sont les maillons forts de la démocratie. Une presse plus responsable est gage d'une gouvernance plus saine de la société où les droits de chaque citoyen sont préservés.
Il souligne que libre Afrique Tchad a envisagé cette formation pour renforcer les capacités des participants, mais aussi pour rappeler la responsabilité du journaliste et des leaders des organisations. Il dit que journalistes, blogueurs et des hommes des médias ne sont pas des imposteurs ni des opposants, mais des contributeurs et partenaires au développement du Tchad.
Dr Ali Mbodou Mahamat, formateur, souligne qu'il faut faire preuve de retenue dans le « témoignage de dignité » en évitant la complaisance, la banalisation et l’exagération de la souffrance humaine. « L'inclusion, l'inégalité sociale peuvent conduire à l'extrémisme violent qui à son tour pourrait être source d’instabilité de nature à porter atteinte gravement à la dignité humaine à travers les crises. Donc nous avons l'intérêt à préserver et appelez les autorités à tous les niveaux de prendre les dispositions nécessaires pour éviter les situations extrêmes » martèle-t-il.
Enfin pour lui, le journaliste va prendre ses dispositions pour alerter la population et les décideurs sur les questions de l'injustice, d'inclusion qui contribue à l'indignité.
Pour rappel, Libre Afrique Tchad est une association de droit tchadien qui regroupe des jeunes. Elle a pour objectif de transformer les idées libérales en fondement d'un monde juste, prospère.
Ousmane Bello Daoudou
La cérémonie de lancement officiel des activités de la commission nationale chargée de l'organisation du référendum constitutionnel (Conarec) pour la ville de N'Djamena a eu lieu ce matin 4 avril au palais des arts et de la culture, pour la capitale N’Djamena avec un couac. Les membres n’ont pas pu être désignés faute de consensus.
Malgré la présence du ministre de la Communication, celui de la justice, du genre de la Maire de ville de N'Djamena et autres cadres publics, des leaders politiques et de la population des différents arrondissements de N'Djamena. Et après plusieurs heures d'échanges, le CONOREC pour la ville de N'Djamena la séance a été renvoyée aux consultations afin de trouver une entente pouvant aboutir à l'installation des différentes commissions respectant l'inclusivité et l'égalité
Amina Kodjiana, déléguée générale du gouvernement auprès de la Commune de N'Djamena, par ailleurs, présidente de la CONOREC souligne que l'organisation du référendum constitutionnel est au cœur des préoccupations du gouvernement. Il est une des priorités du Président de Transition. Elle a exhorté les participants à une contribution active, en mettant à profit leurs riches expériences en tant que citoyens. « L'apport de chacun serait une importance capitale pour l'atteinte des objectifs du Dialogue National Inclusif » a-t-elle indiqué.
Abderamane Moussa Amadaye
Le renforcement de l'innovation dans l'entrepreneuriat Agro-Pastoral des jeunes et Femmes du Tchad (Renfort) a clôturé son atelier de lancement de ses activités ce mardi 4 avril dans un grand hôtel de la capitale tchadienne, N’Djamena.
Le Projet se distingue des initiatives existantes au Tchad par son orientation thermique, sa stratégie et sa portée géographique, y compris la transformation vers le système alimentaire inclusif et durable. Il indique c'est une approche intégrée, dynamique et différenciée pour la promotion des solutions numériques.
Abdoulaye Mahamoud Labite soutient que le projet Renfort contribue à l'accroissement de revenus et à la création d'emplois décents pour les femmes et les jeunes, à l'intégration économique durable dans les chaînes de valeur « agrosylvopastorales » et halieutiques.
Pour lui, il s'agit des cultures maraîchères, les céréales, la séance, les petits ruminants (embûche bovine, ovine, caprine), la volaille traditionnelle, la pêche artisanale et les produits sylvicoles (Karité, gomme arabique miel), dit-il.
Le Directeur pays, Alexandre Marini a souligné l'importance que le gouvernement tchadien attache au partenariat avec FIDA afin de maximiser les investissements en faveur des populations tchadiennes les plus vulnérables (femmes et jeunes)
Il affirme que le FIDA a investi dans 12 provinces, ce qui permettra d'exploiter les synergies envisagées avec les projets de renforcement de la productivité des exploitations Agro-Pastorales familiales et résilience. Et donnera une opportunité économique aux couches défavorisées.
Ousmane Bello Daoudou
L'ancien Premier ministre Pahimi Padacké Albert a présenté son livre intitulé « l'Afrique empoisonnée, pathologie et thérapie de conflits » cet après-midi dans la salle de multimédia du Centre d’Études et de Formation pour le Développement (CEFOD) dans le 3e arrondissement de la ville de N’Djamena.
Ce livre paru aux éditions l'Harmattan est subdivisé en 15 chapitres et composer de 250 pages qui parle des conflits en Afrique et est préfacé par le professeur des universités, agrégé en sciences politiques Bertrand Badie.
Dans ce livre l'auteur raconte la sociologique politique des conflits et aussi les enjeux économiques de ces antagonismes. Il décrit les facteurs et les indicateurs des tensions, ensuite la souveraineté et l'ingérence dans ces pays.
Pahimi Padacké Albert propose de pistes de solutions qui sont entre autres une alternance politique avec la limitation de mandat sans la modification de la constitution.
Pour lui, il faut revoir le système de gouvernance dans la justice, l'égalité et l'équité afin de bâtir un climat de confiance.
Enfin, il demande aux dirigeants africains une indépendance des ressources économiques avec une bonne gestion afin de promouvoir la bonne gouvernance.
Ousmane Bello Daoudou
Le Directeur de Publication et fondateur du journal arabe, Presse 235, Assafi Mahamat Adam a été brutalisé et son matériel de travail confisqué près du marché de Diguel dans la commune du 8e arrondissement de N'Djamena ce soir, 1er avril 2023 par la police municipale.
Contacté au téléphone, Ali Moussa Ali, secrétaire de rédaction de cette presse a indiqué que M. Assafi, par ailleurs Directeur de Publication était ce soir au marché de Diguel près de l'échangeur, lieu où il fut brutalisé par la police municipale. Il affirme qu'Assafi voulait couvrir la densité de la circulation de la soirée en ce mois de ramadan dans ce chassé-croisé un peu avant l’Iftar (fotour) où il difficile de circuler. « Quelques minutes après l'installation de son matériel de travail, des municipaux se sont rapprochés de lui. Ils lui interdisent de filmer ». Ali ajoute, « malgré le fait qui leur ai présenté sa carte de presse, ils étaient catégoriques. Ils ont arraché de force les matériaux composés d'un trépied, de caméra, du micro et de son téléphone Android portable de marque Samsung », a soutenu le secrétaire de rédaction à Ialtchad. Il souligne aussi que lorsque M. Assafi voulait joindre le Président de l'Union des Journalistes du Tchad (UJT) Abbas Mahmoud avec son petit appareil pour lui expliquer les faits et les circonstances auxquelles ils se trouvent, « ils se sont déchaînés une fois de plus sur lui. Ils ont arraché son téléphone de force et molesté ».
Contrairement à ce qui circule sur le Net, le Secrétaire de Rédaction de presse 235 affirme que M. Assafi n'a pas été emprisonné, « il a regagné sa famille, mais avec des douleurs. C'est inadmissible et ignoble, l'acte posé sur un journaliste en fonction », a-t-il confié. Selon nos sources, les matériels confisqués seront rendus au journaliste demain.
Abderamane Moussa Amadaye
La plateforme Jeunesse patriote pour un Apport Citoyen à la Transition « JPACIT » a lancé officiellement ses activités ce 1er avril au siège de Conseil National de Jeunesse du Tchad (CNJT) à N'Djari dans la commune du 8e arrondissement de la capitale tchadienne.
Ousman Abbas, Coordonnateur du JPACIT, « la plateforme a pour mission de contribuer à l’exercice d’une citoyenneté fondée sur l’amour de la patrie afin de promouvoir l’excellence et le leadership en faveur de la refondation et du développement du Tchad ».
Pour lui, deux raisons principales justifient la création de cette plateforme qui se veut citoyenne et d'intégration de la jeunesse dans le processus de la deuxième phase de transition en cours. Il relève tout d'abord l’incivisme en milieu jeune, qui s’explique par le comportement déviant de la jeunesse, «on assiste de plus en plus, à une déperdition des valeurs sociales caractérisées par une montée de l’incivisme, et de la justice privée, des actes de vandalisme, d’un manque d’intérêt pour la chose publique, au non-respect de l’autorité de l’État, de l’intolérance», a-t-il précisé. Toujours selon lui, « chaque jour que Dieu fait, les violences ne cessent de croître, des chaînes de radio et de télévision nous rapportent chaque jour des scandales, des évènements qui font état d’actes d’incivisme notoire et qui impliquent des jeunes scolaires...il est important de mieux cerner un tel phénomène, d’en rechercher les causes profondes en vue d’y remédier dans la mesure où la cohésion sociale et l’unité nationale en dépendent», dit-il.
Ensuite, M. Ousman Abbas explique que la seconde phase de transition exige l'implication effective de la jeunesse pour le suivi des résolutions, recommandations du dialogue national inclusif et aussi du processus à un retour pacifique à l'ordre constitutionnel. Il indique qu'il est important d’initier des actions de conscientisation et de sensibilisation des jeunes à travers des projets et programmes visant à les aider à acquérir une compréhension éclairée sur le processus de la transition en cours, l’éducation à la citoyenneté, y compris les répercussions de l’incivisme et l’importance d’une citoyenneté de qualité dans le développement de notre pays, a-t-il conclu.
Abderamane Moussa Amadaye
Dans le cadre des activités de coopération entre les Nations-Unies et le Tchad le ministre de la Prospective économique Moussa Batraki animé un point de presse ce vendredi 31 mars à l'hôtel de Mara. Il a évoqué la préparation de cadre transitoire de la classification de système des Nations-Unies et le gouvernement du Tchad pour la période 2024-2026.
Le ministre de la Prospective économique Moussa Batraki a cité les quatre axes principaux, dont les services sociaux, le système alimentaire, la gouvernance et la croissance économique inclusive. Les membres du gouvernement qui ont assisté à cette réunion ont exposé leur point de vue sur les axes d'intervention et les différents sujets qui ont largement débattu concernant les zones de concentration des agences du système des Nations-Unies qui avait prévu d'intervenir sur 14 provinces tchadiennes.
Selon lui, toutes les provinces du Tchad sont importantes, il était nécessaire que ce débat ait lieu afin de rediriger le système d'intervention des Nations-Unies. Il voulait aider le Tchad sur plusieurs sujets y compris aux climats liés aux affaires et de secteur privé, la question liée à la statistique, le développement de l'agriculture, la question de la gouvernance de façon générale comprenant également les questions liées à la justice, à la lutte contre la corruption, les questions liées à la protection de l'environnement notamment le reboisement et réhabilitation de l'écosystème, lutter contre l'avancée du désert, etc. Le plan national du développement 2024-2026 sera lancé à la fin de cette année, a-t-il martelé. Il ajoute qu'ils ont prévu une fenêtre de trois ans.
Pour le ministre de la Justice, des droits humains Mahamat Ahmat Alhabo, cette rencontre a le mérite de définir une certaine harmonie entre le gouvernement tchadien et les Nations-Unies. Il soulève la nécessité de définir les hommes proposés par les experts et de faire en sorte que toutes les régions de provinces du Tchad soient incluses en cette disposition géographique. Il poursuit, la réalisation doit être complémentaire avec les autres qui viendront s'insérer a ce qui est défini par région conformément aux besoins et aux priorités établies par le gouvernement. Pour la justice, les Nations-Unies sont en train d'appuyer de façon technique et efficace de ce département pour résoudre les énormes problèmes, a-t-il dit. Il relève que l'approche globale c'est de mettre en place une politique qu'ils ont défini et appelée « le u-justice» qui a commencé depuis 2016 avec les partenaires de l'Union européenne, mais aujourd'hui, ils veulent monter en puissance pour faire quelque chose que les techniques de communication leur permettent de réaliser et ils veulent digitaliser tout le système judiciaire afin de résoudre les maux qui entravent la justice, a-t-il souligné.
La coordinatrice résidente du système des Nations unies, Mme Violette Kakyomya se réjouit du fait qu'ils ont eu la participation de plusieurs membres de gouvernement qui ont exposé leur point de vue. Elle souligne que la réunion a été très utile et va les aider à la finalisation des documents de leur coopération. Car Ils ont discuté sur le changement climatique et la vulnérabilité du Tchad, a-t-elle dit.
Noël Adoum
À la suite des multiples accidents enregistrés ces derniers jours, l'association des professionnels des assurances du Tchad (APAT) a échangé avec la ministre des Transports ce 31 mars au siège du ministère. La circulation routière était au menu des échanges.
Mme Fatimé Goukouni Weddeye, ministre des Transports et de la Sécurité routière, cet échange avec la plateforme des assurances vise à mettre en place un comité pour réfléchir sur un plan d'action pour vulgariser le Code de la route et minimiser les accidents. Elle ajoute que le gouvernement est conscient que le rôle vient en amont et en aval, « voilà pourquoi ils sont intégrés de façon intégrale dans le processus de sécurité sociale. Aujourd'hui, l'idée est qu'on puisse jumeler nos esprits, nos préoccupations pour émerger une certaine synergie aux accidents et ses victimes. La population doit-être mis au contre de toutes les préoccupations », a-t-elle conclu
M. Abdelkerim Batil Togoy, président de l'APAT souligne que cette rencontre est liée aux multiples accidents routiers enregistrés ces derniers temps sur l'ensemble du territoire national. « Cette situation préoccupe le gouvernement et nous les assureurs aussi », dit-il. Il rappelle que le gouvernement était réuni autour de cette question sous la houlette du Premier ministre. Et à l'issue de ces échanges, étant des partenaires, ils ont été conviés par la ministre du Transport, a-t-il assuré. Il soutient qu'ils sont entièrement disposés à accompagner le gouvernement et à satisfaire la population qui est leur client. Il indique qu'une commission Ad-hoc sera mise en place enfin de réfléchir sur les méthodes de travail pour sensibiliser et éduquer la population afin « d'éradiquer cette hémorragie d'accident », a-t-il dit.
Selon lui, les sociétés d'assurances couvrent la population en cas d'accident, «nous couvrons entièrement les dommages causés par la voiture lorsque celle-ci est assurée », dit-il.
Abderamane Moussa Amadaye