dimanche 10 décembre 2023

Journal

Journal (880)

Chers lecteurs, nous avons ce matin par inattention publié une photo de Monsieur Abdoulaye Mbotaingar avec une correspondance commerciale. L’incident est survenu lors d’une session de formation en administration web de nos journalistes. Nous sommes désolés. Au nom de la Direction générale Ialtchad Presse, nous vous adressons nos excuses les plus sincères, plus particulièrement à Monsieur Abdoulaye Mbotaingar.

La Rédaction.

La coalition Wakit Tamma, section politique a animé un point de presse ce 29 octobre 2023 à la bourse de travail. Elle réclame une enquête internationale sur la tuerie des manifestants du 20 octobre 2022, le retrait de la médiation de la CEEAC et le départ des troupes française du sol tchadien dans un bref délai.

Moustapha Adam Abdallah, chargé des affaires juridiques et porte-parole de wakit Tamma, section politique relève que le 20 octobre de l'an dernier, la junte militaire en place a perpétré une répression sanglante. « Lors de cette journée macabre, le Tchad a perdu plus de 300 de ses fils épris de la démocratie et de la justice, nos camarades de lutte. Leur seul tort c'est d'avoir exercé leur droit constitutionnel à travers une manifestation à main nue pour dire non à une succession dynastique », dit-il. M. Moustapha affirme qu'un an après ces massacres d'une grande ampleur, aucune justice n'a leur était rendue encore moins une enquête indépendante et impartiale n'a été menée. « C’est pourquoi nous exigeons la mise en place d'une commission d'enquête internationale afin d'aboutir à une poursuite judiciaire à l'égard des auteurs, coauteurs et complices de ces actes barbares et indignes », a-t-il déclaré.  

Il s'est aussi apesanti sur la mission de la CEEAC dans cette affaire. « Un an après la désignation de Félix Antoine. T comme facilitateur, point n'est besoin de rappeler que cette médiation a été un pire échec, pour preuve le climat politique est toujours délétère. La junte opère des arrestations extrajudiciaires, les journalistes de la presse privée sont muselés, les opposants sont forcés à l'exil. Bref la démocratie s'est éteint », a-t-il laissé entendre. Pour le chargé des affaires juridiques et porte-parole de wakit Tamma, section politique, derrière ses agissements peu orthodoxes, se cache un ultime objectif, dit-il, « c’est la succession dynastique », a-t-il précisé. Il invite l'union africaine à prendre ses responsabilités. « Nous demandons à l'Union Africaine de constater l'échec de cette facilitation menée par la CEEAC dans le cadre du prince de subsidiarité afin de reprendre l'affaire en main et faire respecter sa charte relative à la démocratie et des droits de l’homme », a communiqué M. Moustapha.

Enfin, wakit Tamma, section politique s’est aussi penchée sur la coopération bilatérale entre le Tchad et l'ancienne puissance coloniale, la France. Il indique que la position de Wakit Tama section politique est sans ambiguïté. « Nous avons toujours exigé le départ immédiat et sans condition de troupes françaises de notre sol. Notre exigence est aussi pour la fin de cette domination monétaire. Que toutes les dominations impérialistes prennent fin et que la France nous foute la paix », conclut-il.

Abderamane Moussa Amadaye

La plateforme revendicative des droits et des intérêts des personnes handicapées a fait une déclaration sur la discrimination des agents de la douane sur la traversée du pont de NGueli ce dimanche 29 octobre 2023 ay quartier NGueli dans le 9eme arrondissement.

Ali Ossigoubedé Justin, Coordonnateur National de la plateforme, dit que les handicapés ont lutté pendant 10 mois pour que le gouvernement lève la mesure, chose faite mais la discrimination s'est installée. Il soutient que ceux qui détiennent les motos des généraux ont le passage et ceux qui sont en tricycle sont systématiquement refoulés.

Il affirme que la situation de cette couche vulnérable est devenue un calvaire, notamment pour les handicapés femmes qui sont également responsables des ménages avec des enfants à leur charge.

« Mais nous disons trop c'est trop, les personnes handicapées sont au bout de leur limite.  Nous interpellons le gouvernement sur notre situation, autrement, nous investiront la rue pour manifester notre colère », lance Ali Ossigoubedé Justin, Coordonnateur National de la plateforme.

Il ajoute « si l’Etat ne veut pas s’occuper de ses handicapés, qu’il les jette dans le fleuve ou qu’il nous enterre vivant. Tout ce que ce gouvernement sait faire, c’est des beaux discours copiés sur d’autres pays ».

Pour finir, les handicapés demandent au gouvernement pas seulement le passage pour Kousseri mais également une prise en charge totale de la personne handicapée.

Ousmane Bello Daoudou

Lord d’un point de presse animé ce samedi 28 octobre, le groupe de concertation des acteurs politiques (GCAP) et la plateforme Républicaine ont lancé un appel à la jeunesse tchadienne pour boycotter le référendum du 17 décembre prochain. 

Les membres de l’Union des écologistes tchadiens (UET, les verts), affirment que le référendum constitutionnel de décembre prochain se fera dans la fraude et de la manipulation à grande échelle pour priver les Tchadiens de faire un choix responsable sur leur avenir. « Ce n'est un secret pour personne que les fondements mêmes de la démocratie sont sapés. Et la voix du peuple est menacée d'être réduite au silence par la machine de la fraude lors du prochain référendum », dit-il. M. Badano Daigou, président de l’UET soutient, « il est essentiel que les jeunes prennent toutes les mesures nécessaires pour faire entendre leur voix ».

Pour M. Daigou, la jeunesse a des outils et de l'énergie pour barrer la route à cette mascarade référendaire dont l'objectif ultime est de perpétuer une dynastie au pays. « Ce pays vous appartient et demain se construit à partir du présent. Pour cela, il vous faut plusieurs axes d'action, celui de sensibilisation en devenant la voix du changement, la conscientisation, la participation à toute activité d'empêchement de la tenue du référendum, la mobilisation de la masse, promouvoir l'éducation citoyenne et documenter les violences des agents de forces de sécurité ».

L’UET et le GCAP estiment que le moment pour empêcher une élection référendaire n'est pas seulement un choix mais aussi une lutte contre l’injustice.

Abderamane Moussa Amadaye

La Coordination nationale des jeunes pour la paix et le développement au Tchad (CONAPDT) a animé un pont de presse ce 26 octobre à son siège au quartier Moursal. Elle affirme que la seconde phase de la transition est lamentablement négative.

Mahamat Oumar Ibrahim, coordonnateur national du CONAPDT estime que rien ne va au Tchad. « Du social en passant par la politique, l'éducation, la sécurité, les indicateurs sont aux rouges », dit-il. Selon la CONAPDT, sur le plan social, le panier de la ménagère désemplit au jour le jour. Les prix des denrées alimentaires ne font qu’augmenter sans qu'aucune mesure adéquate ne soit prise pour atténuer la souffrance des populations tchadiennes « les citoyens tirent le diable par la queue », dit-il.

M. Mahamat Oumar rajoute que malgré les dénonciations, le gouvernement, à sa tête, le Premier ministre Saleh Kebzabo, multiplie des rencontres futiles pour amuser la galerie et endormir le peuple qui attend impatiemment des mesures fortes pour baisser la cherté de vie, a-t-il assuré. Il relève qu'aujourd'hui, les ménages tchadiens, où qu'ils se trouvent sur le territoire national sont confrontés à la cherté de vie, alors que rien ne justifierait cette situation. Il a aussi fait le bilan sécuritaire. Selon le coordonnateur du CONAPDT, plusieurs menaces d'ordres sécuritaires planent sur le Tchad. « Des bandits de grands chemins sont quasi-permanentes en milieu rural qu’urbain. Partout, on tue les Tchadiens pour arracher leurs biens, ou par pure méchanceté. Dans nos campagnes, le conflit entre les producteurs ruraux bat son plein. Tout ceci parfois sous le regard complice des forces de l'ordre », a-t-il laissé entendre. Toujours sur la sécurité, il dénonce la répression et les élévations anarchiques des officiers. Politiquement, M. Mahamat Oumar a dressé un bilan négatif.

« Les résolutions du dialogue n'ont été à la hauteur des enjeux, le processus du Conorec et la révision du fichier électoral pour le prochain référendum est biaisé », dit-il. Il a aussi dénoncé le mandat d'arrêt international contre Succès Masra, le président du parti Les Transformateurs, « c’est une manœuvre dilatoire orchestrée par le gouvernement de Saleh Kezbabo qui vise à provoquer la colère des Tchadiens ».

Pour finir, il impute au président de transition et au Premier ministre la responsabilité de cet échec. Il appelle la transition à prendre des mesures.

Abderamane Moussa Amadaye

Lors de son Assemblée Générale Extraordinaire (AGE) tenue ce 26 octobre, le bureau exécutif de la section syndicale du ministère des Affaires étrangères, des Tchadiens de l'étranger et de la coopération internationale, via la centrale syndicale des agents de l'administration générale du Tchad (CSAAGET) a annoncé un préavis de grève de 72h.

Ils étaient nombreux à prendre part à cette assemblée dont l'objectif est d’évaluer les avancées pour la signature du statut particulier du corps de la diplomatie du Tchad. Après présentation et examen du compte rendu, l'AG a décidé que le corps de la diplomatie tchadienne est l'un de tout premiers à disposer de son statut particulier en son temps mais aujourd'hui, l'un des derniers pays au monde qui ne dispose pas d'un texte pour régir sa diplomatie.

Selon l'assemblée, le Pacte Social triennale préconise avec précision que les droits acquis ne doivent pas être supprimés et la carrière des agents du ministère en charge des affaires étrangères est aujourd'hui complétement bloquée par les textes actuels qui régissent l'administration de tel point qu'aucun cadre n’évoluer en grade jusqu'à sa retraite. Le ministère Secrétariat général du gouvernement et le ministère de la fonction publique n'ont pas donné des raisons à la section syndicale.

L'assemblée estime que tous ces agissements visent à bloquer l'aboutissement de ce projet à la carrière des diplomates, un préavis de grève de 72h est lancé à partir du lundi 30 octobre. « A l’expiration de ce préavis, une grève sèche sera automatiquement entamée ».

Noël Adoum

A l'issue d'une assemblée générale (AG) statutaire tenue sous haute sécurité ce jour 25 octobre que le comité de normalisation de la fédération tchadienne des nouveaux textes sont adaptés par acclamation malgré quelques contestations.

23 délégués de ligues de provinces, des représentants de la Fédération Internationale de Football Amateur (FIFA) et de la Confédération Africaine de Football (CAF) ont clos les travaux à 20h. Après plus de 9h d'échanges tendus, houleux, un consensus s’est dégagé de 6 projets de textes proposés par le comité de normalisation et la commission chargée de la révision ont été adoptés par acclamation malgré quelques contestations.

Me. Jacqueline Moudeïna, présidente du comité de normalisation du football affirme que l'adoption ces textes permet de franchir un cap. « Il y a ceux qui se sont donné le droit, le loisir de semer le doute dans la tête des Tchadiens en nous dénigrant, en baptisant CONOR, CONARD, tout cela on l’a encaissé », dit-elle. Elle dit se réjouir par l’adoption de ces textes qui s’est déroulée d'une façon très correctes, lucides et sincères. Mme Moudeina a aussi dit que la date des élections à la tête de la fédération tchadienne de football est pour bientôt, « la dernière étape sera les élections et nous procéderons aux élections en vous lisant le calendrier qui nous a été envoyé par la fédération internationale de football association (FIFA)... sera mise en exécution pour permettre une élection seine », a-t-elle relevé.

A la fin de cette AGS, quelques dirigeants du football se sont prononcés à notre micro.

Souleymane Daoud, président de la ligue de football du Ouaddaï dénonce la concentration des toutes les activités dans la capitale alors que les potentialités du football tchadien sont en provinces. Toutefois, il se dit satisfait des travaux qui ont abouti à l'adoption des nouveaux textes pour permettre l'organisation dans un proche avenir des élections pour la désignation d'un nouvel exécutif. « Nous allons voter un sportif soucieux du devenir du football tchadien à la tête de la fédération pour redonner le blason à notre sport qui nous est cher », a-t-il laissé entendre.

Pour Rahman Zakaria Rahma, nouveau vice-président de la ligue de N'Djamena, les débats ont été francs, cela a amélioré les textes présentés par le CONOR. « Dans une rencontre qui regroupe plus de 100 personnes, il doit y avoir des mécontents mais dans l'ensemble c'est une très bonne assemblée. Nous sommes satisfaits »,

Abderamane Moussa Amadaye

L’Observatoire Économique et Statistique d’Afrique subsaharienne (AFRISTAT) a organisé ce 23 octobre 2023 la 46ème réunion du comité de direction dans le 8e arrondissement de la capitale tchadienne, N’Djamena.

L'objectif de cette réunion est d'élaborer la vision horizon 2025 qui servira à développer le volet « observatoire économique », sauvegarder l'acquis du centre de référence dans le domaine du renforcement des capacités statistiques afin de continuer d'être l'instrument d'intégration économique en Afrique Subsaharienne.

Pour le ministre de la Prospective Économique et des partenariats internationaux, Moussa Batraki, le conflit entre la Russie et l'Ukraine est venu exacerber les tensions sur le marché des matières premières notamment celui du pétrole, du gaz ainsi que sur celui des produits alimentaires notamment le blé et le maïs, a-t-il dit. Selon le ministre, l’une des conséquences les plus visibles de cette situation d’ensemble reste le renchérissement du niveau général des prix un peu partout dans le monde. Il relève que les perspectives sont en berne car le FMI annonce un ralentissement général de l’activité. « L’Institution de Bretton-Woods indique que la croissance mondiale devrait passer de 3,5% en 2022 à 3% en 2023 et il est projeté un taux 2,9% en 2024 », a-t-il déclaré.

Selon lui, la finalisation du projet de révision du Traité portant création d’AFRISTAT, l'examen des résultats de l'étude stratégique d’AFRISTAT à l’horizon 2035 et les délibérations devant conduire à la proposition au Conseil des ministres de candidats susceptibles d’être nommés Directeur Général de l’Institution à partir de janvier 2024 sont des sujets qui vont impacter la vie d’AFRISTAT.

Noël Adoum  

Dans un point de presse animé ce 21 octobre 2023, le président du parti union des démocrates pour le développement et ne progrès (UDP), Max Kemkoye sur les douloureux événements du 20 octobre, il exige une enquête internationale et une justice internationale. Le président de l'UDP a aussi dressé le bilan de la gestion embrassante de l'an 1 de la seconde phase de transition. 

Pour Max Kemkoye, président de l'UDP, l'effroyable a été atteint le 20 octobre 2022 à la suite de la manifestation réprimée dans le sang à N'Djamena, Moundou, Koumra et Doba. « Ce jour-là, des jeunes tchadiens tombaient par centaines sous les balles assassines de l'ensemble des forces de défense et de sécurité », dit-il. Il relève que le gouvernement, pour se justifier à l'effet de se donner bonne conscience, a qualifié cette manifestation réprimée d'atteinte à la sûreté de l'État et insurrection populaire, affirme M. Kemkoye. S'agissant de responsabilité de cette sanglante répression, le président de l'UDP indique que « les faits sont là, les éléments de forces de défense et de sécurité de façon générale et l'armée en particulier ne répondent qu'à un ordre...en pareille circonstance, tirer à vue ou tirer pour tuer dans une armée ne peut relever de la compétence exclusive de celui qui a le pouvoir de réquisitionner l'armée pour le maintien de l'ordre. Et cette réquisition ne peut se faire que par décret », a-t-il confié à la presse. Face au silence et au manque de crédibilité de la CEEAC dans la facilitation de cette tragédie, selon le Président de l'UDP, son parti promet de se battre aux côtés des victimes pour sauver le Tchad de la junte aux intérêts étrangers en contre partie du pouvoir. « Nous appelons ces gens qui croient qu'ils vont continuer à bénéficier de l'impunité ou qu'il n'y aura pas justice à sortir de leur tanière pour demander pardon car, aucun régime n'est éternel. Et ça sera un Tribunal criminel qui statuera sur leur sort », a affirmé, Max Kemkoye, président de l'UDP. Il poursuit, « le bon sens politique et l'humanisme nous condamnent à s'interdire toute exploitation politicienne de ce drame...nous exigeons l'enquête internationale et la justice pour les victimes...ces morts ne doivent pas servir à rien ou être rangées dans l'oubliettes comme de nombreux événements connus et restés impunis », a-t-il laissé entendre.

M. Max Kemkoye s'est aussi appesanti sur l'an 1 de la seconde phase de transition. Pour le président de l'UDP, les tchadiens vivent les pires situations socioéconomiques et politiques depuis plus de 24 mois dont 12 mois de malheur excessif qu'il résume en 17 points qu'il dénomme « les 17 plaies béantes difficiles à cicatrisées occasionnées par le gouvernement de transition dite phase 2 ». Il souligne l'indifférence et l'irresponsabilité des autorités de transition, l'incapacité à répondre aux urgences économiques et sociales, aux détournements massifs et la destruction de l'économie, l'absence de justice, cherté de vie, des nominations et élévations népotistes, etc.

Enfin, face à ce qu'il qualifie de l'échec total et du pilotage automatique de l'État par des immatures, le président de l'UDP promet que la junte militaire aura le peuple en face. « Partout où règnent ces genres de pouvoir, le peuple a fini toujours par renverser la vapeur car, nous en avions vu et revu les sinistres, célèbres et tout puissants dictateurs finir droit en prison, lynchés par la rue, chassés par les populations, emprisonnés à vie ou tués et exposés. Quelle que soit la puissance d'un dictateur, sa fin a toujours été triste et ils sont légion », conclut, M. Kemkoye, président de l'UDP.

Abderamane Moussa Amadaye

Le Syndicat National des professionnels de l'Administration du Territoire dénonce lors d’un point de presse la gestion de l'administration territoriale, la revalorisation et l'harmonisation de leur traitement salarial.

Mme Ndeingar Sonia la Secrétaire Générale (SG) dénonce les dérives de certains chefs des unités administratives. « Les nominations par le décret présidentiel sont remplacée par des nominations verbales ou par messages », dit la SG.

Elle affirme que la suspension du gouverneur de Wadi Fira par le président de la transition pour cause la nomination par un arrêté des maires de communes et le sultan du Dar Zakhawa est en violation des textes qui régissent les unités administratives, les collectivités autonomes et les chefferies traditionnelles.

Pour elle, le SYNPAT déplore la militarisation et la politisation de l'administration publique. Pourtant, dit-elle, le ministère dispose des cadres formés à École Nationale de l’Administration (ENA) du pays, de l’étranger. Et qui traînent dans les couloirs du ministère. « La plupart des gouverneurs, des préfets et des sous-préfets sont des militaires sans aucune notion et références de la fonction Publique ». Selon le syndicat, ces pratiques sont perpétrés par les tout-puissants gouverneurs sont la plupart des généraux qui ont fait de la mauvaise gouvernance des unités administratives une règle. Conséquence : les populations sont arnaquées.

Le Synpat condamne ces dérives et propose au président de transition de procéder à des nominations sur la base des critères définis par les textes de la République. Il doit aussi s’investir dans le dossier de la revalorisation et de l'harmonisation salariale des agents de commandement du ministère.

Ousmane Bello Daoudou

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