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Le coordonnateur du projet de l'Association des Jeunes pour le Développement de la Région du Barh El Ghazal (AJDB) Yacoub Mahamat Nahar a animé un point de presse ce samedi 8 juillet 2023 au centre culturel Almouna. Dans sa déclaration, il a souligné les objectifs du projet de structuration et de renforcement des politiques de développement de la région du Barh El Ghazal (PREBARH – EL Ghazal).

Sous le slogan, « Bahr El Ghazal vers une région unie et développée par ses dignes fils et filles », le coordinateur du projet affirme que l'objectif du projet est de faire un rapport général sur la situation du développement de la province du Barh El Gazel (RGSDB). Et de mettre en place une politique de renforcement pour la création des stratégies et des solutions pour répondre à toutes les questions qui freinent le développement de la province, a-t-il souligné.

AJDB s’est prononcé aussi sur la question de la forme de l’État débattue lors du Dialogue national inclusif et souverain (DNIS). « C'est un devoir en tant qu’acteur du développement de trouver la meilleure manière de mettre dès aujourd’hui la politique et la stratégie décentralisée pour le développement de chaque province. « Le projet PREBARH EL-Ghazel est un projet qui arrive au bon moment avec la refondation et la construction des bases solides pour un développement inclusif au Tchad où tout le monde sera considéré à égalité de chances ».

Le coordonnateur appelle le gouvernement de transition, les partenaires du Tchad, les cadres, les commerçants, les jeunes et la population du Barh El-Gazel à accompagner cette initiative portée par les jeunes de la province afin de trouver ensemble des solutions aux problèmes de développement de la province du Barh El Gazel.

Noël Adoum

La coordination nationale de la plateforme citoyenne le Tchad d'abord a organisé un point de presse sur la situation des réfugiés soudanais au Tchad ce 8 juillet 2023 à son siège du bureau national au quartier Mardjandaffack dans le 2e arrondissement de la ville de N’Djamena.

Djadodde Békoutou Isidore porte-parole indique que l'objet de ce point de presse est de parler de la situation sociale et humanitaire qui prévaut à l'est du Tchad à la suite de la suite de la guerre civile en cours au Soudan. « La situation déjà chaotique à tous les niveaux et la raréfaction des ressources risque de pousser l’état actuel à devenir explosif si rien ne change ».

Selon lui, il est difficile d'établir un nombre exact à cause de l’afflux constant des réfugiés. À cela s'ajoutent les réfugiés camerounais et centrafricains. « Cette situation de crise humanitaire mérite d'être traitée rapidement », dit-il.

Selon M. Békoutou, pour éviter que cette crise ne finisse par exploser et que le Tchad ne puisse être à mesure d'y faire face tout seul, la coordination de la plateforme « Le Tchad d'abord » demande aux partenaires un appui considérable au Tchad pour gérer ces réfugiés de différentes nationalités et de diverses provenances.

Enfin, la plateforme lance un appel aux organisations internationales et aux bonnes volontés de venir en aide à l'État tchadien, aux communautés locales et aux ONG nationales.

Ousmane Bello Daoudou

Le président du parti Rassemblement pour la Justice et l'Égalité au Tchad (RAJET) Ordjeï Abderrahim Chaha a fait une déclaration dans laquelle, il appelle à une manifestation pacifique le 14 juillet 2023.

Plusieurs citoyens tchadiens se sont réunis à la rue de 40 mètres pour faire une déclaration. Le président de RAJET Ordjeï Abderrahim Chaha affirme que l'objectif de cette rencontre est de soutenir l'initiative de la commission de l'Union africaine (UA) qui demande au président de Mahamat Idriss Deby de ne pas se présenter aux prochaines élections. « Cet homme aux idées farfelues et aux initiatives macabres a fait tant du mal au peuple tchadien. Il doit-être mis à l'écart de la gestion du Tchad », peste-t-il. Il exhorte les partenaires du Tchad à emboîter le pas de l'UA et à signifier clairement aux putschistes qui ne pourront pas se présenter aux prochaines élections.

M. Ordjeï demande à tous les partis politiques de l'opposition crédible au Tchad ainsi que toutes les organisations de la société civile d'être solidaires afin de soutenir cette initiative salvatrice pour notre pays que l'UA a prise, « j’interpelle les pays qui se disent amis du Tchad et qui manigancent sur notre dos pour instaurer une dynastie néfaste dans notre pays à ne pas s'ingérer dans les affaires internes et essayées de respecter la décision de l’UA ».

M. Ordjeï estime que cette transition au Tchad a fait tant du mal dans ces 2 ans et doit-être stopper. M. Il a profité pour présenter les vrais ex-détenus du parti les Transformateurs des évènements du 20 octobre qui sont libérés après une longue lutte « contrairement aux faux ex-détenus que le gouvernement présenté au palais devant la presse, ceux qui sont présents aujourd'hui à nos côtés sont de vrais détenus », a-t-il dit. M. Ordjeï juge nécessaire d'organiser une marche pacifique le 14 juillet 2023 pour soutenir l'initiative de l'UA.

Ronald Nodjitoloum victime du 20 octobre témoigne qu'ils ont été arrêtés dans la nuit du 19 octobre 2022 devant le siège du parti Les Transformateurs et amenés à l'ex-école de police de Diguel puis déportés directement vers la prison de Korotoro. Il affirme qu'ils ont fait 3 jours dans en route sans boire ni manger. Il poursuit, « une fois arrivé à Korotoro, on a subi toutes sortes de souffrance, certains d'entre nous sont morts, d'autres sont bastonnés avec des fers de 8 et 6. Après on a subi un jugement tordu » a-t-il déploré.

L’ex-détenu réclame justice et égalité dans son témoignage. « On ne veut pas de la confiscation du pouvoir par l'armée parce que la jeunesse a beaucoup souffert. Mon unique souhait c'est de voir le président de transition Mahamat Idriss Deby ne pas se présenter à l'élection présidentielle ».

Pour lui ceux qui ont été présentés avant-hier ne sont pas de vrais ex-détenus. « Ils ont été payés pour se présenter comme des victimes. Nous, les victimes de 20 octobre demandons la liberté, la justice et l'égalité ».

Noël Adoum

Le parti Mouvement national pour le changement au Tchad (MNCT) a organisé un point de presse cet après-midi à son siège au quartier Amtoukouin pour informer, disent-ils, l'opinion nationale et internationale sur la bagarre qui se produit le 1er juillet 2023 aux palais des arts et de la culture

Selon Me Taira Tchangbelé Stéphane avocat du parti, un groupuscule avec à sa tête un ex-militant suspendu de toutes activités du parti depuis le 18 janvier 2023 par la décision 001 /MNCT /PN /2023 du Bureau exécutif (BE) et du parti pour trahison et manquements graves.

M. Ibrahim Abderamane Ahmat, ex-militant, soutient qu’en date du 26 juin les militants du MNCT dans leur ensemble ont tenu un congrès extraordinaire conformément aux termes de l'ordonnance numéro 5 /CS/CA /SG/2023 portant suspension du meeting du 08 février du parti rendu par la chambre administrative de la Cour suprême conformément à l'article 14 du règlement intérieur du parti, les congressistes ont, dans l'unanimité, reconduit le président national M. Mahamat Ahmat Lazina et réaménagé le BE en toute transparence, dit-il. Selon lui, c'est ainsi que « M. Ibrahim Abderamane Ahmat ne pouvant pas ravaler sa colère veut organiser un congrès parallèle en mobilisant quelques individus dans la rue et les a conduits au palais des arts et de la culture afin de perturber le congrès ».

Me Tchangbelé affirme que vu ce désordre, les cadres et les membres du BE ont prévenu les autorités politiques, la justice pour dissuader ce dernier de ses intentions provocatrices et sollicite la libération de ses 6 militants arrêtés et détenus illégalement au Commissariat de la Sécurité publique numéro 8 de la ville de N’Djamena.

Ousmane Bello Daoudou

La coordination des actions citoyennes a organisé une conférence de presse ce jeudi 6 juillet à la Bourse du Travail pour parler de l'évolution de la transition et les perspectives politiques du pays.

Soumaine Adoum porte-parole de Wakit Tamma affirme que la période de la transition est une période spéciale. « On ne peut pas entrer dans une transition n'importe comment ? Et pour n'importe quelle raison ? » Pour lui, quand on entre dans une transition c'est parce qu'il y a un problème sérieux qui a touché la République. Et la période de transition consiste à apporter des réponses concrètes pour changer la destinée du pays.

Selon lui, le 20 octobre reste présent dans les esprits. La transition n’a donné aucun gage pour assurer l’alternance, au contraire elle tente de s’accrocher. Et rejette toute transparence avec les forces vives nationales et ses partenaires. « Cela se voit dans la mise en application du cahier de charges du dialogue national, les recommandations de l'Union africaine (UA) ainsi que de la communauté internationale. Vu toutes ces situations, Wakit Tamma propose une réforme honnête de la gouvernance électorale qui garantit les élections transparentes ».

Wakit Tamma estime que la CONOREC, la chambre constitutionnelle, l’administration territoriale ne sont pas des institutions fiables. Il propose que les magistrats de la Chambre constitutionnelle soient élus par leurs paires sur la base de critères moraux, de compétence et de neutralité. « Les mêmes critères doivent être appliqués aux postes de nomination avant les élections ». Wakit Tamma demande aussi l'élaboration d’un cahier de charges pour assurer la neutralité des forces armées pour que l’armée nationale se consacre à la sécurisation des élections. Toujours selon la coalition Wakit Tamma, il faut mettre en place un cadre de dialogue quadripartite, gouvernement, police-militaire, les partis politiques et les organisations de la société civile pour réviser les conclusions de dialogue national.

Pour finir le porte-parole dit, « si le président de la transition tient au respect de serment d'officier supérieur de ne pas trahir la parole donnée et les engagements qu'il a pris de bien mener la transition afin de rendre le pouvoir au civil, il doit tenir compte de ce que nous lui disons ».

Ousmane Bello Daoudou

Cet après-midi 5 juillet 2023 a eu lieu la cérémonie de passation de service à la tête de la Gendarmerie nationale, à Kléssoum, banlieue Est de la capitale tchadienne, N'Djaména.

Après une pluie diluvienne et sous la boue que le Directeur général, le général Ismat Issakha Acheikh, a passé le flambeau à l'entrant, général Ahmat Youssouf Mahamat en présence du ministre de la Sécurité publique et des cadres de l'armée nationale.

Pour le sortant, les 8 mois passés à la tête de cette institution ont été cruciaux, l’augmentation des moyens roulants et le rehaussement de niveau de professionnalisme des personnels, « cela a permis à la gendarmerie de pouvoir afin être disponible en tout temps et à tout moment pour sécuriser les personnes et leur bien », dit-il. Il a indiqué aussi qu’une tournée dans les provinces a permis d'instruire aux gendarmes d’agir avec fermeté, de lutter contre la corruption et le laxisme. Il a salué aussi le travail abattu par les différentes unités contre les malfaiteurs, les délinquants et autres fauteurs de trouble dont plusieurs ont été appréhendés et transmis à la justice. « De plus, certaines unités continuent à l'heure actuelle de sécuriser les couloirs de transhumance juger vulnérables ou à haut risque, d'autres encore sécurisent et protègent l'afflux des réfugiés à l'Est du pays », a-t-il confié.

Pour terminer, il invité ses désormais ex-collaborateurs à garder le même élan avec le nouveau DG afin le servir la population et ses biens. Le nouveau DG a pris la parole en remerciant le Président de transition d'avoir placé sa confiance à lui. Il a demandé à ses collaborateurs et à la troupe sur le terrain de collaborer et d’assurer la sécurité des citoyens et leurs biens, un devoir, a-t-il dit.

Abderamane Moussa Amadaye

Depuis la mise en retraite des hauts officiers de l'armée tchadienne un mécontentement s'est installé. Au sommet de la hiérarchie. Des généraux, pas les moindres s'opposent cette décision du président de transition.

Selon nos sources, ces généraux ont fait parvenir un message au président de la transition exigeant l’annulation du décret les renvoyant à la retraite. Lors de cette rencontre qui a eu lieu samedi passé, les deux émissaires ont fait passer le message : l'annulation du décret qu'ils jugent anormal dans un tel climat, le renvoi du contrôleur général des armées, général Saleh Ben Haliki, et enfin le limogeage du Ministre Directeur de Cabinet Civil, Idriss Youssouf Boy.

Selon nos sources, le limogeage du Général Saleh Ben Haliki n’a finalement pas eu lieu. Aux dernières nouvelles M. Haliki a été promu chef d'État-Major Particulier en remplacement du Général Bichara Issa Djadallah récemment admis à la retraite.

Depuis hier, un important déploiement des soldats est constaté dans les artères de la ville de N’Djamena. Cette forte présence militaire va du rondpoint double voies à la rue de 40 mètres jusqu'aux différents quartiers du grand Farcha. Une atmosphère pas normale enveloppe la capitale.

La rédaction

L’ancien vice-président du parti Les Transformateurs, Moustapha Masri crée son parti, baptisé, le parti pour la Paix et Cohésion Sociale (PCS).

C'est sous le folio 559 du ministère en charge de l'administration du territoire que le parti est officiellement reconnu annonce l’ex-numéro 2 de Succès Masra. Il a affirmé à la rédaction que son parti est rassembleur, pour l’unité, la paix et aspire à participer à la réussite de cette transition en cette phase déterminante de la vie politique du pays. « Le sentiment qui nous anime est un sentiment de bonheur et de fierté pour nos militants et pour le peuple tchadien », a déclaré Masri. Il estime que la validation de son parti montre que le Tchad n'est pas seulement dans la démocratie, mais aussi dans la consolidation de cette démocratie pour permettre au présent de préparer un futur radieux pour le Tchad.

Selon M. Masri, l'honneur revient au gouvernement d'union nationale à leur tête le président de transition, Mahamat Idriss Deby Itno. Sur son passé politique avec les transformateurs, M. Masri répond que ce nouveau parti aura une ligne diamétralement opposée à celle de son ancien parti. « Nous serons sur nos bases unitaires, nous ferons de la pédagogie et éduquerons notre peuple pour permettre l'avènement d'un Tchad nouveau ». Il soutient que le peuple tchadien souffre et en est assez, « il tire le diable par la queue. Ce parti est là pour élever le peuple. Nous tenons à être différents des autres partis, mais dans la complémentarité en faisant des actions concrètes sur le terrain tout en créant de l'emploi, générer des revenus, etc. ». M. Masri indique que le parti compte déjà à son actif 20.000 adhérents. Ils ont adhéré en ligne ou par une fiche, on y retrouve les anciens militants des transformateurs et aussi des engagés en politique qui épousent notre projet pour ce pays, a-t-il expliqué. Pour les futures échéances électorales, M. Masri dit son parti sera sur tous les fronts politiques pour la conquête et l'exercice du pouvoir.

Abderamane Moussa Amadaye

Une Assemblée Générale de l'Ordre National des Architectes du Tchad (ONAT) s'est tenue ce samedi 1er juillet dans la salle multimédia au Centre d'Étude de Formation pour le Développement (CEFOD). Ordre du jour : plan d'action (PA) 2023-2025.

Le secrétaire général Abdelkader Djidda a présenté plusieurs axes du PA. Pour lui, le redressement de l'ONAT est reparti en quatre actions. Notamment la demande des audiences avec les autorités, dont l'évaluation est de 1 million, la réforme et l'harmonisation de texte de l'ONAT, la relecture de texte, le lancement de concours, etc.

Le président de l'ONAT Senoussi Ahmat Senoussi a lancé un appel au gouvernement de leur donner accès à l’administration publique pour rencontrer tous leurs grands décideurs administratifs pour faire de N'Djamena une ville verdoyante attractive et là où il fait bon vivre.

Selon lui, « A la veille de la saison de pluie, l'inondation va venir bientôt et on aimerait que toutes nos réflexions se focalisent pour les longs termes. Le quotidien d'urgence ne peut que résoudre les problèmes actuels, mais pour le futur. Il faut que les architectes soient présents pour accompagner nos villes ».

Pour l’ONAT toutes ces occupations anarchiques, tous ces espaces publics qui deviennent des propriétés privées peuvent redevenir publics. Ce sont des endroits qui permettent l'écoulement des eaux de pluie. Ils sont hélas quasiment bloqués.  M. Senoussi affirme, « en pleine vacances on aimerait voir nos enfants dans des lieux sécurisés et non sur les voies publiques.  L'équipe est motivée pour réaliser tout ce plan d'action avec la forte volonté politique des autres et l'aide de Dieu ».

Enfin la secrétaire aux Finances Loubna Matar Hissein, a lancé un appel à ses confrères et consœurs de mettre leurs cotisations à jour, « ensemble nous réaliserons ces actions très importantes ».

Noël Adoum

L'Alliance Citoyenne pour l'État fédéral au Tchad (ACEFT) Natoi-Allah Ringar a animé un point de presse ce vendredi 30 juin au cours duquel, elle a dénoncé l'adoption du projet de loi de la Constitution.

Le porte-parole de l’ACEFT M. Natoi-Allah Ringar affirme que lors de la conférence nationale et souveraine de 1993, les participants ont jeté leur dévolu sur la décentralisation vantée comme étant la forme de l'État qui satisfera la démocratie tchadienne. « La population qui a cru à ce changement a vite déchanté ». Le fédéralisme est la voie royale pour gérer la diversité socioculturelle et politique du pays.

Dans son plaidoyer pour le fédéralisme, le porte-parole a souligné 12 vertus de la fédération notamment. Il qualifie l’État unitaire de système des « voleurs politiques de la république ». Et affirme, « les promoteurs de cette machine ont une stratégie et plan de détournement. Voler l'avenir, les rêves, la passion, le salaire, l'éducation, la santé, la force et la joie des autres pour développer leur propre région ». Seul l'État fédéré bloque et empêche le détournement de deniers publics, a dit-il. Un digne fils d'un État fédéré ne peut ni piller ni détourner les biens de son État. La fédération est une alternative pour contrecarrer les plans des partisans de l’État unitaire. « L'État fédéral mettra fin aux gouvernements des illettrés et des incompétents armés ». Il fera disparaître le complexe de supériorité ou d'infériorité de certains « aucune ethnie ne sera supérieure aux autres, aucune ethnie n'a aura plus de droits que d’autres, aucun éleveur armé ne peut détruire les champs d’un agriculteur. Les éleveurs seront systématiquement désarmés. Personne ne pourra être traité de Abite, Kirdi, Doum c'est la fin de la haine tribale et religieuse », dit-il.

Selon les fédéralistes, la fédération éradiquera l'exploitation de l'homme par l'homme et bannira « le business de la rébellion » qui coûte des milliards au Trésor public. Il poursuit en soutenant que l'État fédéral empêchera les riches de s'enrichir quotidiennement sur les pauvres.   

Avec véhémence, M. Ringar affirme que, les filles, les enfants, les femmes, dans un État fédéral, seront protégés, défendus et sécurisés. Toujours selon lui, « notre pays le Tchad est enterré et vendu ce 26 juin 2023 par les vendeurs d'illusions en quête de gain facile. L'adoption du projet de constitution de l'État unitaire par les conseillers nationaux de transition acquis à la solde de la junte au pouvoir tombe comme un coup de massue sur la tête des Tchadiens ».

L'alliance citoyenne pour l'État fédéral du Tchad, condamne cette adoption. Elle rejette cette démarche boiteuse qui viole allègrement les résolutions et recommandations du DNIS et demande au gouvernement et au président de transition d'annuler sans délai cette adoption qui mettra en péril l'unité nationale et la cohésion sociale.

Noël Adoum

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