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La Cour Suprême a jugé recevable une plainte de suspension des effets de la résolution à l'élection à la présidence du parti le Rassemblement pour la Démocratie et le Progrès (RDP) Selon nos sources, l’entourage du président suspendu organiseront une rencontre avec la Presse bientôt.

M. Mahamat Moctar Ali militant du parti conteste l’élection de M. Allahou Taher. Il dit, «depuis deux ans je lutte pour que la vérité prenne le dessus sur le mensonge, la manipulation, le faux et diverses manœuvres lors de convention qui a vidé de toutes substances démocratique légale et consensuelle le parti ». Il affirme que le parti a fait preuve de sagesse, de patience et félicite la courageuse et sage décision de la Cour suprême.

Toujours selon lui, le temps de la refondation du parti est arrivé, non à l'exclusion parce que le RDP n'appartient pas à un individu moins encore à un groupe d'individus, mais à tous les adhérents, à ses idéaux, principes et valeurs.

Ensuite, M. Moctar Ali demande aux militants de rester calmes et sereins le temps qu'une structure en charge de l'organisation d'une convention extraordinaire soit mise en place sous la supervision de l'administration du parti. « Le RDP doit repartir sur de nouvelles bases démocratiques. Et confier son destin durant 4 ans à un militant sérieux pour perpétuer les idéaux du parti ».

Ousmane Bello Daoudou

Le Collectif des avocats de la famille de Marius M’Baïnarem dénonce la sortie médiatique de conseil de son assassin lors d’un point de presse à la maison de Médias du Tchad.

Me Clarisse Nomaye représentante du le collectif des avocats  a exprimé la surprise de la famille et des avocats de constater la sortie médiatique du conseil du présumé assassin. Une sortie dit-elle pour créer la confusion, semer le doute et orienter à dessein l'enquête en cours.

Elle affirme, « lorsqu'un dossier est entre les mains d’un juge d'instruction, les règles exigent, des deux parties concernées par l'affaire, de laisser le magistrat instructeur conduire ses investigations loin de la pression médiatique ».

Le Collectif invite l’avocat de l’accusé de respecter la mémoire du défunt, le deuil de la famille et le principe du secret de l'instruction pour que la justice travaille sans pression.

Pour rappel, le 8 février 2024 le jeune Marius a été assassiné devant une boîte de nuit au quartier Kabalaye dans le 3e arrondissement. Le présumé assassin a été arrêté et désigné responsable du tir des balles ayant causé la mort. Il a été déféré devant le procureur de la République près le Tribunal de Grande instance puis confié à un juge d'instruction à la suite de l’ouverture d'une information judiciaire.

Ousmane Bello Daoudou

Lors d’un point de presse tenu ce 07 février 2024 à son siège national au quartier klemat, dans le 2ème arrondissement municipal, le parti Union pour la Refondation du Tchad (URT) dénonce la gestion de la Transition.  

Selon le président du parti Monsieur Siddikh Abdelkerim Haggar, la cinquième république née d'une nouvelle Constitution s'installe avec une célérité inouïe dans les mêmes méthodes pour légitimer l’inadmissible. Il ajoute, des combines anti-démocratiques se font en complicité avec des cadres véreux placés dans les positions stratégiques de l'administration et l’opposition politique n’est pas consultée lors de l'élaboration de ces lois.

Pour Monsieur Siddikh Abdelkerim Haggar, face à ses inquiétudes et aux défis politiques, électoraux, socio-économique et sécuritaire, le moment d'engagement de la lutte politique est arrivé. Il affirme que son parti utilisera les moyens démocratiques pour instaurer une véritable démocratie, pour un pouvoir légitime élu à travers des élections libres, crédibles et transparentes. Ensuite, il appelle les partis politiques d'opposition à une synergie d'action pour faire barrage aux magouilles électorales en cours.

 Le parti URT interpelle également le premier ministre qui, depuis sa prise de fonction ne semble plus se préoccuper des questions de liberté, de démocratie, de justice et d'égalité qu'il a tant défendu des années durant au prix de sacrifice inestimable.

Ousmane Bello Daoudou

Les Centrales syndicales et les syndicats professionnels signataires du pacte social triennal du 04 Octobre 2021, ont organisé une conférence de presse ce 6 février 2024 à la Bourse du Travail. Leur échange est axé sur la non-application des clauses du pacte. Reportage.

La plateforme Syndicale Revendicative composée de plusieurs organisations syndicales du Tchad (UST, CIST, SYNECS, SYMET, CLTT, CST) a signé le 04 octobre 2021 le pacte social triennal. L’évaluation qui a duré 2 mois a été faite en présence du gouvernement représenté par plusieurs ministres. Le président de l'Union des Syndicats du Tchad relève à travers un tableau synthétique que deux ans après, le résultat de cette évaluation est très décevant au niveau d'exécution du pacte.

Selon les plateformes syndicales, au terme de l'évaluation de l'exécution du pacte social triennal en date du 15 Octobre 2023, deux réunions se sont tenues à la demande des Syndicats avec le premier ministre de transition pour élaborer un chronogramme d'exécution des clauses du pacte. Elles estiment qu'il n'y a pas de volonté politique jusqu'au départ du précédant premier ministre de transition car aucune suite n'a été donné aux attentes des partenaires sociaux alors que le pacte social triennal expire le 04 octobre 2024.

Suite au faible résultat, les partenaires sociaux signataires du pacte social ont décidé de demander une audience auprès du président de transition, par ailleurs garant du pacte social triennal depuis le 16 janvier 2024.

Les plateformes estiment que les militants de base commencent à réagir et le risque des troubles sociaux est de plus en plus élevé. Elles demandent au gouvernement de réagir dans un délai d'une semaine pour passer à l'application immédiate du pacte. En même temps, elles demandent à leurs militants de rester mobilisés, vigilants et attendre les mots d'ordre des plates formes syndicales.

Noël Adoum

Le président du parti Union des Démocrates pour le Développement ( UDD) Dikbo Hubert a animé une conférence de presse ce samedi hier février 2024 dans la ville de Pala, capitale du Mayo-Kebbi Ouest. Un échange au cours duquel, il dénonce   l’adoption et la promulgation de la loi sur l'Agence Nationale de Gestion des Élections (ANGE).

Le président du parti l'UDD affirme qu’à peine une nouvelle constitution validée une mise en scène, un complot ourdi pour enterrer la démocratie et museler les voies de libertés et d’expression. « L’adoption et la promulgation de la loi sur l'Agence Nationale de Gestion des Élections (ANGE) qui remplace l’ancienne Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), sont un coup de poignard dans le dos du peuple tchadien. Cette loi brise définitivement le rêve des Tchadiens d’espérer aux futures élections libres et transparentes», a-t-il indiqué.

Il souligne que les membres de l'ANGE sont tous nommés par le pouvoir en place. Ils ne sont pas désignés de manière consensuelle et représentative dans le rang des partis politiques et de la société civile. «Nous savons que l’actuelle Assemblée nationale qui a voté cette loi ne représente pas le peuple tchadien, mais elle est au service du pouvoir», dit-il.  Cette refondation du Tchad dont on chante à longueur de journée n’est qu’un écran de fumée pour maintenir les Tchadiens dans la misère.

Le parti interpelle le président de la transition sur les promesses tenues lors de sa tournée dans le Tchad profond y compris le Mayo-Kebbi Ouest où il a promis de régler plusieurs projets classés sans suite. Il estime que le Mayo-Kebbi Ouest a toujours été remercié en monnaie de singe depuis l’indépendance. La province est restée égale à elle-même, « meurtrie et dans le gouffre. Pas de route, ni eau ni infrastructures scolaires et sanitaires ».

Noël Adoum

Par une conférence de presse animée ce matin 2 février au centre Al Mouna, plusieurs lauréats de la 24ème promotion des médecins formés au Tchad regroupés au sein d'un Comité représentatif réclament leur intégration à la fonction publique de manière exponentielle et sans délai.

Au chômage depuis la fin de leur formation, plus d'une année, la 24ème promotion de la médecine chôme. Elle conteste cette condition qui lui est infligée par le slogan " Stop chômage des médecins, trop c'est trop ". Pour ces médecins au chômage, le besoin est criard sur l'ensemble du territoire national surtout avec l'afflux des réfugiés soudanais à l'Est du pays. Pour Dr Mahamat Brahim Dahab, président de ce Comité, l'État a investi dans leur formation c'est pour répondre à un besoin, celui de la couverture sanitaire qui reste un véritable défi, dit-il.

Les médecins en instance d'intégration à la fonction publique exhortent les plus hautes autorités à prendre conscience de ce problème. Le Comité indique constater avec amertume que cette volonté politique à traduire dans le fait l'assurance de couverture sanitaire est loin d'être une réalité. Il indique qu'au Tchad le ratio recommandé par l'organisation mondiale de la santé d'au moins 2,3 médecins pour 1000 habitants reste une utopie au Tchad. « Ici, nous sommes à un médecin pour 28.466 habitants », a-t-il relevé. Malgré ce déficit, les lauréats de la 24ème promotion disent qu'il compte au total plus de 200 médecins en attente d'intégration mais l'État fait la sourde oreille. « Chaque jour les tchadiens meurent parce qu'il n'y a pas de médecins dans les hôpitaux. Pourtant, ceux qui sont formés sont poussés au chômage », indique le président du Comité.

Par se faire, le comité réclame l'intégration de manière exponentielle et sans délai des médecins et lance un appel au Président de Transition afin d'entendre leur cri. « Donnez-nous l'opportunité de servir, la nation, de contribuer à réduire la mortalité maternelle et infantile. Nous sommes prêts à contribuer à construire une nation en meilleure santé. Ceux qui ont été formés au Cuba ou ailleurs ne sont pas meilleurs que nous. La formation sanitaire est universelle. Nous pouvons relever le défi », a-t-il conclu.

Abderamane Moussa Amadaye

Par une conférence de presse animée ce dimanche 21 janvier 2024 à Ouagadougou, le centre Thomas Sankara pour la libération et l'unité africaine apporte son soutien indéfectible et sans faille à l'alliance panafricaine UMOJA-Toumaï pour sa lutte contre l'ingérence de la France au Tchad. 

Fatou Balora, responsable du centre Thomas Sankara pour la libération et l'unité africaine justifie cette décision par le fait que le Tchad et le Burkina Faso vivent depuis l'accession à leur indépendance une domination outrancière de l'impérialisme tout genre accentué par le néocolonialisme français, dit-elle. « Nos deux peuples vivent le même problème, ils sont tout d'abord des pays super exploités dans le cadre du système capitaliste mondial soumis à un régime néocolonial pendant des années malgré nos efforts et nous partageons les mêmes destins en tant qu'Africains qui se battent pour l'unité de notre grand continent après notre division par des colons regroupés à Berlin en 1884. Mais surtout, nous vivons la terrible réalité de cette colonisation française qui, depuis plusieurs centenaires, cherche par tous les moyens à se perpétuer sur nos territoires, avec ses lots de souffrance et de déshumanisation », a affirmé Mme Fatou. Elle ajoute aussi que ce soutien se justifie par le fait que les Tchadiens ont exprimé leur désir de vouloir rejoindre l'Alliance des États du Sahel (AES) et demander le départ de l'armée française du pays de Toumai. « Les frères africains du Tchad ont décidé de prendre leur destin en main. Ils sont en train d'affronter les mêmes forces qui nous ont été imposées par un terrorisme créé et soutenu par ces forces du mal, ces loups qui se présentent sous la peau d'agneau. Le destin de ce peuple se joue et nous frères africains du (Niger, Mali, Burkina) ne pouvons rester indifférent à cette lutte engagée par nos frères du Tchad », a indiqué Mme Fatou. Elle poursuit que c'est à ce titre que le centre Thomas Sankara pour la libération et l'unité africaine a décidé de soutenir cette noble lutte pour l'indépendance effective et la dignité des Tchadiens et au-delà africaine. « Notre objectif final est la libération totale et l'unification complète de l'Afrique. Tant que l'Afrique ne sera pas libérée du néocolonialisme et unifiée, aucun d'entre nous ne sera libre. Nous appelons tous les Africains du monde entier à nous tenir fermement aux côtés du Tchad », conclut Mme Fatou Balora, responsable du centre Thomas Sankara pour la libération et l'unité africaine.

Abderamane Moussa Amadaye

Au cours d'un point de presse mardi 23 janvier 2024 le vice-président du Mouvement National  pour le Changement au Tchad (MNCT) Marc Gougouma Maïna plaide le retour de leur président du parti Mahamat Ahmat Lazina parti en exil il y a une année.

Le MNCT demande au président de transition Mahamat Idriss Deby Itno de joindre l'acte à la parole pour faciliter le retour de leur président Mahamat Ahmat Lazina au pays rapidement afin qu'il puisse jouir de ses droits civiques et politiques.

M. Marc Gougouma Maïna, affirme que la jeunesse tchadienne est égoïste quand il s'agit de la paix, la stabilité, la cohabitation pacifique et de l'unité nationale, « l'absence de notre leader est difficile, mais il faut de la volonté, du courage et de la détermination, pour qu'ils posent les fondations, poursuivre leurs efforts pour bâtir un MNCT fort sous la clairvoyance de notre président afin de bâtir l’avenir dans un Tchad réconcilier », a-t-il dit.

Le MNCT souligne que la main tendue du président de transition devrait être sincère suivie d'une réconciliation non sélective. Une réconciliation qui doit faire renter tous les acteurs de la vie politique en mettant l'intérêt général avant toute considération politique, dit-il.

Le parti rappelle que Mahamat Ahmat Lazina était le seul leader à avoir mobilisé sa formation politique et a lancé un appel à tous les Tchadiens à participer au Dialogue National Inclusif et Souverain (DNIS) devant 55 000 personnes au Stade Idriss Mahamat Ouya le 22 Janvier 2022. « M. Lazina a servi son pays avec dévouement et loyauté en tant que ministre pendant 20 mois. Il ne mérite pas cet exil politique forcé », disent les membres du MNCT.

Le parti appelle le président de transition à s'impliquer personnellement pour faciliter le retour de leur leader.

Noël Adoum

Lors d’un point de presse hier lundi 22 janvier, une plateforme dénommée, « Coalition républicaine contre l'impérialisme et l'ingérence extérieure au Tchad » est mise sur pied par le Groupe de concertation des acteurs politiques (GCAP). Elle regroupe une dizaine de partis politiques de l'opposition. Avant de finir, M. Djona invite la France à plier bagage de pays de Toumai, « l'heure est venue de laisser le Tchad aux Tchadiens », dit-il.

L'objectif de cette coalition, disent les organisateurs, est pour faire bloc contre l'immixtion de la France dans les affaires internes du pays. Pour Professeur Avocksouma Djona, président du parti les démocrates, le Tchad depuis son accession à l'indépendance est sous le joug du néocolonialisme français, « tout se décide par la coloniale France. Le Tchad, notre pays, se dit État indépendant et souverain depuis le 11 août 1960, mais ses ressources, son système politique et éducatif, et sa gestion en tant que pays sont entre les mains de la France qui s'accapare de tout, contrôle tout et dicte tout, au point de choisir comment nos dirigeants doivent être choisis, qui doit être choisi, comment ceux-ci doivent se comporter, agir et parler », martèle M. Avocksouma. Il estime que le moment est arrivé pour que les Tchadiens décident de s'affirmer comme un peuple. Et se libérer définitivement des oripeaux colonialistes et des vestiges tels que, les bases militaires françaises, la prédation économique et d'esclavage institué via la monnaie des colonies (le franc CFA), etc. « En tant que citoyens notre ultime responsabilité patriotique est de défendre et de protéger notre partie et sa souveraineté. Nous décidons d'unir nos forces et nos énergies pour mettre fin à l'ingérence extérieure et défendre les intérêts de notre pays », dit-il.

L'ancien ministre de la Santé, Avocksouma Djona, rappelle à la France que le Tchad ne se laissera plus faire. « La France continue à s'entêter. Nous rappelons à ses dirigeants qu'il y a désormais au Tchad des patriotes pétris dans l'âme qui ne se laisseront plus faire et qui aiment leur pays. Nous ne courberons plus l'échine ».

Avant d'annoncer la mise sur pied de la coalition, il a rappelé, sous forme d’interrogation, le passé historique entre le Tchad et la France entre les deux guerres mondiales . « La France de Macron aurait-elle la mémoire courte? Oublierait-elle que sa libération en 1945 était essentiellement possible grâce au sacrifice des Tchadiens? Se souvient-elle encore du régiment de marche du Tchad (RMT) qui était un régiment d'infanterie de l'Armée de Terre Française ? La France de Macron oublierait-elle que pendant que les Tchadiens étaient au front pour défendre la France, certains Français n'étaient des collaborateurs? Se souvient-elle encore que sur les 1038 combattants de la Deuxième Guerre mondiale faits compagnons de la libération par le Général De Gaulle »

Enfin, il invite les tchadiens à une prise de conscience citoyenne pour faire bloc contre l'impérialisme français au Tchad et ses alliés. « Peuple tchadien, nous avons assez dormi. Il est grand temps de nous réveiller et de nous battre pour notre patrie ».

Abderamane Moussa Amadaye

Une Assemblée générale (AG) de l'Union Nationale des Étudiants tchadiens (UNET) section de N'Djamena organisée ce lundi 22 janvier a tourné en bagarre entre le nouveau et l'ancien bureau de l'UNET. La scène s'est déroulée à l'université de N’Djamena, à la faculté d'Ardepdjoumal dans le 6e arrondissement de la capitale tchadienne.

L’AG des étudiants des facultés d’Ardep-Djoumal a été sabotée par les membres de l’ancien bureau de l’UNET. L'ancienne équipe mécontente a débarqué en pleine séance de travail. Une bagarre rangée a alors éclaté  entre les deux équipes faisant des blessés. Les forces de l’ordre sont rapidement intervenues en faisant usage de gaz lacrymogène pour disperser les étudiants. Après quelques heures, le calme est revenu et les travaux ont repris.

Le président de l'Union Nationale des Étudiants tchadiens Mahamat-Saleh Ahmat Ali affirme que l'AG du 22 janvier était censée se tenir dans le calme et la sérénité au campus d'Ardepjoumbal, « c’est une petite perturbation, créée par l'ex bureau de l'UNET section de N’Djamena. Les étudiants ont pu maîtriser ces perturbateurs et l'assemblée s'est tenue. Des résolutions ont été votées parmi lesquelles figure la réhabilitation des 32 étudiants d’ici 3 jours, passés ce délai l'UNET ne sera pas responsable de ce qui adviendra », a-t-il dit. Il a aussi souligné la mise sur pied d'un comité d'organisation des élections composées de toutes les facultés dans un bref délai. L'AG demande au ministre de l'Enseignement supérieur, des Recherches scientifiques et de l'Innovation de prendre des décisions appropriées pour que les activités fonctionnent normalement ».

Le nouveau bureau rappelle les étudiants que les cours reprendront normalement ce 23 janvier.

Noël Adoum

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