dimanche 22 décembre 2024

Journal

Journal (1038)

Le Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l'homme (HCDH) a organisé un atelier sur le sujet des droits de l'homme ce vendredi 23 juin tel qu’évoqué dans le cahier de charges du Dialogue national inclusif et souverain.

Abdoulaye Seye Représentant le représentant de Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l'homme affirme qu'en juin 2011 le Conseil des droits de l'homme intergouvernemental de l'ONU chargé de promouvoir et protéger les droits de l'homme a adopté dans sa résolution 17/4 les principes directeurs relatifs aux droits de l'Homme. « Ces principes ont marqué la première étape qui est le premier cadre réglementaire mondial de référence valable pour les États comme pour les entreprises ».

Il ajoute que ces principes directeurs s'articulent autour de l'obligation incombant à l'État de protéger les droits de l'homme y compris les entreprises. La responsabilité incombe aux entreprises de respecter les droits de l'homme. Il dit que l'objectif est d'offrir un espace d'apprentissage et d'échange en vue de stimuler, de soutenir l'élaboration et d’adopter de plans d'action nationaux des pays d'Afrique centrale. Il affirme que grâce à ce dialogue, le Tchad devrait être en mesure de partager les préoccupations et les principaux défis et obstacles auxquels il est confronté pour mettre en œuvre des principes directeurs au cours de la deuxième décennie. Il conclut que ce dialogue national sera utilisé comme une opportunité pour propulser les efforts en cours au Tchad. Et lui donner l’opportunité de contribuer de manière significative à la mise en œuvre de la feuille de route de la prochaine décennie.

Pour Bourkou Louise, Secrétaire d'État représentant le ministre de la Justice et des Droits humains, le Tchad est partie prenante de plusieurs instruments internationaux et régionaux relatifs aux droits civils et politiques. Et aussi aux droits économiques, sociaux et culturels. Pour elle, le gouvernement du Tchad accorde une place importante à la promotion et protection des droits de l’Homme.

Ousmane Bello Daoudou

L'association socle des jeunes pour le développement (SOJEDEV) a lancé cet après-midi 23 juin ses activités au Centre d'études pour la formation et le Développement (CEFOD) au quartier Ardeb-Djoumal.

Ahmat Oumar Adam, président de SOJEDEV, affirme que son association vise à lutter pour un environnement sain, contribuer à instaurer un climat de paix et d'entente entre les Tchadiens de tous les bords, apporter notre pierre à la mise sur pied d'un système éducatif confiant, venir en aide aux nécessiteux, qu'ils soient réfugiés, orphelins, sinistrés, etc.

M. Ahmat dit que son organisation a des ambitions malgré ses moyens limités. « Nous avons réalisé plusieurs activités à caractère social, humanitaire et éducatif. Avec par exemple des descentes sur site des sinistrés, etc. ».

Le président a invité les conseillers nationaux, les responsables des Nations unies et les associations sœurs qui sont présentes dans la salle à les soutenir. « Notre pays dans son élan de progrès nous interpelle tous. Nous devons conjuguer nos efforts, et contribuer dans la mesure du possible à son plein épanouissement », a-t-il précisé.

Enfin, le président a rappelé à l'audience leur responsabilité vis-à-vis de leur pays. « N’oublions pas que les défis qui nous attendent sont importants. Pour laisser un Tchad meilleur, mettons-nous ensemble dès maintenant, et donnons le meilleur de nous-même pour un Tchad de demain qui brille de mille feux », a-t-il conclu.

Abderamane Moussa Amadaye

Lors d’un point de presse organisé ce 22 juin à la salle du 27 novembre de la Radio FM Liberté, l'observatoire des droits et libertés au Tchad (ODL) dénonce l'arrestation de l'ancien ambassadeur tchadien en Égypte, professeur Adoudou et impute la responsabilité à l'armée.

Franck Nakingar, responsable de cette organisation affirme que depuis la prise du pouvoir par la junte militaire en avril 2021, les libertés et les droits fondamentaux ont reculé considérablement, un cauchemar pour les citoyens, dit-il. « La libre opinion sur la vie publique du pays est systématiquement sanctionnée par les tenants du pouvoir d'une manière ou d'une autre », dit-il.

Son organisation, l'ODL dit être ébahie par l’arrestation de l'ex-ambassadeur, le professeur Al-Amine Adoudou qui n'a exprimé que ses opinions et ses inquiétudes sur les réseaux sociaux comme tout autre citoyen. Toujours selon le M. Nakingar les autorités de transition sont allergiques à la libre expression surtout quand elle touche l'armée. Il soutient que cette arrestation origine d’une plainte de l'État-major de l'armée. Ce qui, toujours selon lui, prouve l'implication active de l'armée dans la répression et la restriction des libertés fondamentales, « cela met à rude épreuve la justice qui cherche peu à peu, à reprendre sa place dans la chaîne des pouvoirs. Loin d'être un secret d'État au nom duquel on prétend se cacher pour régler des comptes, la question de l'armée et les comportements nuisibles des hommes en armes chargés d'assurer la sécurité des citoyens, préoccupe les citoyens qui veulent vivre en sécurité », dit M. Nakingar.

Enfin, l'Observatoire des Droits et Libertés au Tchad exige la libération sans condition de M. Adoudou. « Puisque la justice a déjà relaxé M. Adoudou dans une première plainte du ministère public sur le même sujet. À moins qu'il existe deux justices au Tchad », a conclu M. Nakingar, responsable de l'ODL.

Abderamane Moussa Amadaye

L'Union des jeunes avocats du Tchad (UJAT) et le Centre d'étude et de formation pour le Développement (CEFOD) signent une convention de partenariat ce 22 juin. Objectif : lier la théorie à la pratique.

Pour Me Frédéric Nanadjingué, président de l’UJAT dit l'idée est de formaliser le rapport entre l'union des jeunes avocats du Tchad et le CEFOD à travers les différents services. Pour lui, c'est un lien pour relier la théorie à la pratique. Selon lui, les jeunes avocats donneront les cours au sein de CEFOD Business Scholl, ensuite assisteront les étudiants en les encadrant dans leurs cabinets respectifs leur offrant des stages pratiques et de fin de formation afin de rendre professionnelle leur entrée dans la vie active. « L’intérêt de cette convention n'est pas à démontrer par un partage d’expériences qui donnent un équilibre de connaissance pour avoir une maîtrise du droit. Le droit s'intéresse à des questions quotidiennes qui nous entourent, mais lorsque c’est mal expliqué vous avez une idée théorique vague », dit-il.

Dr Ludovic Lado Directeur du CEFOD soutient que cette convention vient renforcer les relations de son organisation pour rendre service à la jeunesse tchadienne. Il ajoute, « notre filière ne se limite pas seulement à une filière de droit privé ou public, mais sur le volet de carrière judiciaire basé sur le professionnalisme. Nous sommes heureux de créer ce pont entre les futurs juristes et les juristes de terrain ». C'est un partenariat gagnant-gagnant, dit M. Lado afin de concrétiser les relations entre les différentes parties prenantes.

Ousmane Bello Daoudou

Lors d’un point de presse conjoint animé ce 21 juin au Tribunal de Grande Instance de N'Djaména, le syndicat des magistrats du Tchad (SMT) et le Syndicat Autonome des Magistrats du Tchad (SYAMAT) ont décidé unanimement d'observer une grève sur l'ensemble du territoire national, à la suite du projet de loi de la nouvelle constitution qui prévoit la nomination du président du conseil supérieur de la magistrature.

Selon les syndicats, cette décision intervient à la suite d’une réunion en assemblée générale (AG) conjointe, tenue le 21 juin passé au palais de justice de N'Djamena, « le Syndicat des Magistrats du Tchad (SMT) et le Syndicat Autonome des Magistrats du Tchad (SYAMAT) avons débattu sur le seul point inscrit à l'ordre du jour la réforme du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) prévue dans le projet de la nouvelle constitution », disent-ils. Ils ajoutent que conformément au projet la nouvelle constitution en cours de discussion au Conseil National de Transition (CNT), les magistrats estiment qu'au titre de la réforme du Conseil Supérieur de la Magistrature, leurs préoccupations et attentes n'ont pas été prises en compte malgré l'interpellation du Président de Transition. Les responsables syndicales des magistrats ont signifié que l'AG a contesté la forme du CSM prévue dans le projet de la nouvelle constitution et optent pour l'institutionnalisation du Conseil Supérieur de la Magistrature composé exclusivement des magistrats professionnels élus par leurs pairs, « le cas échéant, le maintien de la forme actuelle où le CSM est présidé par le Président de la République », ont-ils clarifié.

Avant de finir les responsables syndicales ont relevé que l’AG a décidé à l'unanimité de la cessation de travail sur l'ensemble du territoire national jusqu'à satisfaction. Les magistrats ont décidé également de se vêtir de leur toge et de camper au palais de justice de N’Djamena demain vendredi. Toutefois, ils disent être ouverts au dialogue.

Abderamane Moussa Amadaye

Vient de paraître ce 20 juin 2023 aux éditions Collobri au Cameroun un livre intitulé « Après le tyran, le tyran : D’un État de désordre à un vrai État démocratique, une question de volonté et d’engagement ! », écrit par Abakar Ousmane Idriss, activiste, défenseur des droits humains et militant actif du Parti Socialiste Sans Frontières (PSF). C’est un essai de 84 pages, réparti en 6 chapitres.

Pour l'auteur, cet essai parle de la situation sociopolitique du Tchad sur les 30 dernières années. « Il s’agit de la gestion scabreuse de Deby père et celle du fils. J'essaie de tracer les causes de la destruction de notre nation et ses conséquences à long terme. Ensuite, j'ai invité la masse et notamment la jeunesse à prendre son destin en main, quelles que soient les entraves. La jeunesse doit s’unir pour renverser le rapport de force », dit l'auteur. Selon lui, sans une synergie d’action, le combat ne sera qu’une perte de temps. Il estime que le Tchad qui était un enfer invivable depuis l’époque de Deby père mode agonie, le fils, Mahamat Deby n'y peut rien. « Il fera reculer le pays de 30 ans sous l’applaudissement des griots du régime. Ce pays subira une régression deux fois plus violente que celle du père ».

Questionné au sujet du titre de son ouvrage, M. Abakar affirme que son choix est n'est pas fortuit, mais est le résultat d'une réflexion mûre. À travers ce titre, il dit décrire la continuité du système peu orthodoxe du Deby père au fils Deby avec deux méthodes de gouvernance identique. Et pratiquement les mêmes personnes et le soutien de l'ancienne puissance coloniale, la France, a-t-il confié.

Pour rappel Abakar Ousmane Idriss est connu sous le nom de Abakar Hakimi Terefi. Il est diplômé d'une licence en science politique, communication et relations internationales à Cotonou au Bénin. Il a également un master en gestion de sécurité, défense et stratégie à l'Université de Yaoundé II. Il s'est engagé en politique aux côtés de l'opposant Yaya Dillo Djérou Betchi depuis quelques années.

Abderamane Moussa Amadaye

Ce 21 juin, la plateforme associative du Grand Kanem s’est réunie à la Maison des médias pour dénoncer les déversements répétitifs de pétrole brut dans la région. Elle formule des recommandations pour remédier à ce qu’elle appelle « fléau incessant ».

Selon, Souleymane Mahamat Louky, vice-président de la plateforme, des déversements ont eu lieu ces derniers temps dans la province du Lac et du Kanem, principalement dans le département de Wayi et dans le Kanem-Ouest. « En moins de 2 mois, la région a subi de multiples déversements de pétrole brut, sans que les mesures nécessaires soient prises pour remédier à cette situation », a-t-il relevé. Il ajoute que les conséquences de ces déversements sont catastrophiques. Les écosystèmes fragiles ont été gravement endommagés, affectant la biodiversité et mettant en danger la faune et la flore locales, dit-il.

M. Louky a affirmé que les communautés vivant à proximité du champ pétrolier subissent les effets néfastes sur leur santé et leur sécurité. « Ce qui est préoccupant, c'est le silence de l'État ». La plateforme appelle les autorités compétentes à agir vite. « Il est de leur devoir de protéger l'environnement et la santé des citoyens ». La plateforme exige une enquête approfondie pour déterminer les causes de ces déversements pour que les responsabilités soient clairement établies.

Pour la plateforme c’est le non-respect flagrant des normes standard par la société d'exploitation pétrolière qui serait à l’origine du désastre. « Nous condamnons fermement les pratiques irresponsables qui mettent en danger notre patrimoine naturel », dit le vice-président.

Pour remédier ce fléau, la plateforme a formulé des recommandations. Elle exhorte la société pétrolière à prendre ses responsabilités et de vite réparer les endroits où il y a des fuites, de dépêcher une mission de l’État en urgence en cette saison pluvieuse pour minimiser les dommages environnementaux et restaurer les zones touchées. Enfin, la plateforme invite la société pétrolière à communiquer avec la population et à participer activement à la protection de l'environnement.

Abderamane Moussa Amadaye

Dans un point de presse organisé ce mardi 20 juin au Centre culturel Almouna, la coordination de la plateforme des chefs de Race et le comité ad hoc des Cadres du Guéra demandent le départ de toutes les autorités civiles et militaires du département. Et exigent la levée du couvre-feu instauré dans la localité.

Des Chefs de Race et les membres du Comité ad hoc des Cadres du Guéra résidants à N'Djaména disent être solidaires de l'accord signé le 9 mai 2023 à Mangalmé entre sédentaires et éleveurs nomades. Et elle œuvre jour et nuit pour pérenniser les acquis de l'accord pour arriver à une paix durable dans le département de Mangalmé, au Guéra et dans tout le Tchad, a affirmé M. Mahamat Bichara. Il déplore le non-respect de l'accord par les éleveurs nomades.

Il rappelle d'autres tueries notamment le 3 juin dernier qui ont fait 4 morts dans le village Ireygué. Toujours selon M. Bichara, la semaine dernière un cultivateur a été aussi froidement assassiné dans son champ au village Kidaré, à cela s'ajoute plusieurs cas de vol d’animaux, a-t-il déploré. « Ces actes sont une violation des accords par les éleveurs »

Selon M. Bichara, le 3 juin les forces de l'ordre à la poursuite de ces criminels ont rebroussé chemin laissant des civils poursuivre les meurtriers pour les arrêter quelques jours plus tard à la gare. Cette attitude des forces de l’ordre a agacé une foule survoltée et déchaînée. Elle a lynché deux personnes arrêtées. Ce qui a provoqué l'arrestation injuste de 9 personnes, a-t-il dit.

La plateforme exige que le couvre-feu instauré dans le département de Mangalmé de 20 heures à 5 heures du matin soit levé, « il limite les libertés des cultivateurs qui doivent vaquer à leurs occupations champêtres. Les arrestations des personnes innocentes doivent cesser. Elles doivent être libérées immédiatement ».

Le gouvernement est responsable de la sécurité des personnes et de leurs biens dans le département de Mangalmé, « il doit relever de leurs fonctions toutes les autorités civiles et militaires du département pour que la paix et la quiétude reviennent à Mangalmé », disent les membres de la plateforme.

Selon M. Bichara, les autorités civiles et militaires pousseraient les autochtones des cantons et villages à les considérer comme complices des agresseurs, « comment comprendre que les agressions lancées le lendemain de la signature de l'accord de réconciliation ne soient pas identifiées, alors que le gouvernement a doté les unités de sécurité du département des moyens adéquats pour juguler l'insécurité à Mangalmé ».

Pour les cadres du Guéra, le gouvernement doit affecter d'autres unités avec des responsables civiles et militaires intègres, courageuses et capables de traquer les agresseurs, les voleurs et les délinquants jusqu'à dans leurs cachettes.

Noël Adoum

Lors d'un point de presse cet après-midi du 20 juin à la Maison des médias, un collectif d’avocats dénonce ce qu’il appelle une parodie de justice au sujet de l’arrestation et transfèrement leur client professeur Al-Amine Adoudou, ex-ambassadeur du Tchad en Égypte à la maison d'arrêt de Kléssoum.

Pour Me Gozzo Tourndide, leur client a, au départ, été enlevé de son domicile et détenu dans les locaux des Renseignements généraux (RG) le 12 juin passé.  Le 15 juin il a été mis à la disposition de la police judiciaire puis déféré au parquet d'instance de Ndjamena. « Le Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Ndjamena a ouvert une information judiciaire. Saisi, le juge d'instruction, après l'avoir inculpé, l'a confié à ses avocats que nous sommes pour une libre comparution », a-t-il relevé. Il affirme que la poursuite contre leur client ne s'est pas arrêtée là.  « Nous étions surpris lors que notre client a été recherché et repris le vendredi 16 juin 2023 pour donner suite à un mandat d'amener signer le même jour par Procureur de la République pour les mêmes faits, semble-t-il, sur plainte déposée par le Chef d'État-major des Armées. Il y a lieu de relever ici que ce dernier n'a aucune habilitation d'agir en ce sens » a dit Me Gozzo.

Il estime que cette nouvelle procédure est une violation du Code de procédure pénale. Initiée sur la base des mêmes faits, M. AL-AMINE ADOUDOU a été, contre toute attente, placé sous mandat de dépôt. Et le dossier orienté devant une autre juridiction siégeant en matière de flagrants délits, et ce, en parfaite violation de l'article 21 du Code de procédure pénale. Il rajoute que c’est une procédure inédite et extraordinaire, la qualifiant d'acharnement contre leur client. « Le Tchad qui se veut un pays de droit ne saurait exceller dans une telle criarde injustice », a lâché l'avocat.

Pour clore, le collectif des avocats du professeur Adoudou, appel les auteurs de ces actes d'y mettre fin en libérant leur client, « ces actes n'honorent pas la Justice tchadienne », a-t-il conclut.

Abderamane Moussa Amadaye

Le Directeur général de la société nationale d'électricité (SNE), général Ramadan Erdoubou a procédé ce 20 juin 2023 au lancement officiel du recensement des abonnés de la SNE. La cérémonie a eu lieu dans un hôtel de la place en présence des différents maires de communes de N'Djamena.

Selon les termes du DG, ce recensement des abonnés de la SNE intervient dans le cadre du projet d’interconnexion des réseaux électriques Cameroun-Tchad, à travers la cellule d’exécution des projets, dit-il. Il indique que ce recensement vise à recenser exhaustivement tous les points de livraison du réseau de distribution de la SNE. Il a assuré que cette opération va permettre de recueillir les coordonnées des clients, les données techniques et commerciales de chaque point de livraison et d’enregistrer les données cartographiques. Il précise aussi que cette opération consistera de fournir un service d’énergie de qualité aux concitoyens tout en établissant une base de données complète et précise. « Nous pourrons mieux planifier, gérer et améliorer notre efficacité opérationnelle », dit-il.

Pour finir sa déclaration, M. Erdoubou invite les acteurs de la société en particulier les médias de sensibiliser la population pour l’amélioration des conditions des abonnés. « Je suis convaincu que ce recensement nous aidera à assurer un approvisionnement fiable en électricité, soutenir le développement économique. Je vous invite à participer activement, car votre contribution est essentielle à notre succès collectif. Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir énergétique meilleur et durable », a-t-il conclu.

Abderamane Moussa Amadaye

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