jeudi 19 septembre 2024

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La ministre de l’Energie, Ramatou Mahamat Houtoin, a apporté des éclairages au sujet des récurrents délestages qui nourrissent l'actualité tchadienne. C'est à l'occasion d'un point de presse, animé le 20 septembre 2020.

« La crise énergétique que connait N'Djamena est causée par des pannes techniques et un incident sur le réseau de distribution de Djermaya », selon les responsables du ministère de l’Énergie. En effet, depuis quelques semaines, l'actualité tchadienne est nourrie par la question des coupures abusives d'électricité à N’Djamena et dans certaines provinces du pays. Cette situation a obligé la ministre responsable de l’énergie a effectué une visite et une réunion de travail avec les dirigeants de la Société Nationale d’Electricité (SNE).

Après les séances de travail, un comité pour contenir le problème de délestage est créé. La ministre, Ramatou Mahamat Houtoin a rassuré les abonnés de la SNE en affirmant que la question du délestage sera traitée.

Selon elle, cette situation est due à des problèmes techniques, mais aussi à l'accroissement sans cesse de la demande. La capacité initiale de la SNE ne couvre pas totalement le besoin de ses abonnés. En plus, le secteur a subi des perturbations techniques dues à des actes de vandalisme sur le réseau électrique de la ligne de Djarmaya. A cela s'ajoute la maintenance des groupes de la société. Pour être clair, à ce jour, il y a un écart entre la demande et l'offre, a confié la ministre de l'Énergie.

La création d'un comité pour la résolution du problème

La ministre Ramatou Mahamat Houtoin a déclaré que sur instructions des plus hautes autorités, des solutions sont en train d'être prises pour combler l’écart. C’est pourquoi un comité est créé. Il est composé des ingénieurs et techniciens du ministère ainsi que des associations de défense des droits des consommateurs qui viendront appuyer les équipes de la SNE. Ce comité s'occupera de la distribution de l'énergie électrique en priorisant les secteurs de la santé et de la sécurité pour les hôpitaux, les centres de santé, les casernes militaires, les grandes institutions.

Les membres du comité ad hoc reprendront des discussions avec les partenaires qui accompagnent la SNE dans la production. Le but est d'augmenter en toute urgence la capacité de production. A cela, il faut ajouter l'accélération de la maintenance des ouvrages afin d'accroître la production de l'énergie dans les meilleurs délais.

La Coalition des associations de la société civile pour l’Action citoyenne (CASAC) a lancé ce 20 septembre à Lian, une opération dénommée « conscience citoyenne ».

Cette opération a pour objectif de recenser les doléances des citoyens et citoyennes face au contexte de l’heure et vise également à vulgariser les préceptes nobles du vivre-ensemble.

Les Tchadiens de tous les bords confondus doivent prioriser les valeurs cardinales de la vie en société et éviter de céder aux pourfendeurs de la haine et de la division entre les citoyens, a dit le président de la CASAC, Mahmaoud Ali Seid. Il a ajouté en ces termes : "nous allons également mettre un accent particulier sur l’unité nationale qui doit être consolidée de plus belle".

Dans son linéaire, le président de la CASAC a fait savoir qu'à la fin de cette opération, un cahier des doléances citoyennes va être remis officiellement à qui de droit, pour que d’autres actions publiques nouvelles, en phases avec les souhaits des uns et des autres soient prises. Cette opération durera un mois et touchera plusieurs provinces du pays, selon Mahmoud Ali Seid.  

200 apprentis en techniques de mécanique des moteurs monocylindriques ont reçu leurs parchemins de fin de formation ce lundi.

Ils sont 195 hommes et 5 femmes déscolarisés à recevoir leurs attestations de fin de formation ce lundi 21 septembre. C’est l’œuvre du Fonds national d’appui à la Formation professionnelle (FONAP). Après 9 mois passés dans trois centres techniques de formation professionnelle à savoir le CTAP, le CEFOTIP et le CAPM. D’après le représentant du directeur du FONAP, Ousmane Adirdir Madir, ce projet qui a abouti, ce jour date de 2018. Toujours selon lui, le financement de cette session de formation s’inscrit dans le cadre de la politique de valorisation des ressources humaines qui figure dans le Plan national de développement (PND).

Dans leur témoignage, les bénéficiaires ont exprimé leur reconnaissance au FONAP et à leurs différents centres d’accueil. « Grâce à cette formation, nous avons accès à un métier qui nous donne droit à un emploi ou à un auto-emploi », déclare Oumar Mahamat Mallah, un des bénéficiaires. Mais ce qu’ils souhaitent est l’accompagnement du FONAP pour rehausser leurs compétences. Ce que le FONAP dit prendre en compte.

Autre aspect qui n’est pas passé sous silence est le nombre insignifiant de la gent féminine à cette session de formation. Dans son mot de remerciement, Béatrice, une des bénéficiaires invite les filles d’embrasser le métier de la mécanique. Car, selon elle, ce métier n’est pas seulement pour les hommes. « Une femme peut tout faire », conclut-elle. Phrase qui a reçu une salve d’applaudissements.

Dans le souci de lutter contre la pauvreté, le FONAP initie et finance diverses formations dans différents domaines. Cette formation des jeunes mécaniciens à précéder d’autres. « D’ici quelques jours, le FONAP va encore lancer des formations dans d’autres métiers en faveur des jeunes déscolarisés et non scolaires de N’Djamena », annonce Ousmane Adirdir Madir.  

Artiste accompli, il a définitivement choisi la musique. Ingénieur de formation, il aime mieux sa vie d’ingénieur des âmes (artiste) que celle d’ingénieur en bâtiments. Il nous parle de son parcours, de sa passion pour la musique, déplore le manque d’intérêt des autorités pour la culture, etc. Entrevue avec l’ingénieur des âmes, Abdoulaye N’Derguet.

Comment vous présenter aux Tchadiens comme artiste ou ingénieur ?

Je préfère artiste musicien, auteur et compositeur. Je suis l’un des fondateurs du groupe TIBESTI et HSAO. Tibesti est le premier orchestre tchadien qui organisé un concert en France. C’était en 1996. J’ai commencé la musique très jeune. Cela fait 40 ans que je suis dans la musique. C’est un beau métier. Il m’a permis de beaucoup voyager et de rencontrer des gens très intéressants aux profils divers. J’ai bossé avec le groupe H’SAO aussi. Après leur départ pour le Canada. J’ai décidé d’évoluer seul.

Quel type de musique faites-vous ?
Je fais de la musique du monde communément appelé la « world music ». Je mélange la musique traditionnelle avec d’autres instruments.

Vos sources d’inspirations ?
Le quotidien des gens. Je chante l’amour. Je chante la paix et la patrie.

Combien d’albums à votre actif ?

5 au total dont 2 albums avec le groupe HSAO et 3 autres en solo.

Dans une de vos chansons, vous soulignez qu’on peut réussir sans le bac ? Pourquoi ? Comment ?

Oui, j’insiste. Je persiste et je signe. Dans la vie, il faut savoir prendre des initiatives. Et faire jouer son intelligence pure, sans les conventions apprises à l’école. Le bon sens. On peut réussir à partir de rien. Sans le sou et sans le diplôme. L’exemple du grand homme d’affaire M. ABASSI est éloquent. Il est aujourd’hui l’un des hommes le plus riches du Tchad, sans aucun diplôme. Puis, aujourd’hui, l’école ne marche pas. Il faut savoir faire autre chose. Prendre comme je le dis de l’initiative. À chacun son talent. Cela peut être dans la coiffure, l’artisanat, la musique, etc.

Quelles sont vos difficultés ?

J’ai des difficultés comme beaucoup d’autres dans ce métier. Je ne veux pas la ramener à moi. Je voudrais juste dire que le Tchad est un pays de forte tradition. Il a été influencé par la colonisation et les différentes religions monothéistes. Ici au Tchad, on n’aime pas les artistes ni le métier d’artiste. L’artiste est rejeté. L’art est considéré comme une distraction, c’est tout. Une chose de banale qui n’apporte rien, mais conduit seulement en enfer. La musique est piétinée. Elle n’est pas élevée au rang de métier. Il n’y a aucune politique culturelle. Si le ministère responsable songe à quelque chose, il se prend tellement mal que n’en sort que du mauvais. Cela fait que jusqu’aujourd’hui, on n’a aucun producteur. Et pourtant le développement d’un pays commence par la valorisation de sa culture.

Un pays, c’est comme un arbre. Les racines sont les richesses des différents groupes communautaires. Le tronc est la nation. Les branches sont les générations. Les feuilles représentent la prospérité. Et les fleurs sont la culture.

Que proposeriez-vous pour surmonter ces difficultés ?

Il faut s’inspirer des autres. Il des exemples. Prenons le Nigeria, c’est le premier pays africain a évolué grâce à l’art. Le Cinéma et la musique nigériane influencent toute la musique africaine. Et depuis quelques années la musique et les arts de ce pays sont sollicités à New York, Hollywood, Londres, etc. Regardez le PIB des USA est constitué de 60 % des fruits de la culture. Donc, il faut considérer le métier de l’art et y investir. Il faut vendre notre musique à l’international et attendre un retour sur l’investissement.

Plusieurs disent que la musique tchadienne relève de « l’auto dictat » et de l’amateurisme. Que pensez-vous de cette affirmation ?

Je suis d’accord. Pour moi, les amateurs ce sont de gens qui font de la musique que pour l’argent, que pour devenir une vedette. Je les appelle les aventuriers de la musique. Mais quand tu fais de la musique par passion avec respect, il y a une valeur ajoutée. Que cela te rapporte au pas, il faut la faire par passion.

Normalement la musique doit être enseignée. Moi par exemple j’ai appris la musique sur le tas pendant 40 ans. Or si j’avais été enseigné, cela allait être très rapide. Maintenant, ça commence à s’apprendre dans certaines écoles, il y a des matières diverses dans l’art. Ce n’est pas seulement les dessins.

Peut-on vivre de son art au Tchad ?      

Oui, bien que je sois ingénieur de bâtiment, je ne vis que de la musique. La musique m’a rapporté beaucoup d’argent au Tchad.

Des projets à court terme ?

Je prépare une tournée de 6 mois en France. Je compte donner des cours de musique aux enfants via YouTube.

Votre dernier mot

Bon retour, Ialtchad Presse, continuez à mettre au-devant la culture et les talents du Tchad.

Entrevue réalisée par Habiba Abdelhakim

Installés temporairement sur le lycée de Walia, des sinistrés des inondations sont exposés à des intempéries de tout genre. Reportage.

Le lycée de Walia ressemble à un séchoir en ce début de matinée du mardi 15 septembre. Habits, draps, couchages sont étalés pêle-mêle sur la clôture, la terrasse et les tables-bancs. C’est la conséquence de la grosse pluie du lundi 14 septembre qui s’est abattue sur la ville de N’Djamena.

Dans le bâtiment du Lycée des centaines de victimes des inondations sont logées. Ils viennent de différents quartiers de la ville. Ils ont été hébergés là. Pas le minimum de confort.

Manassé vient du quartier N’gueli. Sa famille et lui habitent dans une salle de classe. Pour lui, les conditions de vie sont difficiles. « Regardez ! Nous sommes 50 à loger dans cette salle », dit-il, dépité. Manassé et sa famille sont contraints de cohabiter avec d’autres familles dans cette pièce. Heureusement dit-il, « nous sommes logés par quartier. Et le hasard a fait qu’il se retrouve dans la même salle que mes voisins de Ngueli ». Cela aide à éviter les problèmes de cohabitation. Ce qui le préoccupe est leur vulnérabilité face aux intempéries de tout genre.

Les conditions d’accueil ne sont pas du tout aisées. Dans ce lycée qui les abrite, la plupart des salles sont sans fenêtres ni portes. La cour, herbeuse et de fois inondée, constitue est un nid de moustiques. L’insalubrité est à son comble. Tous ces éléments rendent vulnérables les victimes.

La dernière grosse pluie du 14 septembre ne les a épargnés. « La pluie était accompagnée du vent. Et comme il n’y a pas de porte ni fenêtre, l’eau a pénétré dans les salles », explique Manassé. Le lendemain c’est journée « séchage général », au lycée de Walia.

Aussi, les sinistrés sont exposés aux moustiques et aux maladies. « Nous avons trois de nos co-chambriers qui sont tombés malades hier. Ils sont évacués par leurs familles en ville pour des soins », dit Manassé. Ce qu’il déplore, c’est le manque d’une unité de prise en charge au sein de leur site. « Normalement l’État doit déployer des agents de santé ici pour s’occuper de nous. Mais rien », regrette-t-il.

L’autre problème sur ce site est l’assistance alimentaire. Selon ces victimes, des aides ont été distribuées, mais pas suffisantes. « J’ai reçu 3 «coros» de riz depuis notre installation. Mais pour avoir ça, c’était de la guerre », dit un père de famille.

Un sexagénaire intervient et tranche, « quand on fuit la guerre, on ne peut pas demander à être logé confortablement. »

Enfin, Manassé et ses compagnons souhaitent que le site de Toukra aménagé pour les héberger soit rapidement opérationnel pour qu’il puisse s’installer. « Si nous nous installons sur ce site, nous pouvons aller travailler en ville pour avoir de quoi arrondir nos quotidiens », estime Manassé.

Christian Allahdjim

Le ministre de la Santé publique et de la Solidarité nationale, Abdoulaye Sabre Fadoul, a répondu à la question orale, adressée par le député Saleh kebzabo sur la maladie à coronavirus. C'est au cours de la plénière de ce 18 septembre à l'Assemblée nationale dans le cadre de l'État d'urgence sanitaire.

Selon le ministre de la Santé publique et de la Solidarité nationale Abdoulaye Sabre Fadoul, la situation épidémiologique de la maladie à coronavirus depuis le mois de mars, se présente comme suit : 1 115 cas confirmés dans 16 provinces avec 944 guéris et 72 malades sous traitement. Compte tenu de la situation actuelle au plan mondiale, « il faut tout faire pour minimiser les effets néfastes de la pandémie tant au niveau de la santé des populations qu’au niveau économique », dit le ministre.

Le ministère de la Santé publique entend mutualiser les forces afin de bâtir une capacité de lutte contre la maladie au Tchad. La lutte contre la Covid-19 offre des possibilités pour travailler avec les autres ministères comme ceux de l'Enseignement supérieur, de l'Élevage, de l'Environnement, etc. M. Sabre Fadoul exhorte la population à être vigilante et à respecter les mesures barrières.

La capacité d'investigation sur la Covid-19 a été limitée par l'utilisation d'un seul laboratoire installé à N'Djamena. Actuellement, cette capacité de dépistage est augmentée en décentralisant les opérations dans neuf provinces du pays : Sarh, Doba, Moundou, Pala, Bongor, Bol, Mao, Mongo et Abéché.

Rappelons que la pandémie a atteint officiellement le Tchad en mars dernier. La crainte des autorités s’est d’étouffer les frémissements de la seconde vague crainte par le monde entier.

Au cours d’une assemblée générale extraordinaire tenue ce vendredi, le syndicat des Magistrats du Tchad (SMT) lance une grève d’une semaine pour protester contre l’incident survenu au Palais de Justice de N’Djamena.

Deux heures et demie d’horloge. Le temps qu’a pris l’assemblée générale extraordinaire du syndicat des Magistrats du Tchad tenue ce vendredi 18 septembre 2020 au palais de Justice de N’Djamena. À huis clos, les magistrats ont débattu de leurs conditions de travail et la position à adopter concernant l’attaque des magistrats en pleine audience à N’Djamena. Dans les conclusions présentées par le secrétaire général du SMT, Djonga Arafi, les magistrats ont décidé de trois choses.  

Premièrement, un arrêt de travail d’une semaine. « Nous avons décidé d’un arrêt de travail et cela sur l’ensemble du territoire national du 21 au 28 septembre pour protester contre cette atteinte », a déclaré M. Djonga Arafi. La veille, l’ordre des Avocats a pris la même décision. Deuxièmement, le SMT exige que les forces de l’ordre déployées pour la sécurisation des entités judiciaires soient renforcées en effectif, en armes et en munitions. Car, estime le président du SMT, Mahamat Wade Djibrine, celles du palais de N’Djamena, en sous-effectif, n’ont pas pu maîtriser ces individus à l’origine de l’incident du jeudi. Troisièmement, le SMT exige la poursuite des auteurs de cette attaque qui est une atteinte à l’autorité de l’État.  « En attaquant le palais de Justice, c’est attaquer directement la personne du président de la République puisque c’est lui le président du conseil supérieur de la Magistrature », a commenté le président du SMT Mahamat Wade Djibrine. Cela, dit-il, vient révéler le climat d’insécurité généralisé sur les magistrats. Le SMT dit en appel au Maréchal Idriss Déby Itno pour assurer la sécurité des magistrats.

Autre aspect, les magistrats ont déploré au cours de cette assemblée la « défaillance totale » du ministre de la Justice. Selon les magistrats l’appareil judiciaire tchadien fonctionne mal. Par le passé, disent-ils, ils ont décrié les libérations illégales, les arrestations arbitraires, les ingérences, etc. Les hommes en noir se sont donnés rendez-vous le lundi 28 septembre 2020 pour une assemblée évaluative du MT.  

Pour rappel, dans la matinée du jeudi 17 septembre 2020, le tribunal de Grande instance de N’Djamena a condamné sieur Abdoulaye Ahmat Harang, colonel de son état, à 5 ans de prison ferme pour coups et blessures volontaires mortels. Cette décision a provoqué la colère de ses proches présents dans la salle d’audience. Selon des témoignages, ils ont injurié les juges responsables du dossier avant d’exfiltrer manu militari le condamné pour une destination inconnue. Acte qui a provoqué sidération et émoi. Aux dernières nouvelles, le condamné et ses complices ont été arrêtés par les services de sécurité.

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Routouang Mohamed Ndonga Christian, a rencontré les différents responsables des fédérations et associations sportives nationales ce 17 septembre 2020 au Cefod.

Le ministre Routouang Mohamed Ndonga Christian a expliqué aux partenaires notamment les associations et fédérations, la place qu'occupe le Sport dans la politique du gouvernement de la 4e République. Selon lui, plusieurs décisions sont prises depuis 20 ans. Ils vont dans le sens de l'autonomisation et l'ascension des sportifs en mettant en relief leur développement intellectuel, social et physique.

Routouang a aussi souligné que la fusion du Fonds national d'appui à la jeunesse (FONAJ), du Fonds national au développement du Sport (FNDS) et de l'Office national des sports (ONASPORT) en Office national d'appui à la jeunesse et au sport (ONAJES) est un levier puissant pour le développement des Sports.

Il a, en outre, rappelé les difficultés rencontrées par l'ancien FNDS dans le cadre de la disponibilité des ressources financières provenant des frais des appels téléphoniques des abonnés. À cause du circuit complexe du Trésor public, l'ONAJES ne pourra jouer pleinement son rôle que si ses comptes sont logés dans une banque secondaire de la place. Ceci permettra de disposer des ressources financières à temps pour soutenir la préparation et la participation des équipes nationales aux compétitions internationales.

À la fin de la rencontre, deux solutions ont été évoquées par le ministère.  D’abord, il s'agit de la mise en place d'un service au sein de la Direction des Sports de Haut Niveau pour suivre et évaluer les conventions internationales. Ensuite, de la recherche du partenariat dans le système des Nations unies auprès de l'UNICEF, l'UNFPA et l'UNESCO, ainsi que les pays arabes et ceux de l'Asie, pour développer et faire la promotion du sport.

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