jeudi 28 mars 2024

Parlons de la maladie du Cancer

Aoû 15, 2022

Pour ce numéro de chronique santé la rédaction d’Ialtchad discute avec Dr Manikassé Palouma, Président de la ligue tchadienne de lutte contre le Cancer. Chronique.

Pour Dr Manikassé Palouma, la maladie du cancer c’est lorsqu’une cellule présente un déraillement du fonctionnement interne. C’est-à-dire une perturbation au niveau d’un noyau de la cellule et elle se met à se multiplié d’une manier anarchique explique-t-il. Il rajoute qu’à ce stade la multiplication ne s’arrête. C’est ce qui est appelé cellule cancéreuse. Concernant sa manifestation Dr Manikassé Palouma affirme que ça dépend de chaque type de cancer. Par exemple, dit-il, le cancer de sain a un stade début il n’y a pas de signe. C’est lorsque quand la femme constate quelque chose d’anormale dans ses sein. Il poursuit que c’est en faisant de touché que cette dernière va remarquer. Parfois soit une plaie au niveau du sein, soit sont lait coulent accompagné du sang quand l’enfant tète. Pour une femme qui a le cancer du sein elle va présenter un écoulement mamellonaire, soit le sein sort du pue, ou parfois une modification de la peau du sein comme celle d’une orange, le bout du lait est rétracté ce sont là les signe du cancer de sein souligne-t-il. Il explique qu’il faut que le médecin traitant complète ces signes clinique avec des examens complémentaire précise-t-il.

C’est l’hystographie seul qui déterminera si oui ou non il y a des cellules cancéreuse souligne-t-il. Le cancer de prostate dont pour le Dr surgit le plus souvent chez les personnes âgées. A un stade de début il n’y a pas de manifestation c’est quand la maladie évolue que les complications arrivent souligne-t-il.  Pour le Dr ces complications sont la desihurine (difficulté d’uriner). Parfois souligne-t-il la personne urine avec du sang et en fin il fait une rétention uriner explique-t-il. Il continu de relaté que cette rétention va avoir elle aussi des complications a longue terme et qui finira par toucher les reins, le rectum, et tous les organes pelviens ou abdominaux souligne-t-il. Afin de confirmer pour le Dr il faut un examen de l’histologie qui déterminera. Il poursuit pour ce il faut la biopsie de la prostate qui consiste à prélever une partie de cette organe et envoyer au laboratoire pour les analyses et si oui ou non déterminer s’il y a une cellule cancéreuse. Pour le cancer du foie il donne comme exemple le scandale de farine de maïs qui contient l’aflatoxine. D’après lui l’aflatoxine libère des cellules cancéreuses qui attaquent le foie mais à un début il n’y a pas de signe. C’est lorsque la maladie complique souligne-t-il qu’on voit une voussure au niveau du côté droit et après la maladie présentera de l’eau sur le ventre qu’on appelle acide explique-t-il. Pour le Dr ces signes prouvent que la personne a une Syros ou un cancer de foie. Pour lui ce n’est pas seulement dans le maïs qu’on peut détecter l’aflatoxine mais dans toutes autres denrées alimentaires mal conservés souligne-t-il. Pour Dr Manikassé Palouma des facteurs favorisant le cancer sont nombreuses d’où le tabagisme, l’abus de consommation de l’alcool, la consommation de viande grasse a longue terme, l’utilisation des produits toxiques sur les denrées alimentaires. Le vagabondage sexuel où la personne peut contracter le HPV un virus qui est à 90% l’une des facteurs du cancer de col de l’utérus. Les prédispositions familières aussi sont l’une de cause pour ne citer ceux-ci. Pour le Dr le dépistage précoce est l’une de prévention efficace conseil-t-il.

Traitement :

Pour le cancer de sein d’après les explications du Dr les médecins opèrent enlèvent tous le sein. Au cas de récidiviste la radiothérapie et chimiothérapie se fait mais ça n’existe pas en Afrique souligne-t-il. Les soins palliatives se font aussi à un stade finale précise-t-il. Il laisse entendre que le vaccin existe en Europe mais pas encore pour le continent africain. Au Tchad pour le Dr il rencontre beaucoup de cas mais ce qui sont à un stade avancé il les réfèrent à l’extérieur. Par ce que souligne-t-il au Tchad il n’existe pas encore un plateau technique pour prendre en charge les malades.

Djénom Josiane

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